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"Benoît Brisefer : Les Taxis rouges", comédie franco-belge écrite et réalisée par Manuel Pradal, sortie en 2014. Adaptation fidèle de la bande dessinée "Benoît Brisefer" de Peyo et du premier album "Les Taxis rouges" publié en 1960.
Un film pour jeune public avec une bonne distribution avec Gérard Jugnot, Jean Reno, Hippolyte Girardot, Evelyne Buyle, Thierry Lhermitte et le jeune acteur Léopold Huet dans le rôle principal. Une adaptation fidèle de l'album, de l'histoire et des personnages. Un rendu du village de Vivejoie-La-Grande, à la fois proche de l'esprit de la B.D et aussi très différent puisque tourné au Portugal et notamment à Lisbonne, donnant parfois des allures de grande ville à la petite ville de la B.D. Une autre distance est apportée par des effets spéciaux numériques un peu maladroit ou ayant déjà trop vieillis. Une petite adaptation qui reste sympathique mais qui a subi un échec commercial, certainement dû au fait que le personnage de Benoît Brisefer, l'équivalent franco-belge de celui de Fifi Brindacier en suède, n'est réellement connu que par une génération restreinte et surement pas du tout par les enfants de 2014, contrairement aux Schtroumpfs crées aussi par Peyo à la même époque mais restés plus présents dans l'imaginaire des générations suivantes.
Notons aussi que le film sort pour noël 2014, en même temps que "Paddington", qui a bénéficié d'une plus grande promotion.
C'est mignon, bien adapté, mais peut-être tellement fidèle que la version cinéma n'apporte tout compte fait pas de véritable plus-value à la version dessinée.
Un film pour jeune public avec une bonne distribution avec Gérard Jugnot, Jean Reno, Hippolyte Girardot, Evelyne Buyle, Thierry Lhermitte et le jeune acteur Léopold Huet dans le rôle principal. Une adaptation fidèle de l'album, de l'histoire et des personnages. Un rendu du village de Vivejoie-La-Grande, à la fois proche de l'esprit de la B.D et aussi très différent puisque tourné au Portugal et notamment à Lisbonne, donnant parfois des allures de grande ville à la petite ville de la B.D. Une autre distance est apportée par des effets spéciaux numériques un peu maladroit ou ayant déjà trop vieillis. Une petite adaptation qui reste sympathique mais qui a subi un échec commercial, certainement dû au fait que le personnage de Benoît Brisefer, l'équivalent franco-belge de celui de Fifi Brindacier en suède, n'est réellement connu que par une génération restreinte et surement pas du tout par les enfants de 2014, contrairement aux Schtroumpfs crées aussi par Peyo à la même époque mais restés plus présents dans l'imaginaire des générations suivantes.
Notons aussi que le film sort pour noël 2014, en même temps que "Paddington", qui a bénéficié d'une plus grande promotion.
C'est mignon, bien adapté, mais peut-être tellement fidèle que la version cinéma n'apporte tout compte fait pas de véritable plus-value à la version dessinée.
Caine78
Loin d'être opposé à son visionnage au départ, j'ai découvert avec curiosité comment, au fil des années, « Benoît Brisefer » était devenu un objet fétiche des nanardeurs. Cela avait commencé très tôt, avec une bande-annonce nous résumant intégralement l'histoire au point de ne plus vraiment avoir de raisons d'y aller, suivi d'un colossal échec au box-office, la durée extrêmement courte interpellant tout autant. C'est simple : tout le monde a l'air tellement gêné par le résultat qu'il aura fallu attendre sept ans (!!!) pour qu'une chaîne en clair se décide à le diffuser (et encore, Gulli!!!) et que votre serviteur s'y plonge. Franchement, je m'attendais à pire. Ce n'est pas un grand nanar, le film a même un petit côté modeste et désuet presque charmant, ne cherchant pas à en faire trop dans le spectaculaire.
Le souci, c'est qu'on est sur des bases très, très faibles niveau dramaturgie, le simple fait de raconter une histoire semblant compliqué pour Manuel Pradal. On se retrouve donc avec un truc très, très inoffensif, souvent sans grand intérêt, exploitant de façon catastrophique les super-pouvoirs de son jeune héros, enlevant pendant toute la première moitié le moindre suspense tant spoiler: celui-ci est intouchable, avant que celui-ci ne les perde
, nous amenant vers une direction exotique un peu plus sympa, malgré certaines incohérences totalement ahurissantes. Mais bon, on comprend bien que ces derniers vont lui revenir et que tout va redevenir beaucoup plus facile, l'humour et les dialogues souvent sans la moindre saveur ne faisant qu'accentuer cette impression insipide.
Mais le problème n°1, au milieu d'un « duo » Gérard Jugnot - Jean Reno en mode minimum syndical, c'est le choix cataclysmique de Léopold Huet pour interpréter Benoît. Il est juste... nul. Peu aidé par ses répliques, certes, le jeune homme n'a aucun naturel, semble lire un texte du début à la fin, et surtout, SURTOUT, ce petit rire supposé espiègle est juste insupportable, me donnant vraiment des envies de meurtre dans ces pires moments. Voilà. Pas grand-chose à ajouter, si ce n'est que tout ça est extrêmement plat, d'une grande pauvreté cinématographique (malgré une reconstitution convenable et quelques jolies couleurs), ne rendant très probablement pas hommage à la bande-dessinée de Peyo dont il est adapté. Pas le grand nanar craint (espéré), donc, plus un petit nanar inoffensif intégrant sans mal la longue liste des adaptations de BD franco-belges ratées. Force à elle.
Le souci, c'est qu'on est sur des bases très, très faibles niveau dramaturgie, le simple fait de raconter une histoire semblant compliqué pour Manuel Pradal. On se retrouve donc avec un truc très, très inoffensif, souvent sans grand intérêt, exploitant de façon catastrophique les super-pouvoirs de son jeune héros, enlevant pendant toute la première moitié le moindre suspense tant spoiler: celui-ci est intouchable, avant que celui-ci ne les perde
, nous amenant vers une direction exotique un peu plus sympa, malgré certaines incohérences totalement ahurissantes. Mais bon, on comprend bien que ces derniers vont lui revenir et que tout va redevenir beaucoup plus facile, l'humour et les dialogues souvent sans la moindre saveur ne faisant qu'accentuer cette impression insipide.
Mais le problème n°1, au milieu d'un « duo » Gérard Jugnot - Jean Reno en mode minimum syndical, c'est le choix cataclysmique de Léopold Huet pour interpréter Benoît. Il est juste... nul. Peu aidé par ses répliques, certes, le jeune homme n'a aucun naturel, semble lire un texte du début à la fin, et surtout, SURTOUT, ce petit rire supposé espiègle est juste insupportable, me donnant vraiment des envies de meurtre dans ces pires moments. Voilà. Pas grand-chose à ajouter, si ce n'est que tout ça est extrêmement plat, d'une grande pauvreté cinématographique (malgré une reconstitution convenable et quelques jolies couleurs), ne rendant très probablement pas hommage à la bande-dessinée de Peyo dont il est adapté. Pas le grand nanar craint (espéré), donc, plus un petit nanar inoffensif intégrant sans mal la longue liste des adaptations de BD franco-belges ratées. Force à elle.
C est sans doute pour commencer un bel exercice de réussir à être aussi fidèle au héros de bande dessinée de Peyo, néanmoins il est dommage que la réalisation n est pas réussi à faire mieux passer intrigue, rythme pour rendre plus attrayantes les aventures de ce personnage plein de potentiel pour le cinéma...
Fêtons le cinéma
Benoît Brisefer : Les Taxis rouges peine à se démarquer du tout-venant des adaptations contemporaines de bandes dessinées franco-belges, de Ducobu à Gaston Lagaffe en passant par Spirou. Nous retrouvons, une fois encore, la confusion entre le rythme alerte du support lu et l’épilepsie d’une transposition qui ne parvient pas à rendre concret et cohérent l’univers de Peyo : l’empressement régit tout, l’action est illisible – voire à ce titre la course-poursuite dans le parc, avec sa nuit américaine hideuse – et les superpouvoirs du héros ne s’incarnent que faiblement à l’écran. Les situations se suivent et se ressemblent sur un ton trop gentillet qui ostracise l’adulte et la réflexion poussée ; nous sommes loin des réussites flamboyantes d’Alain Chabat, modèle du genre, que sont Astérix et Marsupilami. Seuls valent les acteurs, au jeu exagérément sympathique, à commencer par Jean Reno en chef d’entreprise sans pitié soucieux d’écraser la concurrence. Pas de quoi faire un film, à peine un divertissement pour la famille ; reste une bonne humeur d’ensemble et de belles couleurs.
Amateur de B.D. j'aime assez Benoit Brisefer et sans être rabat-joie ce film ne lui rend pas hommage. Tout en respectant l'ensemble de l'histoire le tout est poussif comme le sont souvent les comédies françaises. Manque de cohérence, d'imagination, de relief comme un manque de maîtrise en laissant les comédiens jouer dans leur film et non faire transparaître un ensemble plus grand. L'habit ne fait pas le moine et cette fois le jeune acteur n'est pas bien choisit, n'a pas exactement le caractère du personnage ou est mal dirigé.
Ce film inspirée de la BD du même nom est bien, Jean Reno se fait de la parti dans se film un peu surréaliste mais sympathique a voir en famille !
Le casting est sympa, l'univers de la Bd est respecté mais ces effets spéciaux, bon dieu...même Georges Mélisse était capable de faire mieux!
Un film qui ne mérite clairement pas sa mauvaise note .
Le jeux d'acteur de Jugnot et du petit qui joue le rôle de benoit sont de grandes classes sans parler de Jean Reno .
Evidemment se film est clairement pour les enfants .
J'ai toutefois une petite chose a redire sur ce film , les effets spéciaux grotesques du petits qui saute a travers la ville ...
Mais sinon bon film pour enfant ...
Le jeux d'acteur de Jugnot et du petit qui joue le rôle de benoit sont de grandes classes sans parler de Jean Reno .
Evidemment se film est clairement pour les enfants .
J'ai toutefois une petite chose a redire sur ce film , les effets spéciaux grotesques du petits qui saute a travers la ville ...
Mais sinon bon film pour enfant ...
Ce film est parfait pour les 6 - 11 ans. C'est rigolo, le scénario est complètement improbable et incohérent mais à cet âge là, ce n'est pas une affaire. Le héros est un petit garçon, ce qui aura le mérite de les captiver etc...De plus le film ne dure qu'1h10. Ils n'auront pas le temps de décrocher!
Pour les autres spectateurs, la prestation de Jugnot et Reno n'est pas mauvaise. La reconstitution des années 70 est très bien faite. C'est tout!
A voir par les jeunes essentiellement ou les fous de la BD d'origine.
Pour les autres spectateurs, la prestation de Jugnot et Reno n'est pas mauvaise. La reconstitution des années 70 est très bien faite. C'est tout!
A voir par les jeunes essentiellement ou les fous de la BD d'origine.
Bon petit film pour Noël, surtout pour les enfants (pas trop grands). Le méchant patron des taxis rouges (Jean Reno) grand arnaqueur en fait, n'est pas de taille face une notre jeune Benoit Brisefer (Leopold Huet) plein de ressources -bon.... c'est un film, et vu la période, on ne dira rien.... Les trucages sont un peu grossiers... mais Gerard Jugnot un peu simplet est sympa, et la gentille Evelyne Buyle lui tourne un peu la tête !!
Les autos et les décors style Bord de mer Lisbonne sont agréables. Sans plus... !! **
Les autos et les décors style Bord de mer Lisbonne sont agréables. Sans plus... !! **
Bonne adaptation sympathique de la première BD de 'Benoît Brisefer' de Peyo, avec de grands acteurs français.
On sait qu'une certaine malédiction pèse sur les adaptations françaises de BD francophones. Heureusement, Benoit Brisefer... ne rompt pas avec cette tradition. Quand on connait l'histoire, on se dit déjà que c'est une saga inadaptable. Un petit garçon qui a hérité de super pouvoirs mais qui les perd quand il est enrhumé, waw ! SI les américains n'ont pas voulu s'en charger, nous pouvons le faire. Et le problème, c'est que la patte française se ressent. Des acteurs pourtant reconnus (Jean Reno, Gérard Jugnot) à côté de la plaque, un petit garçon un peu tête à claques et surtout des effets spéciaux qui feraient pâlir James Cameron (course en mode Flash, sauts de building sauce Spider-man, soulèvement de voitures style Superman...). Vous avez la recette parfaite pour obtenir un bon petit navet dont nous seuls sommes capables. Et un navet, même réchauffé ca n'a toujours pas de saveur.
En tant que grand connaisseur de cette bande dessinée , je puis affirmer que le film est est en tous points fidèle .
En effet , Benoit Brisefer est un petit garçon très fort , mais d'abord bien élevé , gentil , doux et émouvant . Le petit Léopold Huet le joue tres bien Et est très touchant .
En effet le film raconte l'histoire d'un jeune garçon des années 60. Nous devrions en prendre de la graine et n'avoir que des gamins comme ça :
Je trouve les critiques trop sévères avec ce film.
En effet , Benoit Brisefer est un petit garçon très fort , mais d'abord bien élevé , gentil , doux et émouvant . Le petit Léopold Huet le joue tres bien Et est très touchant .
En effet le film raconte l'histoire d'un jeune garçon des années 60. Nous devrions en prendre de la graine et n'avoir que des gamins comme ça :
Je trouve les critiques trop sévères avec ce film.
Bien que fidèle à la BD, le film est long, le jeu d'acteur est nul malgré des pointures (RENO, JUGNOT).
Je déconseille.
Je déconseille.
Un gros casting pour une bien petite et inoffensive adaptation enfantine au charme désuet et aux FX ratés...
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