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    Partisan
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    benoitG80
    benoitG80

    3 429 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 mai 2015
    "Partisan" première et méritante réalisation de Ariel Kleiman, nous immerge dans un univers particulièrement envoûtant, étrange, tout en étant à la fois inquiétant et oppressant...
    Ce film en dehors du temps et de tous lieux précis, met ainsi tout contexte extérieur entre parenthèses et prend l'allure d'une fable abstraite assez impressionnante par la présence de deux acteurs remarquables, Vincent Cassel est en effet omniprésent par son jeu, et ce rôle qui le caractérise à fortiori, en tant que gourou dangereux, mais avant tout le jeune Jérémy Chabriel, a un magnétisme troublant et indéfinissable qui nous absorbe littéralement, le rendant finalement encore plus bouleversant que le premier !
    Cette communauté que protège, mais que dirige surtout le puissant et charismatique Grégori, est habilement dépeinte dans son fonctionnement, à travers son mode de vie, ses habitudes et également maints petits détails qui la rendent très prenante à nos yeux.
    On devine très vite comment cet homme installe sa domination, son pouvoir par la manipulation, ceci sous une forme d'amour, de conseil et d'écoute...
    Tous ces enfants dont on partage le quotidien dans les apprentissages sont de plus très bien filmés et à les voir ainsi, ils dégageraient ensemble presque un bien être apparent où l'éducation serait quasi idéale !
    Le grain de sable va enrayer pourtant doucement cette mécanique implacable par la personnalité de son propre fils, Alexandre, très intelligent et observateur, et la transformation de cet enfant va être passionnante à étudier, tant ces doutes et cette remise en question surgissent lentement et presque à son insu.
    À ce niveau, on se sent complètement transporté, subjugué par ce rapport père/fils, alors qu'en même temps ce même rapport est également faussé puisque pour ce véritable "chef de meute", tous ces enfants sous sa protection sont aussi les siens.
    Ce film dégage une ambiance très étrange, presque surréaliste par cet aspect étouffant où la moindre rébellion est endiguée, contenue avec une violence toujours sous jacente et imminente !
    Pour ne rien gâter, la qualité de la photographie, ici vraiment magnifique dans les compositions, les couleurs et les cadrages, est en plus à la hauteur du jeu des acteurs pour nous captiver et entrer dans cet univers sidérant du début à la fin... Car cet endroit curieux, coupé du monde, sorte de bunker bétonné, mais humanisé par ses habitants, est tout à la fois poétique, beau tout en prenant l'apparence d'une prison castratrice pour ces petits hommes.
    Par ce fait de société, on assiste à une formidable étude de caractères qui regorge d'originalité, tant dans sa démonstration que dans sa forme, toutes deux en parfaite adéquation sans que l'une prenne en aucun cas le pas sur l'autre...
    Septième Sens
    Septième Sens

    87 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 mai 2015
    Un homme, filmé de dos, gouverne le paysage qui l'entoure. Soulevant tout un amas de ferraille à la force de ses bras, rien ne semble lui résister. Il construit un domaine dans lequel il recueille femmes et enfants égarés. Pour les protéger du monde, dit-il. Les années passent et la communauté s'agrandit, tandis qu'Alexandre, 11 ans, commence à se poser des questions.

    Si ce pitch est une belle idée en soi, il est vite noyé sous une narration laborieuse et lancinante. En dépit d'une angoisse toujours présente à l'image, tous les codes de ce genre cinématographique sont éculés. La figure inquiétante du mentor /gourou, incarnée par un Cassel plus qu'habitué à ce genre de rôle. Le signe annonciateur de la révolte, symbolisé par un nouveau partisan. Et l'insurrection, enfin, développée par Alexandre. Rien de nouveau sous le soleil.

    Âgé tout juste de trente ans, Ariel Kleiman a été ambitieux pour son premier long-métrage. En invitant le public à s'interroger sur l'influence que les adultes peuvent avoir sur leurs descendants, le réalisateur délivre un récit existentialiste à hauteur d'enfant. Désemparé et couper d'une société qu'il ne connait pas, Alexandre possède tous les symptômes de la sectorisation. Le bien et le mal sont pout lui des notions abstraites, mais ces éléments narratifs prometteurs n'arrivent pas à trouver leur puissance à l'écran. Le scénario reste collé au papier sans vraiment prendre de forme plastique. Là où Sean Durkin avait brillamment réussi avec le fascinant Martha Marcy May Marlene, Ariel Kleiman s'est égaré.
    tixou0
    tixou0

    709 abonnés 2 002 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 mai 2015
    Un film singulier, et assez dérangeant. Soit un étonnant phalanstère (probablement quelque part dans les Balkans - entassement d'immeubles lugubres évoquant l'ancienne Yougoslavie, par exemple le pays du "Partizan" belgradois), où il n'y a que des femmes au passé douloureux (de tous âges, voire de toutes les couleurs) et leurs enfants, regroupés sous la houlette d'un personnage charismatique et très autoritaire, sous des dehors protecteurs et doucereux, père de certains de ces derniers (et "honorant" l'ensemble de son harem), "Gregori" (Vincent Cassel, plus faunesque que jamais). Ce petit monde vit en vase clos. Seuls les enfants les plus âgés sortent, en solo ou en tandem, pour assurer la subsistance de la communauté - spoiler: ils sont tueurs à gages
    . Le "patriarche"a en effet de la morale une vision toute personnelle. On découvre cet univers ultra codifié et anxiogène en suivant "Alexandre" (Jeremy Chabriel) le "partisan" le plus fidèle du maître, (pour ne pas dire son disciple, tout simplement). Entre 2 anniversaires du jeune garçon (11e et 12e), son évolution psychologique est impressionnante spoiler: - le passage dans le microcosme d'une nouvelle famille (mère, garçon du même âge qu'Alexandre et nourrisson - Gregori recrute ses pensionnaires dans les maternités) va bouleverser ses certitudes et son attachement pour le gourou. Jusqu'au drame, "familial".
    Il y a des qualités dans ce premier film australien, dont la première est l'originalité du sujet. Mais il faut tempérer son enthousiasme, car le rythme est beaucoup trop lent, et les redondances envahissantes. Un simple "pas mal", donc.
    Real C
    Real C

    115 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 mai 2015
    Partisan fait parti de ses films que j'ai vue en "roue libre", c'est à dire que je n'ai pas vu ce film juste pour en faire une critique. Mais juste pour découvrir un film, pour voir vraiment autre chose que des films très vendeurs. Et j'y ai passé un bon moment, même si je n'ai pas saisi tout l'importance du film. Cependant dans la soirée j'ai pensé à 2 choses. La première est trop personnelle pour en parler. La seconde, c'est ce film. Es-ce que c'est un bon film ou pas ? La réponse est...complexe. Car il fait parti de ses films à plusieurs niveaux de lectures et qui ne peut être appréciable que sur certains aspects et pas sur d'autre.

    Je ne peux pas sire d'amblé si ce film est génial ou non. Je le dirai en conclusion. Mais je peux dire que ce film a une atmosphère, une ambiance de thriller psychologique et de pseudo 8-clôt fort. La réalisation est simple et efficace, mais tout l'effort du travail a été accompli sur la photographie sombre et la mise en scène:
    spoiler: Les plans de Gregori (Vincent Cassel) de dos, les plans américains de Alexandre, beaucoup de plans rapprochés, l'esthétique sombre et brut.


    Le tout donne au film une identité assez marquée. C'est quand même classe mais il possède un handicap de taille, la narration. En effet, le film est très difficile à suivre car il est trop dans la suggestion.

    Niveau narration, il est difficile de savoir si c'est bien ou pas car j'ai plus l'impression que tout est intentionnel. Dès le départ on comprend un peu qui sont les personnages, mais on nous suggère trop ce qu'ils sont vraiment. Gregori (joué par Vincent Cassel) a un rôle plus que trouble.

    spoiler: Est-il responsable ? Père des enfants ? Bandit ? Pourquoi il ne veut pas que les enfants connaissent le monde extérieur ?


    Il est difficile de le cerner même s'il on nous laisse suggéré quelques indices. Mais tout est libre à interprétation. Le rôle de Alexandre (joué par Jeremy Chabriel) est assez trouble aussi. Il se pose pas mal de question sur son existence et sur ces actions, au point ou progressivement, il devient de plus en plus hostile envers Gregori, même si c'est subtile.

    Les autres personnages sont très secondaires, que ce soit l'enfant qui s'appelle Léo (même s'il est assez mis en avant) et la mère d'Alexandre Susanna (jouée par Florence Mezzara ). Mais là, pas trop de problème étant donné que le film est raconté du point de vue d'Alexandre. Mais leur rôle est assez limité dans la narration.

    En clair, le film possède des enjeux pas assez clair ou définis. Il possède les même problèmes que le film Le Village de M Night Shyamalan (que je vous recommande très fortement). Mais là où le Village avait son twist final pour nous éclaircir quelques peu, ce film ne laisse rien transparaître ce qui fait qu'on ne sait pas si c'est bien ou non. Peut-être que c'est un peu des 2. En effet, cela rend le film vraiment proche de nous et les événements qui s'enchaînent peuvent aussi être d'actualité. Ceci dit, il aurait été mieux que la suggestion soit plus tempérée.

    Bref, pour une première réalisation, le film est assez paradoxale et est un peu difficile à suivre et à comprendre pour les non avertis. Mais, j'ai globalement bien apprécié et il vaut quand même le coup, même s'il est difficile à suivre.
    bouddha5962
    bouddha5962

    62 abonnés 738 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mai 2015
    Un film très surprenant et très freudien !

    Vincent Cassel est très surprenant et le jeune Jérémy Chabriel excellent.

    L'histoire est glauque avec un zeste d'espoir.

    A voir pour les amateurs
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 mai 2015
    Un très bon film...étonnant déstabilisant...Vincent Cassel porte le film...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 mai 2015
    Il pleuvait et je suis allé voir ce film un peu par hasard, en accompagnant ma chérie. C'est elle qui avait décidé : soit.
    Par ailleurs, j'aime bien Vincent Cassel et la plupart de ses films sont de bon niveau, alors je me suis laissé faire. En entrant dans la salle, on pouvait compter facilement les spectateurs. Mauvais indice mais quand on y est, on y est.
    L'ouverture du film est prometteuse : spoiler: décor étrange de montagne hérissé de HLM que l'on devine abandonnés ou peuplés d'ombres. Et puis un homme un peu effrayant, vu de dos qui se coltine une masse de matériaux, tel un Jean Valjean roumain ou albanais
    . Que va-t-il se passer ? Que cache ce décor ? à quoi servent ces objets ?... Titre du Film...
    spoiler: L'ouverture donne sur un huis clos de femmes avec enfants et de cet homme. D'où vient-il, que fait-il ? qui sont elles ou ils ? on ne le saura jamais
    . C'est le néant.
    Le propos, téléphoné dés la première minute, s'étend et s'allonge de manière mortellement ennuyeuse.
    Le coup de théâtre ne vient pas, rien ne se produit spoiler: - à part la mort d'une poule -
    et on nous laisse à deviner des choses aussi mystérieuses qu'évidentes et totalement ineptes. Le personnage phare, Vincent Cassel, en fait des tonnes pour entretenir un vague suspens et son faire valoir est un gamin "big eyes" au regard de tanche qui veut en dire long sur on ne sait quoi. spoiler: Les gamins font des concours de karaoke et butent des inconnus.

    C'est long, c'est prétentieux, c'est ennuyeux, c'est mal joué, j'ai piqué du nez à moults reprises sans rien louper. J'ai pris la plume pour exprimer ce sentiment assez commun de m'être fait arnaquer et d'en vouloir à ceux qui ont commis ce navet prétentiard. J'en veux à Vincent Cassel d'embarquer un amateur - au sens d'aimer son travail - dans ce truc informe et sans saveur, chiant comme la pluie qui battait dehors.
    Je n'en veux pas aux critiques, qui à quelques rares exceptions ont fait mine d'adorer ce film pour mieux se foutre de la tronche de leurs lecteurs. Ça ne m'a pas étonné, après, mais comme je ne les avais pas lues avant...
    Seul point positif : une heure et demie (ou plus ?) au chaud avec ma sheila. Je n'osais pas regarder ma montre pour ne pas la vexer, mais c'est pas l'envie qui m'en manquait.
    Fuyez bonnes gens !
    peter W.
    peter W.

    44 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 octobre 2016
    Une idée intéressante et une ambiance originale mais ça manque sans doute de matière pour un long métrage. Il y a des passages creux et on comprend assez vite comment cela va se terminer.
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    215 abonnés 2 867 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 juillet 2017
    Secte ou simple endoctrinement par soif d'evengelisme, d'un homme tiraillé et affaibli dans un monde qui avance pourtant et se reconstruire sans lui. On comprend dès le premier plan l'attrait qu'a cette figure paternelle qui fauche à tout va la vie autour de lui pour améliorer son confort. Puis on lève le voil sa vulnérabilité face à la remise en doute de son pouvoir sur le monde. Enfin le soulèvement des siens qui est sans aucun doute le point noir de se développement, peu convaincant. Qui lève le doute sur la maturité de l'histoire en elle-même. Des acteurs convaincant sans une direction très affirmé mais de bons instants entre Karaoké et règlements de comptes.
    Sylvain P
    Sylvain P

    341 abonnés 1 358 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 mai 2015
    L'adolescence marque le début de la libre pensée. La parole du référent n'est plus prise comme parole d'Évangile, mais est mise en doute. Sur ce constat simple, Ariel Kleiman tire une histoire complètement imaginaire, violente, puissante aussi avec des personnages remarquables et inoubliables. La mise en scène, avec effet musical tonitruant, est encore trop hésitante, péché de jeunesse, mais on attend avec impatience le prochain film de ce réalisateur culotté.
    lost 4/8/15/16/23/42
    lost 4/8/15/16/23/42

    19 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mai 2015
    Un trés bon film dans l'ensemble avec une bonne histoire à voir
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 mai 2015
    Partisan, c’est l’histoire d’Alexandre et de Gregori. Alexandre, le bel enfant aux yeux clairs et au cœur loyal et pur contre Gregori, l’énigmatique gourou barbu, remarquablement incarné par Vincent Cassel, mystérieux et sombre à souhait dans ce rôle. Ou encore, pour citer une référence mythique : le combat de l’archange Michel contre Lucifer …
    Gregori vit entouré d’un groupe de femmes esseulées et des enfants de ces dernières, dont il a pris en charge l’éducation, une éducation tout à fait spéciale. spoiler: (il en fait des tueurs !)
    Il manipule comme une cire malléable l’esprit de ces enfants qui l’aiment et qu’il paraît, à première vue, aimer. Tout ce petit monde vit en bonne entente dans un environnement très isolé et lugubre, et semble heureux, c’est du moins ce que veut faire croire Gregori, qui est très attentif et surveille de très près les moindres actions et réactions de ses « ouailles ». Le scénario est très lent et ce n’est que peu à peu que se lève le voile sur la personnalité ambiguë de Gregori. Un événement, la rébellion d’un enfant nouveau venu, sera l’élément déclencheur qui sèmera le doute dans l’esprit d’Alexandre à propos de cet homme qu’il aime et qu’il admire. Il finira par comprendre la noirceur du personnage et agira en conséquence. C’est un film très curieux, assez lent, d’une captivante étrangeté. Brillante interprétation des deux rôles principaux.
    funpav
    funpav

    14 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 mai 2015
    C'est un film bien décevant que j'ai vu. L'idée de départ est intéressante (une forme d'émancipation d'un pré ado à l'autorité) , mais que c'est mal traité. C'est souvent pas assez approfondi (le rôle des enfants lorsqu'ils sont à l'extérieur), c'est souvent trop lent (le karaoke) sans que ce rythme apporte quoi que ce soit à l'histoire. Le metteur en scène est passé à côté de son sujet. Dommage. car il y a de bonnes intentions, et notamment cette capacité de faire un film assez oppressant par son intemporalité même (ou se situe l'histoire? à quelle période? pourquoi cet isolement de la communauté?).
    selenie
    selenie

    6 344 abonnés 6 208 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 mai 2015
    Le réalisateur australien imagine une sorte de gourou qui décide de créer une communauté à son image, retiré du monde extérieur et en créant son propre harem... Seul homme de sa communauté il se créer un monde à part dans une fable surréaliste cruelle et finalement complètement utopiste. Malheureusement le quotidien bien rôdé de ce petit monde va connaitre un grain de sable qui va éveiller des doutes dans l'esprit d'un jeune ado vis à vis de son Père. Un bon et beau film en tous cas, un réalisateur prometteur pour un récit ambitieux et intelligent à défaut d'être complètement convaincant.
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    112 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 mai 2015
    Partisan aborde de manière assez originale le thème de l'émancipation adolescente, avec ce personnage d'Alexander, chouchou du gourou Cassel qui va commencer, à l'aube de ses 12 ans, à penser par lui-même et remettre en cause l'autorité "paternelle" qu'il soupçonne d'être basée sur le mensonge. Malheureusement, le film ne fait que survoler les pistes les plus intéressantes (...) avec une réalisation faussement rigoureuse, qui tient plus de la pose que du véritable geste cinématographique.

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