Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Dork Zabunyan
Dans le film, l’exploration d’une mémoire individuelle ou le récit de "fantasmes" ne relèvent pas de l’anecdote biographique. Au contraire, ils manifestent une hantise plus que personnelle qui élargit et rend plus complexe notre compréhension de ce que l’on appelle, non sans morgue, le "conflit israélo-palestinien".
Critikat.com
par Julien Marsa
Si "Dans un jardin je suis entré" traduit implicitement un certain désœuvrement – Mograbi s'y fait moins vindicatif et volontariste qu'à l'accoutumée – le film conquiert une inquiétude et une fragilité troublantes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Emile Breton
[Le film est] sans lourdeur, car d’abord il est drôle. Ali comme Avi sont deux fameux comédiens qui se provoquent et s’aiment (...). Et il n’est pas passéiste. À cause de Yasmine, fille de deux cultures (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Isabelle Regnier
Cette manière de tresser ensemble le rêve et la réalité, l'utopie et le concret, la croyance tenace dont elle témoigne dans la capacité de l'homme à s'arracher aux assignations, est rien de moins que révolutionnaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
D'une mélancolie tenace, "Dans un jardin je suis entré" ravive la mémoire - et refonde l'utopie - d'un Moyen-Orient sans frontières ethniques ni confessionnelles.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
C’est toute la beauté et l’intelligence de cette relation : les vicissitudes politiques n’empêchent pas une puissante amitié, incarnée par une belle séquence sur une plage face au coucher de soleil.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Natalie Levisalles
Depuis que Mograbi tourne des documentaires (c’est le douzième depuis 1989), jamais, et de loin, il n’a autant été question d’amour. Et (...) le spectateur ressent, magnifiquement incarnée par la superbe voix de la femme qui écrit [des lettres passionnées], une nostalgie déchirante.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Nicolas Bauche
Une petite fille haute comme trois pommes (...) dynamite le discours du cinéaste, forclos autour d'un échange entre le metteur en scène et Ali Al-Azhari. (...) "Dans un jardin je suis entré" trouve son ton juste, dès qu'elle mène le jeu.
Télérama
par Mathilde Blottière
Avec ce regard sur l'ennemi désigné, le cinéaste suggère magnifiquement la fraternité des destins.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Isabelle Danel
De conversations passionnantes, le réalisateur israélien tire un film foisonnant et brouillon.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir la critique sur le site de Studio Ciné live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Véritable work in progress maladroit, ce nouveau documentaire d’Avi Mograbi contourne son sujet et finit par tourner à vide.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Dans le film, l’exploration d’une mémoire individuelle ou le récit de "fantasmes" ne relèvent pas de l’anecdote biographique. Au contraire, ils manifestent une hantise plus que personnelle qui élargit et rend plus complexe notre compréhension de ce que l’on appelle, non sans morgue, le "conflit israélo-palestinien".
Critikat.com
Si "Dans un jardin je suis entré" traduit implicitement un certain désœuvrement – Mograbi s'y fait moins vindicatif et volontariste qu'à l'accoutumée – le film conquiert une inquiétude et une fragilité troublantes.
L'Humanité
[Le film est] sans lourdeur, car d’abord il est drôle. Ali comme Avi sont deux fameux comédiens qui se provoquent et s’aiment (...). Et il n’est pas passéiste. À cause de Yasmine, fille de deux cultures (...).
Le Monde
Cette manière de tresser ensemble le rêve et la réalité, l'utopie et le concret, la croyance tenace dont elle témoigne dans la capacité de l'homme à s'arracher aux assignations, est rien de moins que révolutionnaire.
Les Fiches du Cinéma
D'une mélancolie tenace, "Dans un jardin je suis entré" ravive la mémoire - et refonde l'utopie - d'un Moyen-Orient sans frontières ethniques ni confessionnelles.
Les Inrockuptibles
C’est toute la beauté et l’intelligence de cette relation : les vicissitudes politiques n’empêchent pas une puissante amitié, incarnée par une belle séquence sur une plage face au coucher de soleil.
Libération
Depuis que Mograbi tourne des documentaires (c’est le douzième depuis 1989), jamais, et de loin, il n’a autant été question d’amour. Et (...) le spectateur ressent, magnifiquement incarnée par la superbe voix de la femme qui écrit [des lettres passionnées], une nostalgie déchirante.
Positif
Une petite fille haute comme trois pommes (...) dynamite le discours du cinéaste, forclos autour d'un échange entre le metteur en scène et Ali Al-Azhari. (...) "Dans un jardin je suis entré" trouve son ton juste, dès qu'elle mène le jeu.
Télérama
Avec ce regard sur l'ennemi désigné, le cinéaste suggère magnifiquement la fraternité des destins.
Première
De conversations passionnantes, le réalisateur israélien tire un film foisonnant et brouillon.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné live.
aVoir-aLire.com
Véritable work in progress maladroit, ce nouveau documentaire d’Avi Mograbi contourne son sujet et finit par tourner à vide.