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    À Jamais
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    20 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 9 décembre 2016
    Franchement Incompréhensible pas d'histoire. Très déçue. À la limite un court métrage aurait largement suffi. 2 personnes sur 7 sont parties bien avant la fin
    traversay1
    traversay1

    3 572 abonnés 4 861 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 décembre 2016
    La conception de A jamais est plutôt inhabituelle avec l'écriture du scénario (tiré d'un roman de DeLillo) par la comédienne principale du film, débutante dans les deux exercices. Par ailleurs, le film a été tourné comme en urgence, en 4 semaines au Portugal. Cela aurait pu donner un vrai caractère à A jamais qui, pourtant, en manque terriblement. Cette histoire de deuil, de fantôme et de maison plus ou moins hantée est hélas très désincarnée tant toute sa première partie est desservie par une absence de consistance qui se retrouve dans les jeux absents de Julia Roy et de Mathieu Amalric. Benoît Jacquot est un cinéaste qui se sort plutôt bien en général de l'abstraction or ici le halo mystérieux qui entoure les deux personnages principaux brouille la compréhension et, pire, ne donne aucunement envie d'en percer la vérité.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 361 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 novembre 2016
    Lors de la présentation de son dernier film dans une salle de cinéma d’un musée, Rey rencontre une comédienne d’un autre genre. On ne sait pourquoi, mais dans les films avec Mahieu Amalric, toutes les femmes tombent en émoi pour lui. Est-ce sa voix rocailleuse et grinçante, ou ses yeux globuleux ? Quoi qu’il en soit la belle Julia Roy va être sa nouvelle femme et venir s’installer dans cette grande maison de bord de mer qui fait des bruits étranges. Mais un jour Rey meurt. Un suicide semble-t-il. Laura se renferme et se raccroche à ses souvenirs avec Rey. Elle fait les sans-pas et tente de sa s’accrocher à sa voix, ses gestes et s’oublie en regardant une caméra de vidéo-surveillance de la route. On la regarde foleiller et nous on s’ennuie. Elle perd la raison et nous on se demande qu’elles ont été les raisons de Benoît Jacquot pour adapter le difficile roman de Don DeLillo, The Body Artist. A Jamais est construit comme un thriller dramatique aux consonances hitchcockiennes comme l’insiste la musique ou la référence du corbeau noir. D’ailleurs la musique du compositeur Bruno Coulais est bien meilleure que le film et on comprend qu’elle ait été écrite en amont. Benoît Jacquot fait perdre la tête à son actrice en tentant d’amadouer le spectateur dans ce déraisonnement. Mais nous ne sommes pas dupe, l’histoire tourne en rond pour peu de choses.
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    Jonathan M
    Jonathan M

    131 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 octobre 2016
    Benoît Jacquot nous l'a joue drame intimiste pour son cru 2016. Il prévient d'avance, ce ne sera pas un film qui nous fera danser à la sortie. Effectivement. Le corps juvénile de la gracieuse Julia Roy conjugué au regard troublant d'un Amalric tout puissant, je suis complètement fan de la première partie. La composition musicale est le troisième personnage principal, soumis au pétaradant bruit de moteur de la Yamaha. On comprends pas tout, mais on vie ce coup de foudre. La partie deuil, sombre pour moi dans une raideur qui rend l'histoire agaçante. Un allée-venue de flashback, d'obstination incompréhensible, et trop métaphorique pour rendre l'essai concluant à l'écran.
    velocio
    velocio

    1 303 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 décembre 2016
    C’est le producteur portugais Paulo Branco qui a proposé à Benoît Jacquot de s’attaquer à l’adaptation cinématographique du roman Body Art de l’écrivain américain Don DeLillo. A partir de ce roman sur le deuil, la comédienne Julia Roy a écrit le scénario du film avant d’en devenir l’actrice principale auprès de Mathieu Amalric et de Jeanne Balibar. Depuis 11 ans, le réalisateur de cinéma Jacques Rey vivait avec Isabelle, une comédienne qui joue dans tous ses films. Un beau jour, coup de foudre pour Laura, bien plus jeune que lui. Le nouveau couple s’installe dans une grande et belle maison de l’Algarve (remarque : cette maison aurait appartenu à l’ancienne star du football portugais Luis Figo !), l’amour est fou mais, dans la maison, résonnent des bruits bizarres. Aller retour rapide de Rey vers Paris, il revoit Isabelle et, au retour, sans qu’on en comprenne les raisons, il jette sa moto contre un camion et se tue. Résultat : Laura, folle d’amour, plus ou moins schizo, se met à porter les lunettes de Rey, à parler comme lui, à le revoir auprès d’elle, à retrouver des moments passés à ses côtés, à le laver dans la baignoire, à se laver, elle, dans la baignoire. Ne tournons pas autour du pot : "A jamais" aurait pu être un beau film sur le deuil, le problème c’est que vient se greffer dessus, dès le début, un fantastique de pacotille, avec ces bruits bizarres qui résonnent dans la maison, avec une musique à vocation anxiogène signée Bruno Coulais, et la mayonnaise ne prend jamais. Les comédiens ? Amalric (Jacques Rey) fait du Amalric, Balibar (Isabelle) fait du Balibar. Quant à Julia Roy (Laura), on ne la connait pas suffisamment pour savoir si elle fait du Julia Roy.
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