AlloCiné
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Votre avis sur Dangerous Housewife ?
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FaRem
"Home Sweet Hell" est une "dark comedy" dans la même veine à titre d’exemple d'un "Very Bad Things" ou d'un "Tuck & Dale" sans pour autant avoir la prétention de les égaler, mais qui est suffisamment bien faite pour être divertissante et pour passer un bon moment. L'histoire est classique, prévisible voir déjà vue, mais là où le film se démarque, c'est par la qualité de ses personnages et la performance des acteurs qui sont pour la plupart à contre-emploi. Le film vaut le coup d’œil pour les deux rôles féminins, Jordana Brewster peut enfin se lâcher dans un film et le fait bien tout comme Katherine Heigl qui se révèle dans ce rôle de mère de famille maniaque, ordonnée, bien propre sur elle, qui porte la culotte dans le couple et qui va faire des trucs inimaginable d'un sang-froid déconcertant. Dans l'ensemble, le film est pas mal, je regrette juste que le réalisateur ne soit pas allé plus loin dans l'humour et le second degré ainsi que le manque de surprise du scénario, car je suis vraiment resté sur ma faim en voyant les dernières minutes, c'est pourquoi je ne mets que la moyenne.
Film pop corn, rien de remarquable, ni de franchement mauvais. Le rôle de Heigl fait penser à celui de Slater dans Very Bad Things. Le problème pour moi est que contrairement à Very Bad Things, je n'ai pas réussi à m'intéresser aux personnages et à ce qu'il leur arrive. Quelques sourires, quelques poitrines dénudées, des acteurs dans des rôles inhabituels, et cela se voit trop parfois, voilà le programme.
Comme son nom l'indique, il s'agit d'une comédie noire sur le foyer américain.
L'ensemble du film donne l'impression que, malgré une bonne idée de départ, personne ne fait d'effort pour faire autre chose qu'un film ordinaire, moyen, prévisible et au final fade.
La direction d'acteurs est quasi-inexistante, on se croirait presque dans un mauvais drama, tant les acteurs en font des tonnes ou pas assez dans la même scène.
Les dialogues sont médiocres, ils devraient pourtant servir l'humour noir du film, mais c'est juste téléphoné et plat au possible.
La mise en scène est mollassonne, n'arrivant pas à créer d'atmosphère, de rythme (que c'est long entre chaque action), sans développer la psychologie des personnages, et encore moins d'humour.
Le réalisateur se focalise sur le personnage le plus banal du couple : le mari, lâche, libidineux et vantant la réussite à l'américaine,
Là où seul le rôle de la femme est intriguant : personnage maniaque et obsessionnel, détraquée mais qui n'a jamais connu d'abus ou de traumatisme dans son enfance, devenant une tueuse de sang-froid alors qu'elle est le pur produit de la société américaine.
Le réalisateur se focalise tout le long-métrage sur le mari qui n'a aucun influence sur le récit, une erreur artistique fondamentale, signe de l'absence de profonde réflexion dans la phase de développement du film.
Une sorte de sous-Gone Girl, sortie quelques mois plus tard, qui n'a pas réussit à convaincre les chaînes de cinéma, le film étant sorti en France comme aux USA directement en DVD.
Contentez-vous de la bande-annonce, car le film est tout ce qu'elle n'est pas (marrant, bien rythmé, bien joué).
L'ensemble du film donne l'impression que, malgré une bonne idée de départ, personne ne fait d'effort pour faire autre chose qu'un film ordinaire, moyen, prévisible et au final fade.
La direction d'acteurs est quasi-inexistante, on se croirait presque dans un mauvais drama, tant les acteurs en font des tonnes ou pas assez dans la même scène.
Les dialogues sont médiocres, ils devraient pourtant servir l'humour noir du film, mais c'est juste téléphoné et plat au possible.
La mise en scène est mollassonne, n'arrivant pas à créer d'atmosphère, de rythme (que c'est long entre chaque action), sans développer la psychologie des personnages, et encore moins d'humour.
Le réalisateur se focalise sur le personnage le plus banal du couple : le mari, lâche, libidineux et vantant la réussite à l'américaine,
Là où seul le rôle de la femme est intriguant : personnage maniaque et obsessionnel, détraquée mais qui n'a jamais connu d'abus ou de traumatisme dans son enfance, devenant une tueuse de sang-froid alors qu'elle est le pur produit de la société américaine.
Le réalisateur se focalise tout le long-métrage sur le mari qui n'a aucun influence sur le récit, une erreur artistique fondamentale, signe de l'absence de profonde réflexion dans la phase de développement du film.
Une sorte de sous-Gone Girl, sortie quelques mois plus tard, qui n'a pas réussit à convaincre les chaînes de cinéma, le film étant sorti en France comme aux USA directement en DVD.
Contentez-vous de la bande-annonce, car le film est tout ce qu'elle n'est pas (marrant, bien rythmé, bien joué).
Katherine Heigl en psychopathe, à contre emploi, c'est original, et la plastique de rêve de Jordana Brewster, c'est malheureusement à peu près tout ce qu'il y a à retenir!
Navrant, pas drôle et pas toujours finement joué...
Navrant, pas drôle et pas toujours finement joué...
Ce film dégage une atmosphère particulière, presque surréaliste.Bons acteurs et bonne histoire de fous.
caro18
Heureusement qu'il y a Katherine Heigl pour sauver le film du pathétique complet : vulgaire, réchauffé, oublié.
Prenez vos responsabilitès messieurs quand vous avez une liaison avec une jeunette surtout si vous avez passè la bague au doigt à une femme comme Mona Champagne! L'histoire de Don (Patrick Wilson) qui dirige une affaire familiale sans histoire et qui aime Mona (Katherine Heigl) plus que la lune et les ètoiles! Quand il la trompe avec une jolie vendeuse (les atouts majeurs de Jordana Brewster), son èpouse contrôle curieusement la situation en proposant à son mari de la tuer [...] Une vision qui dèpasse plus ou moins la mesure de la petite vie pèpère en banlieue avec une maison et des enfants parfaits! A dire vrai cette comèdie noire à l'humour sombre a un petit air de dèjà vu! il offre cependant un contre-emploi inattendu à Heigl qui refuse que son mari se laisse faiblir en l'entraînant dans une spirale sanglante! Les meilleures scènes sont celles du calendrier et de l'album photo, complexe (dans ses psychoses) et triste à la fois, loin des meurtres et du dèsordre! Petit rôle secondaire du toujours sympathique Jim Belushi! La B.O est pas mal, limite entêtante! A voir...
Caine78
Fort peu apprécié outra-Atlantique (ce que je n'ai découvert qu'après visionnage), j'avoue que moi, je n'ai trouvé ça vraiment pas si mal. Malgré quelques grosses réserves, il y a un certain plaisir à voir l' « American Way of Life » mis à mal avec pas mal d'humour noir. Alors c'est évident : il y a beaucoup de défauts. Au vu du potentiel, on peut vraiment regretter que la réalisation soit aussi fonctionnelle, le scénario souffrant de nombreux poncifs et de personnages secondaires qui, s'ils sont « nécessaires » pour faire avancer l'intrigue, n'en sont pas moins banals et sans grand intérêt. Mais c'est bien de voir aujourd'hui un film où tout le monde en prend son grade : hommes, femmes, maris, époux, fidèles, infidèles... Personne n'est épargné par un regard critique assez acerbe et fort peu porté sur la bien-pensance : en gros, les mecs sont des lâches ou des truands, les nanas des sociopathes ou
spoiler:
des vénales pour qui la fin justifie largement les moyens
(la seconde catégorie étant incarnée par une Jordana Brewster affolante de sensualité). D'accord, à plusieurs reprises cela vire franchement au banal, avec beaucoup de situations vues ailleurs en bien mieux. En fait, je crois même que l'intérêt de l'entreprise doit énormément à une personne : Katherine Heigl. Souvent cantonnée dans des comédies romantiques sans grand intérêt où elle est le seul atout, elle excelle ici en « control freak » obsessionnelle, volontiers psychopathe et sadique sur les bords, d'un sang-froid assez flippant dans presque toutes les situations spoiler: (sa transformation en Dexter lors du découpage (bien sanglant) du cadavre sans montrer la moindre émotion est réjouissante)
: un formidable personnage de comédie, accentué par un physique de rêve la rendant à la fois follement inquiétante et terriblement désirable). Et comme « Dangerous Housewife » a décidé d'aller jusqu'au bout de sa logique, on apprécie une fin qui, spoiler: sans être forcément la meilleure possible, fait, là encore, preuve d'une certaine méchanceté, très loin des bons sentiments redoutés
... Bref, si l'on fortement regretter qu'une telle entreprise de démolition se limite à un format téléfilm avec tout ce que cela implique dans l'écriture et la réalisation, on peut aussi savourer qu'une « petite production » ose un peu ruer dans les brocards de la sacro-sainte famille américaine avec pas mal de mauvais esprit : que voulez-vous, la critique US ne doit plus être habituée... Une bonne surprise.
(la seconde catégorie étant incarnée par une Jordana Brewster affolante de sensualité). D'accord, à plusieurs reprises cela vire franchement au banal, avec beaucoup de situations vues ailleurs en bien mieux. En fait, je crois même que l'intérêt de l'entreprise doit énormément à une personne : Katherine Heigl. Souvent cantonnée dans des comédies romantiques sans grand intérêt où elle est le seul atout, elle excelle ici en « control freak » obsessionnelle, volontiers psychopathe et sadique sur les bords, d'un sang-froid assez flippant dans presque toutes les situations spoiler: (sa transformation en Dexter lors du découpage (bien sanglant) du cadavre sans montrer la moindre émotion est réjouissante)
: un formidable personnage de comédie, accentué par un physique de rêve la rendant à la fois follement inquiétante et terriblement désirable). Et comme « Dangerous Housewife » a décidé d'aller jusqu'au bout de sa logique, on apprécie une fin qui, spoiler: sans être forcément la meilleure possible, fait, là encore, preuve d'une certaine méchanceté, très loin des bons sentiments redoutés
... Bref, si l'on fortement regretter qu'une telle entreprise de démolition se limite à un format téléfilm avec tout ce que cela implique dans l'écriture et la réalisation, on peut aussi savourer qu'une « petite production » ose un peu ruer dans les brocards de la sacro-sainte famille américaine avec pas mal de mauvais esprit : que voulez-vous, la critique US ne doit plus être habituée... Une bonne surprise.
Complètement inattendu, Home Sweet Hell est un vent de fraîcheur dans le genre de la comédie satirique.
Le film offre aux deux acteurs un rôle à contre emploi ; Katherine Heigl et Patrick Wilson s'en donnent à cœur joie. On leur reprochera peut être un début poussif, mais en terme de thriller baignant dans l'humour noir sans compromis, le film se montre d'une grande générosité, grâce à son écriture de grande qualité. Avec sa conclusion brillante et sans pitié, cet OVNI plaira à tout bon spectateur de bon cinéma anti américain...
Le film offre aux deux acteurs un rôle à contre emploi ; Katherine Heigl et Patrick Wilson s'en donnent à cœur joie. On leur reprochera peut être un début poussif, mais en terme de thriller baignant dans l'humour noir sans compromis, le film se montre d'une grande générosité, grâce à son écriture de grande qualité. Avec sa conclusion brillante et sans pitié, cet OVNI plaira à tout bon spectateur de bon cinéma anti américain...
Félix F
Passablement sympathique, le côté trash est amusant et voir heigl en psychopathe ça change. Mais au delà de ça rien ne permet au film d'être drôle ou divertissant. C'est plat et répétitif et en plus de ça tout est prévisible. Un DVD dont on se serait bien passé.
gabdias
Comédie noire banale et prévisible avec une Katherine Heigl crédible en femme au foyer rigide et frigide mais absurde en psychopathe serial killer. Si le film se laisse regarder il ne restera pas dans les annales tant il manque de profondeur et de crédibilité. Quelques rares scènes comiques peu nombreuses pour rejoindre la veine des Very Bad Things
Un film étonnant, bien joué (Heigl est surprenante dans son rôle de femme hyper contrôlante et maniaque et Wilson joue parfaitement les hommes soumis mais d'apparence heureuse). Bref, une sorte de comédie qui n'en est pas une. C'est à la fois déjanté et sordide.
Brewster est aussi jolie que sexy et donne du piquant à un scénario qui décolle à la moitié du film.
Le rapport homme faible, femme forte (qui se retrouve même dans le jeu de la pinata) qui rend mal à l'aise et une fin qui retrouve sa morale dans le générique.
Amusant et divertissant.
Brewster est aussi jolie que sexy et donne du piquant à un scénario qui décolle à la moitié du film.
Le rapport homme faible, femme forte (qui se retrouve même dans le jeu de la pinata) qui rend mal à l'aise et une fin qui retrouve sa morale dans le générique.
Amusant et divertissant.
Le principal point faible de cette "comédie" à prendre au second degré réside dans un scénario un peu insipide dénué d'originalité. Dommage car la performance du couple principal est très réussi, notamment celle de Katherine Heigl totalement bluffante en femme au foyer à priori inoffensive mais qui va se révéler être une véritable psychopathe.
Voilà une bonne surprise même si au final la trame est assez conventionnelle. La bonne surprise est surtout côté acteurs : Katherine Heigl en femme au foyer, maniaco psychopathe, qui, sous des sourires de velours se révèle être une abominable personne ; et Patrick Wilson, le mari dominé par sa femme, qui sous des sourires de façade révèle un homme frustré et médiocre, un Patrick Wilson dont le phrasé ponctué de sourires crispés a des accents d’idiot du village ! A voir en VO, évidemment. C’est une comédie trash, noire et loin d’être si légère, surtout en fin de film
spoiler:
où Katherine Heigl menace son mari de le tuer s’il venait à reparler d’un sujet qu’elle estime tabou…
Là, il y a comme une pesanteur. Et puis que penser de la toute fin du film ? Une suite où c’est au spectateur d’imaginer l’issue ? Je demande à voir la suite par curiosité car le film l’air de rien m’a donné des pistes inattendues. Oui, c’est une bonne surprise et je suis ravi de voir Katherine Heigl jouer dans un autre registre même si celui-ci demeure encore proche de ce qu’elle fait jusqu’à présent, la comédie. Il y a du potentiel dans son jeu, il suffit de rencontrer LE metteur en scène.
Là, il y a comme une pesanteur. Et puis que penser de la toute fin du film ? Une suite où c’est au spectateur d’imaginer l’issue ? Je demande à voir la suite par curiosité car le film l’air de rien m’a donné des pistes inattendues. Oui, c’est une bonne surprise et je suis ravi de voir Katherine Heigl jouer dans un autre registre même si celui-ci demeure encore proche de ce qu’elle fait jusqu’à présent, la comédie. Il y a du potentiel dans son jeu, il suffit de rencontrer LE metteur en scène.
Un très bon divertissement, d'abord grâce aux deux acteurs qui jouent bien la crise du couple parvenu, et au scénario cocasse qui commence dans la comédie familiale grivoise (avec les scènes habituelles de ces films Us) pour évoluer vers des scènes "trash" qu'on pourrait qualifier de comédie horrifique.
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