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Bouleversant #LesFiguresDeLOmbre !
Une magnifique leçon de courage et de tolérance. Une histoire vraie qui force le respect !
Une histoire qui met la lumière sur trois « personnages » méconnus, mais aussi leurs interprètes incroyable. Elle relate le parcours de chacune d’entre elles et de leur amitié.
Une réalisation sobre, classique, sincère tout en servant à bon escient les comédiennes.
Un regard différent sur la ségrégation qui,prend tout son relief du fait de l’histoire, méconnue, qu’il raconte.
A voir absolument !
Une magnifique leçon de courage et de tolérance. Une histoire vraie qui force le respect !
Une histoire qui met la lumière sur trois « personnages » méconnus, mais aussi leurs interprètes incroyable. Elle relate le parcours de chacune d’entre elles et de leur amitié.
Une réalisation sobre, classique, sincère tout en servant à bon escient les comédiennes.
Un regard différent sur la ségrégation qui,prend tout son relief du fait de l’histoire, méconnue, qu’il raconte.
A voir absolument !
(...) Est-ce que s’intéresser à la science empêche de réfléchir aux questions de société ? Les Figures de l’ombre, pourtant, prétend le faire. Mais de manière si maladroite qu’on finit par ne plus y croire. (...) Jimmy Kimmel s’amusait aux Oscars de ce qu’un individu peut accomplir si on l’empêche d’aller aux toilettes ; la trivialité de son propos a moyennement plu, c’est pourtant bien le travers de ce film qui peine à convaincre tant il dilue l’essentiel dans l’anecdotique, le politique dans le mélo.
En 1961, Katherine Johnson, Dorothy Vaughn et Mary Jackson travaillent à la NASA. Elles sont reléguées à des tâches qui ne leur permettent pas de faire usage de leur intelligence hors du commun. En plus d'être femmes, ce qui n'était déjà pas une qualité à l'époque, elles ont le défaut d'être noires. Elles devront se battre pour pouvoir intégrer des postes de haut niveau dans la conquête de l'espace.
Les figures de l'ombre trace le portrait de ces trois héroïnes exceptionnelles, femmes noires au milieu d'hommes blancs dans un état toujours ségrégationniste. Il est question ici de conquêtes, en premier lieu, celle du droit de travailler librement pour ces femmes de couleurs et celle de l'espace par les Etats-Unis. Le récit est mené suffisamment intelligemment pour que l'on s'intéresse à ces deux défis. Si le réalisateur présente un film à l'Américaine, il prend soin d'en estomper quelque peu les excès du genre et sans avoir le temps d’aborder la ségrégation de façon approfondie, il en montre suffisamment, et sans manichéisme, pour planter le contexte hallucinant de crétinisme raciste. Il est servi par trois comédiennes (Taraji P. Henson, Octavia Spencer, Janelle Monáe) épatantes et un Kevin Costner au meilleur de sa forme. La mise en scène élégante, plutôt classique, s’autorise de belles idées de plans. Le montage est alerte et si les parties contant la vie privée de ses héroïnes sont moins réussies, au point de casser un peu le rythme, on ne s'ennuie jamais. On se trouve sidéré de ne découvrir que cinquante ans plus tard cette extraordinaire histoire et fasciné jusqu'au bout par le destin de ces héroïnes. Efficace.
Les figures de l'ombre trace le portrait de ces trois héroïnes exceptionnelles, femmes noires au milieu d'hommes blancs dans un état toujours ségrégationniste. Il est question ici de conquêtes, en premier lieu, celle du droit de travailler librement pour ces femmes de couleurs et celle de l'espace par les Etats-Unis. Le récit est mené suffisamment intelligemment pour que l'on s'intéresse à ces deux défis. Si le réalisateur présente un film à l'Américaine, il prend soin d'en estomper quelque peu les excès du genre et sans avoir le temps d’aborder la ségrégation de façon approfondie, il en montre suffisamment, et sans manichéisme, pour planter le contexte hallucinant de crétinisme raciste. Il est servi par trois comédiennes (Taraji P. Henson, Octavia Spencer, Janelle Monáe) épatantes et un Kevin Costner au meilleur de sa forme. La mise en scène élégante, plutôt classique, s’autorise de belles idées de plans. Le montage est alerte et si les parties contant la vie privée de ses héroïnes sont moins réussies, au point de casser un peu le rythme, on ne s'ennuie jamais. On se trouve sidéré de ne découvrir que cinquante ans plus tard cette extraordinaire histoire et fasciné jusqu'au bout par le destin de ces héroïnes. Efficace.
À l’heure où la ségrégation bat son plein et où la misogynie est monnaie courante, ces trois scientifiques afro-américaines vont tout faire pour se faire entendre et percer dans ce milieu majoritairement masculin qu’est l’aéronautique.
Pour incarner cette détermination sans faille, les figures de l’ombre nous offre un casting taillé sur mesure. Taraji P. Henson, Octavia Spencer (qui s’était déjà illustrée dans un registre similaire avec « La couleur des sentiments ») et Janelle Monáe nous captivent par leur présence scénique explosive, boostée par une bonne humeur et un charisme qui crèvent l’écran.
On ne peut être qu’admiratifs et sincèrement touchés face à ces trois drôles de dames, véritables sources d’énergie et de génie. Têtues, passionnées et acharnées, chacune d’entre elles excelle par son savoir-faire exceptionnel. Ce qui fait leur force, c’est également leur mordant et leur tranchante répartie qui ne manque pas de nous faire sourire.
Derrière ces trois grandes femmes, les rôles secondaires tiennent bon. On pense notamment à Kévin Costner, brillant et envoûtant en directeur du Space Task Group de la NASA, impassible au grand cœur. Jim Parsons quant à lui, est assez effacé et présente ici quelques similitudes avec son personnage dans « The Big Bang Theroy », tant par son air hautain que par sa soif d’être premier.
À travers ces portraits croisés, Theodore Melfi nous délivre une formidable leçon de vie sans pour autant user d’un ton moralisateur. Sans aucune exagération ni tire-larmes, c’est tout en finesse et humilité que ce film relate le destin hors du commun de ces trois prodiges qui réalisent un double exploit, celui de faire changer les mentalités abruties par le racisme et l’inégalité des sexes banalisés, mais également celui de permettre d’importantes avancées dans l’histoire de la conquête spatiale grâce à leur maîtrise des mathématiques.
Les figures de l’ombre nous plonge dans l’univers passionnant de l’astronautique et nous fait revivre quelques événements marquants de l’histoire de la NASA. On vibre alors au rythme de leurs doutes, leurs réflexions, leurs échecs pour découvrir les coulisses de la mise en orbite de l’astronaute John Glenn.
Appuyée par quelques images d’époque, la mise en scène au cœur de cette Amérique rétro-chic des sixties est parfaite. Les costumes, les décors sont habilement soignés pour garantir un réalisme hors pair.
Ce film dépoussière des légendes oubliées et nous offre un magnifique triple biopic, sublimé par trois interprètes lumineuses qui nous mettent des étoiles plein les yeux.
Pour incarner cette détermination sans faille, les figures de l’ombre nous offre un casting taillé sur mesure. Taraji P. Henson, Octavia Spencer (qui s’était déjà illustrée dans un registre similaire avec « La couleur des sentiments ») et Janelle Monáe nous captivent par leur présence scénique explosive, boostée par une bonne humeur et un charisme qui crèvent l’écran.
On ne peut être qu’admiratifs et sincèrement touchés face à ces trois drôles de dames, véritables sources d’énergie et de génie. Têtues, passionnées et acharnées, chacune d’entre elles excelle par son savoir-faire exceptionnel. Ce qui fait leur force, c’est également leur mordant et leur tranchante répartie qui ne manque pas de nous faire sourire.
Derrière ces trois grandes femmes, les rôles secondaires tiennent bon. On pense notamment à Kévin Costner, brillant et envoûtant en directeur du Space Task Group de la NASA, impassible au grand cœur. Jim Parsons quant à lui, est assez effacé et présente ici quelques similitudes avec son personnage dans « The Big Bang Theroy », tant par son air hautain que par sa soif d’être premier.
À travers ces portraits croisés, Theodore Melfi nous délivre une formidable leçon de vie sans pour autant user d’un ton moralisateur. Sans aucune exagération ni tire-larmes, c’est tout en finesse et humilité que ce film relate le destin hors du commun de ces trois prodiges qui réalisent un double exploit, celui de faire changer les mentalités abruties par le racisme et l’inégalité des sexes banalisés, mais également celui de permettre d’importantes avancées dans l’histoire de la conquête spatiale grâce à leur maîtrise des mathématiques.
Les figures de l’ombre nous plonge dans l’univers passionnant de l’astronautique et nous fait revivre quelques événements marquants de l’histoire de la NASA. On vibre alors au rythme de leurs doutes, leurs réflexions, leurs échecs pour découvrir les coulisses de la mise en orbite de l’astronaute John Glenn.
Appuyée par quelques images d’époque, la mise en scène au cœur de cette Amérique rétro-chic des sixties est parfaite. Les costumes, les décors sont habilement soignés pour garantir un réalisme hors pair.
Ce film dépoussière des légendes oubliées et nous offre un magnifique triple biopic, sublimé par trois interprètes lumineuses qui nous mettent des étoiles plein les yeux.
Très manichéen, Les Figures de L'Ombre apparaît comme un feel-good movie sympathique et intéressant mais en manque cruel d'épaisseur. Porté par un casting frais mais que relativement convaincant, le long métrage ne fait pas de vague, ne va pas au fond du problème, se contentant de présenter une histoire humaniste et scientifique méconnue et de grand volée. Formaté mais pas dénué d'intérêt.
https://www.justfocus.fr/cinema/critique-les-figures-de-lombre-de-theodore-melfi.html
https://www.justfocus.fr/cinema/critique-les-figures-de-lombre-de-theodore-melfi.html
« Les Figures de l’Ombre » est un excellent biopic, disposant d’une histoire qui permet de découvrir le travail irremplaçable et déterminant dans la course de la conquête de l’espace, de trois femmes afro-américaines à la NASA. L’intrigue se focalise sur les conditions difficiles qu’ont rencontrées ces femmes en raison de la ségrégation raciale, doublée du manque d’équité entre les hommes et les femmes. Le travail de Theodore Melfi, le réalisateur, offre un métrage particulièrement engagé du début à la fin, sans négliger l’aspect émotionnel avec une petite touche de romance. Un film qui permet de capter l’attention du cinéaste le plus inopportun. Un film à ne pas manquer.
Clémentine K.
Rythmé, divertissant et surtout instructif, nous avons là un film réalisé pour que le public ne s'ennuie pas et pour qu'il se mette dans la peau de ces femmes extraordinaires à un moment de l'histoire où leur place dans la société n'était pas tolérée par tous.
J'ai tardé à aller le voir .. heureusement rattrapé !!!! Car c'est un film excellent, émouvant qui rend justice à trois femmes exceptionnelles - trois noires américaines - exclues de la vie sociale "habituelle", et qui ont contribué au succès des missions Apollo !!! Elles sont souriantes, mignonnes, pleines de charme et terriblement intelligentes ! La métaphore de la craie utilisée deux fois, 1 à l'école au déclic de la bosse des maths, 1 à la NASA, où elle intervient magistralement et trouve sa place parmi l'élite du programme. Des moments forts dans le scénario, des actrices à couper le souffle et des images de la terre vue du ciel toujours fabuleuses. Il y a plein de bonnes raisons d'aller voir ce film - Trouvez la vôtre ... !!!
Magnifique film qui montre que les choses ont bien évoluées en 50 ans ... et heureusement car que serions nous sans les femmes et les gens de couleur !
Superbe film
Superbe film
Excellent film qui nous ramène à une époque pas si lointaine ou la ségrégation sévissait. Les trois actrices jouent justes. Merci mesdames.
Inspiré de faits réels, ce film raconte l'histoire de femmes noires travaillant au sein de la NASA et qui ont contribué à l'élaboration du programme spatial en 1961.
La conquête spatiale par les Etats-Unis est abordée de manière très originale, à travers la thématique de la ségrégation, particulièrement présente dans l'état de Virginie où se déroule le récit. Au-delà du personnage central de Katherine Johnson incarné par Taraji P. Henson, on suit également l'évolution de deux de ses collègues qui développent des objectifs qui leurs sont propres en lien avec leur carrières respectives, ce qui apporte une diversité au déroulement de l’intrigue. La discrimination de l'époque ainsi que la difficulté d''être pris au sérieux en tant que femme noire sont mis en avant même si certaines séquences m'ont donné l'impression d'être un petit peu idéalisées, bien que cela permette quelques jolies scènes et même s'il reste possible que certains professionnels à la NASA aient effectivement pu être en avance sur leur époque à propos de ces thèmes.
La conquête spatiale par les Etats-Unis est abordée de manière très originale, à travers la thématique de la ségrégation, particulièrement présente dans l'état de Virginie où se déroule le récit. Au-delà du personnage central de Katherine Johnson incarné par Taraji P. Henson, on suit également l'évolution de deux de ses collègues qui développent des objectifs qui leurs sont propres en lien avec leur carrières respectives, ce qui apporte une diversité au déroulement de l’intrigue. La discrimination de l'époque ainsi que la difficulté d''être pris au sérieux en tant que femme noire sont mis en avant même si certaines séquences m'ont donné l'impression d'être un petit peu idéalisées, bien que cela permette quelques jolies scènes et même s'il reste possible que certains professionnels à la NASA aient effectivement pu être en avance sur leur époque à propos de ces thèmes.
Film innovant mettant en lumière la face cachée de la NASA. Ce long-métrage mérite d’être vu tant le sujet traité est intéressant, notamment l’accent mis sur la doctrine « séparés mais égaux » de la Cour Suprême légitimant la ségrégation raciale aux USA. Toutefois, la problématique raciale n’est qu’effleurée (idéologiquement, sociologiquement, politiquement et juridiquement), l’histoire est romancée et le film bascule dans l’héroïsme à outrance, là où toute la sobriété du monde était nécessaire. En somme, un film intéressant de par sa problématique, mais qui ne tient pas toutes ses promesses.
Bravo à Theodore Melfi pour la réalisation. Un biopic avec lequel on ne s'ennuie pas, 3 caractères bien trempés, en lutte permanente et quelles interprétations ! On entre dans les arcanes de la Nasa où tout est à créer et à construire, intéressant. Les 2 heures défilent sans s'en rendre compte, un vrai bonheur.
Une mise en scène ciselée, précise même si pour certains trop romancée, qu'importe, une excellent film frisant la perfection. 4.5/5 !!! A voir absolument.
Une mise en scène ciselée, précise même si pour certains trop romancée, qu'importe, une excellent film frisant la perfection. 4.5/5 !!! A voir absolument.
Très bon film qui montre la situation des femmes,inégalités et autres. Jamais de violence ou autres que des moments marrants. On ressort de ce film dans un état optimiste avec l'envie d'avancer. Le jeu des acteurs est vraiment top je trouve, on sent que cela est naturel pour eux.
D'un point de vue strictement cinématographique, "Les Figures de l'Ombre" ne figurera surement pas dans les annales, mais je suis totalement fan de l'histoire qu'il me fait découvrir ! C'est vraiment un plaisir jouissif de voire ces femmes, noirs, intelligentes, fières, courageuses, drôles et belles.
De plus le casting est assez impressionnant et c'est plutôt réjouissant de les voire ce donner la réplique.
De plus le casting est assez impressionnant et c'est plutôt réjouissant de les voire ce donner la réplique.
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