Mon compte
    À Jamais
    Note moyenne
    1,6
    135 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur À Jamais ?

    20 critiques spectateurs

    5
    0 critique
    4
    2 critiques
    3
    2 critiques
    2
    7 critiques
    1
    8 critiques
    0
    1 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Dora M.
    Dora M.

    64 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 janvier 2022
    Laura (Julia Roy) et Rey (Mathieu Amalric) se rencontrent un soir alors que celui-ci est venu présenter son dernier film dont l’actrice principale est Isabelle (Jeanne Balibar). Laura et Rey tombent rapidement sous le charme l’un de l’autre et finissent par emménager ensemble dans la grande maison de Rey. Laura entend d’étranges bruits en provenance d’une des pièces de la maison. Un événement important survient, qui va bouleverser le quotidien et l’état d’esprit de Laura.
    Il règle tout au long du film une atmosphère extrêmement malaisante et dérangeante, on se sent vraiment en tension par rapport à ces bruits dans la maison, et à la solitude de Laura. Cette tension est accentuée par la musique, très présente et qui permet de créer une réelle atmosphère angoissante et mystérieuse qui monte au fur et à mesure qu’on avance dans le film. Les thématiques de l’absence, de la solitude, du manque sont très bien retranscrites.
    J’ai néanmoins été déçue par la fin du film que j’attendais pourtant avec impatience.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 554 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 septembre 2020
    Inutile de dire que j'avais des attentes très élevées compte tenu du curriculum vitae du réalisateur. Ce fut une expérience aigre avec un goût sucré. À Jamais offrait beaucoup d'éléments artistiques et de perspectives post modernistes mais ne proposait pas de personnages bien définis. D'où une anthologie de confusion abstraite et un voyage d'introspection plutôt ambigu. Le drame autour de la perte et de l'amour est volé par un voyage personnel de redéfinition, ambigu et mal dépeint. Je soupçonne le manque d'expérience d'un scénariste par ailleurs prometteur. Un plusest donné par la bande musicalel et artistique. Et c'est tout. Un bon livre mal traduit dans un film. C'est pourtant la première fois que je peux dire que je suis content d'avoir regardé un film que je n'aimais pas...
    Mister_Ed
    Mister_Ed

    3 abonnés 129 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 novembre 2019
    Pas terrible, pourtant la bande annonce claquait. L'idée de départ était bonne, mais tout semble bâclé et non approfondi. D'après ce que j'ai lu le film a été tourné en vitesse, et bien ça se voit. Mathieu Amalric est parfait comme d'habitude (il fait ce qu'il peut avec le scénario), ce n'est pas le cas de sa partenaire qui n'a pas un jeu ni un charisme extra-ordinaire (d'ailleurs sa carrière ne semble pas décoller).
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 21 mars 2018
    Comment faire du fantastique avec aucun trucage, uniquement avec le jeux des acteurs qui semblent aussi perdus que leurs personnages...
    Fabien S.
    Fabien S.

    546 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 décembre 2017
    Un très bon film d'auteur sur le deuil de Benoit Jacquot. Julia Roy incarne une femme brisée par la mort de son mari cinéaste.
    Christian M.
    Christian M.

    1 abonné 154 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 juin 2017
    Un film qui n'est pas sans rappeler le très beau "Sous le sable" de François Ozon.Mais la ressemblance s'arrêté la, Ozon réussissait à mettre, malgré le thème douloureux du deuil, beaucoup de chaleur dans sa réalisation.Benoît Jacquet nous présente un métrage plus glacé et désincarné.A jamais reste pourtant assez intéressant à suivre tel un thriller fantastique assez prenant malgré quelques temps morts.A noter l'excellente
    Musique et la bonne interprétation des deux acteurs principaux (mention à M.Amalric)
    Flowcoast
    Flowcoast

    58 abonnés 1 199 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 juin 2017
    Un silence, des silences, peu de bruits. Un jeu d'acteurs calamiteux, A Jamais ou plutôt Plus Jamais d'un film comme celui-ci où l'hypersobriété a tué toute idée d'un film intéressant pour en faire un film ennuyeux à la moelle !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 8 juin 2017
    Ca ressemble a un bon film au départ , les péripéties s'enchaîne. On s'installe bien confortablement .
    Et d'un coup le film devient complètement incompréhensible . on attend une chute , un événement pendant une bonne demi heure ! Et la le film est finis ... merci aurevoir
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    52 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 décembre 2016
    Cela se passe au Portugal (Lagoa, dans le district de Faro en Algarve) au mois de septembre : Mathieu Amalric (51 ans), cinéaste venu présenté un film, rencontre Laura (Julia Roy, 26 ans et qui a aussi écrit le scénario), artiste qui réalise des « performances ». Il l’emmène en moto dans sa maison (en location) de bord de mer et font l’amour une nuit de pleine lune. Il essaye d’écrire le scénario de son prochain film entre la recherche d’argent et le harcèlement téléphonique de son ex-femme Isabelle (Jeanne Balibar). Ils se marient. Un jour, rejoignant la ville proche en moto, il se tue (accident ou suicide ?). Sa femme reste prostrée dans la maison où elle entend des bruits étranges ; elle regarde, de façon hypnotique, sur une tablette Apple, des images d’autoroute. Elle se dédouble même, se souvenant de toutes leurs conversations et « voyant » son mari. C’est long et ennuyeux (est-ce la faute au roman ?) et l’on regarde souvent sa montre (bien que le film ne dure que 1h26) cherchant à imaginer (en vain) la fin. En fait, seule la musique de Bruno Coulais nous sort de la torpeur, par l’angoisse qu’elle distille (violons et contrebasse avec des pizzicati), lorgnant ainsi du côté de Bernard Hermann. Un film sur le deuil ? Sur l’amour passion ? Difficile de répondre car il est très confus : la maison joue un rôle important mais on est loin de « La maison du diable » (« The haunting ») (1963) de Robert Wise ou de « L’aventure de Mme Muir » (« The ghost and Mrs Muir ») (1947) de Joseph Mankiewicz. Un court métrage aurait amplement suffi, tout en se demandant si le livre méritait d’être adapté au cinéma. Un film raté…à jamais ! .
    Dom Domi
    Dom Domi

    41 abonnés 303 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 décembre 2016
    Faut-il avoir vécu un " processus " de deuil de quelqu'un de très proche pour saisir le propos du film ?
    Bonne question...
    Comment un film, qui, par définition, nous place dans la peau d'un spectateur peut-il réussir à nous faire vivre du dedans ces moments particuliers.
    Même un livre ne peut pas réellement et complètement se rapprocher du ressenti profond de la personne qui " subit " le deuil de l'autre, comment un film pourrait-il y réussir ?
    Ce film tente, et y parvient, même si c'est de façon poussive au début, de nous faire vivre de " l'intérieur " un deuil.
    Comment une disparition inattendue et violente d'une personne aimée fait basculer celui qui " reste " dans un autre monde ?
    Comment l'autre, " parti " et disparu prend " possession " des pensées ?
    Après le temps de la sidération et le choc mental produit par le décès, les souvenirs, certains souvenirs banals ou importants ( la première rencontre ) reviennent de façon lancinante.
    L'autre est présent, à travers l'endroit de vie partagé, ses habits, sa chaise vide, le souvenir des paroles échangées, etc
    Cet autre monde où " l'absent " est omniprésent par la pensée, omnipotent. Un monde où l'absent s'impose, impose sa présence et où le ressassement des images, des mots échangés, des images vidéos de routes et de passages de motos, cent fois vues et revues, se succèdent encore et encore.
    Ainsi, la vie de tous les jours ( repas, logement, activité professionnelle, etc ) devient secondaire et le basculement dans la dépression et la " folie " n'est pas impossible.
    Ce film transcrit cet univers chaotique, sans logique, avec une présence illusoire, des bruits imaginaires, où les rêves ( cauchemars ? ), sans cesse, sont subis.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 149 abonnés 5 133 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 15 décembre 2016
    Les scènes répétitives sont insupportables. Ce téléphone qui sonne dans le vide, ces éternelles montées à l'étage, les images de route. Franchement obscur et vain. BJ crée une ambiance et une tension artificielles qui créent un ennui tout à fait véritable.
    dominique P.
    dominique P.

    836 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 décembre 2016
    Je suis fan de M. Amalric et le sujet de ce film est intéressant.
    Cependant le film s'avère bien pénible.
    La façon de filmer générale et l'atmosphère sont agaçantes.
    Il reste deux bon acteurs et une belle maison à regarder mais cela ne suffit pas.
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 décembre 2016
    Quelle déception ! Benoît Jacquot qui figure parmi les réalisateurs les plus doués depuis 20 ans, a réalisé une œuvre étrange, ennuyeuse et mal ficelée. Julia Roy est à la fois actrice et scénariste de ce "A jamais", et c'est sans doute-là le problème. En effet, si le film aborde des thèmes profonds comme le deuil, la folie, le déni de la mort, à la façon d'un certain "Sous le Sable", la narration se perd dans un imbroglio bourgeois et agaçant, où l'on apprend que des scénaristes réalisateurs vivent dans des demeures sublimes des bords de mer, roulent à vive allure sur de autoroutes, et sont si brillants que leur producteur leur fait des avances sur recette. Benoît Jacquot aurait-il oublié la vraie vie, celle des gens ordinaires, qui ne sont ni écrivains, ni chorégraphes, ni cinéastes ? Sans doute que le réalisateur est meilleur dans ses œuvres costumées comme "Adolphe", "Le journal d'une femme de chambre", ou "Les Adieux à la reine". Il se perd dans une histoire insensée, et donne lui-même l'impression de s'ennuyer. La mise en scène est fade, évidente. Seule le retour sur le grand écran de Jeanne Balibar est à saluer des deux mains. L'actrice-chanteuse se fait trop rare et elle illumine proprement cette œuvre en actrice déjantée et mélancolique.
    ferdinand
    ferdinand

    14 abonnés 452 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 décembre 2016
    Il y a ceux que l'amour fait se transcender, et ceux qu'il rend idiots.. Les films que Benoît Jacquot fit avec Isild Le Besco correspondaient à la deuxième proposition. Je ne sais ce qu'il en est cette fois pour Julia Roy, mais ce film, superbement réalisé et filmé souffre des mêmes défauts que ceux réalisés avec Le Besco ! Bref, c'est raté.
    soulman
    soulman

    86 abonnés 1 219 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 décembre 2016
    Enorme déception que ce film de Jacquot.
    Qu'est-ce que le cinéaste de "Sade" et "Au fond des bois" est-il allé faire dans cette galère ? A partir d'une histoire pourtant intéressante, le cinéaste - fasciné par son actrice - s'interdit toute facilité dans sa mise en scène, filme la chair avec une froideur que l'on ne lui connaissait pas. S'il a toujours tendu vers l'épure, le réalisateur de "La fille seule" atteint ici l'os, en grande partie à cause de Julia Rey, actrice glacée, à l'opposé de la sensuelle Isild Le Besco, la grande absente de ce projet trop théorique.
    A partir de l'instant où le personnage de Rey disparaît, c'est une longue agonie que subit le spectateur, en compagnie de la jeune épouse tétanisée. Après le relatif échec de "Journal d'une femme de chambre", il faut espérer que ce grand metteur en scène se ressaisira avec sa prochaine adaptation d'une excellente série noire d'Hadley Chase.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top