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Zakaria aouad
1 critique
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4,0
Publiée le 7 mai 2022
Ce film, Hidden figures ma beaucoup plu car c'est un film qui s'inspire de la réalité en montrant la place des personnes de couleurs noires dans la vie actuelle. C'est un film émouvant, qui fait réfléchir sur le racisme et la manière dont sont traités les gens de couleurs noires. On passe un bon moment à regarder le film et Theodore Melfi réussi à faire effacer les différences devant un intérêt commun
exellent film. combat contre le racisme des années 60 et le combat des filles pour l'égalité face au projet d'envoyer un astronaute sur la lune, les combat contre des croyances stupides et des comportements souvent très imatures genre feutrer une page entière histoire de cacher les infos a une femme noir ou encore des toilette pour noir, des section pour noir a la bibliothèque. période de singlé. mise en scène exellente, scénario incroyable et des acteurs de tallent.
C'est très académique, conventionel et ça manque cruellement de nuances mais le film séduit tout de même par son temps fun, son combat et sa fraîcheur. Et puis réussir à divertir pendant 2 heures en parlant tout le temps de formules mathématiques incompréhensible c'était pas gagné d'avance.
Un tres beau film dans une époque compliquée, Taraji P Henson joue au top, tout comme Kevin Costner. J'ai passé un bon moment et quand on pense que c'est une histoire vraie, ca fait plaisir de leur rendre hommage à c'est 3 femmes pour ceux qu'elles ont fait.
une leçon d'Histoire sur un sujet assez méconu; l'apport de ces femmes dans un projet majeur de la NASA tout en menant les combats de l'époque : être une femme : être noire à une époque marquée par le racisme et le mépris envers les femmes surtout si elles sont intelligentes ; en bref film fabuleux servi par une excellente interpréation ;
"Télérama par Frédéric Strauss Une belle revanche. Mais le film ne creuse pas assez ces portraits : la vie privée de ces employées de la Nasa se réduit à quelques moments épars, alors que la clé de leur exceptionnel parcours professionnel est d'abord dans leur vie personnelle."
Mais voyons... Honnêtement, la !science! et l'égalité prévalent, n'est-il pas??!!
"Une belle revanche." C'est-à-dire? Car s'il faut que je paie pour lire votre critique complète, veuillez m'excuser, mais effectivement je n'y ai pas eu accès contrairement à d'autre presse.
Les rares moments intimes n'apportent que peu au sujet. Comme ce fut, en temps réel.
Télérama sombre à la "Last Days". Les seuls aveugles face au monde.
Jusqu'ici mon film préféré, en tant que fan inconditionnel de la conquête spatiale je me suis plu a découvrir l'ambiance régnant dans le centre spatiale lors de la ségrégation mais aussi dans le cadre de la course a l'espace, le destin de ses trois femmes est un témoignage poignant de leurs conditions de travail dans cette période charnière. Je n'ai qu'un mot à dire foncez le voir.
Magnifique remise à l'honneur du rôle de trois femmes noires dans la conquête spatiale par les États-Unis. Le spectateur de 2021 sera subjugué de voir qu'en 1961 dans ce grand pays, des écriteaux affichaient dans les bureaux de la NASA : "Colored computers" (calculatrices de couleur, et on ne parle pas de machines de différentes couleurs, mais bien de femmes). On y trouvait toutes les brillantes mathématiciennes noires dont l'agence spatiale avait besoin... et les réunissait pourtant dans des lieux réservés, isolées ainsi des autres personnels. Une de ces femmes, ayant grandi dans cet univers ségrégationniste s'exprime avec dépit : "Je suis noire et je suis femme, je ne vais pas entretenir des rêves impossibles". Une femme blanche chargée de lui apprendre qu'elle est promue, croit bon d'ajouter : "Il n'y a jamais eu de personne de couleur ici, alors ne me faites pas honte". La promotion s'accompagne de son lot de brimades insidieuses, qu'elle subit en silence, comme pour se rendre aux "Colors ladies room" (toilettes pour dames de couleur) à l'autre bout du campus. Jusqu'à ce que Al Harrison (Kevin Costner, excellent !), règle le problème : "Ici à la NASA, on pisse tous de la même couleur"... comment pourrait-il en être autrement ? Voir aussi l'une des héroïnes se battre devant la justice de son pays pour accéder aux cours du soir d'un lycée de blancs, montre toute la valeur de l'accès au savoir pour ceux qui ont du talent mais ne sont pas nés au bon endroit. L'une des héroïnes se voyant refuser l'accès à une réunion confidentielle, par un implacable : "Il n'y a aucune protocole pour admettre des femmes" répond aussitôt : "Il n'y a protocole pour mettre des gens sur orbites". Brillant ! Au final, le scénario est excellent (dans le même esprit que Imitation Game), les images magnifiques (on se croirait dans les années 1960), les décors, les costumes et même la bande originale sont superbes. À voir même sans être passionné d'espace.
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18 103 critiques
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1,5
Publiée le 26 juillet 2021
Les Figures de l'ombre est important et doit être couvert de prix et d'éloges car il s'agit d'une propagande basée sur un tissu de mensonges. Il crée un nouveau récit totalement dépourvu de vérité sur la participation des Noirs à la plus grande réalisation de l'homme même en dépit de la discrimination. Même la valeur du film en tant que symbole était limitée parce que ses contributions étaient insignifiantes. Il suffit d'un coup d'œil à Wikipédia pour découvrir que les réalisations de ces femmes de couleur ont été exagérées voire même inventées. Sommes-nous vraiment censés croire à cette histoire. Ces femmes ont les réponses technologiques alors qu'une salle pleine d'ingénieurs de mathématiciens et de spécialistes des fusées sont dans l'impasse ce n'est tout simplement pas une histoire crédible...
Dans ce film, nous redécouvrons l’époque de la ségrégation sous un nouveau point de vue, celui de femmes fortes, intelligentes et déterminées. J’ai tout d’abord vraiment adoré ces trois femmes, qui ne manquent pas de réparties et de mordant. Elles nous offrent une bonne philosophie de vie, et nous prouvent que dans la vie, il faut se battre pour obtenir ce que nous désirons. Il y aura toujours des gens qui tenteront de nous entraver le chemin, c’est à nous de leur prouver ce que nous valons. J’ai également adoré voir la mentalité des Américains blancs évoluer. Nous voyons au début du film qu’ils sont tous réticents à l’idée de travailler avec des femmes noires, pourtant petit à petit, l’humanité reprend le dessus. La relation qu’entretient la calculatrice avec le capitaine est très sincère et pleine de sensibilités.
Ce film dénonce avec vivacité les injustices de cette époque, j’ai beaucoup aimé ne pas revoir certains clichés que tous connaissent, mais des faits moins connus, tels que la ségrégation dans les bibliothèques. J’ai bien apprécié la fin également, très belle et heureuse, seulement j’aurais aimé qu’elle soit plus marquante et moins évidente.