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    Il est difficile d'être un dieu
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    Genjiattack
    Genjiattack

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 mars 2024
    La parfaite synthèse de la Russie moderne.

    Poisseux, hermétique, incompréhensible, paradoxal mais aussi particulièrement clairvoyant, Hard to be a god est un film qui se dévoile dans son deuxième visionnage ce qui est, il faut bien le reconnaître, particulièrement difficile au vu de l'expérience qu'il fait subir à son spectateur.

    Et pourtant ce film est un miroir de la Russie tellement radical et puissant, qu'il serai dommage de ne pas prendre le temps de voir ce qu'il nous décrit et nous raconte. Tout y dit dès les premiers plans, l'unique voix off introductive donnant toutes les clefs de compréhension avant de nous submerger dans la mélasse terrible que vit actuellement la Russie.

    "Ce n'est pas la terre. C'est une autre planète, identique, 800 ans de retard..." "... Et la château gris locaux rappelaient le début de la Renaissance..." "Mais la Renaissance ne c'est pas produite ici. Juste une réaction à quelque chose cela ne s'est presque pas produit..." "ça a commencé par détruire l'université, de la façon de penser. Et une chasse aux penseurs, les sages, rat de bibliothèque et des artisans talentueux. Certains ont fui vers l'Irukan voisin. C'était mieux là-bas"

    Je pourrai continuer mais, c'est bien de la pauvre Russie que l'on parle, traîné dans la boue, la fiente, diriger par un homme érigé en dieu qui joue de la flûte au sonorité de jazz qui ouvre et ferme le film, entouré d'hommes à son service traité comme des animaux. Intouchable, in-tuable, qui entraîne son monde dans une quête qui ne mène nulle part, ni pour lui, ni pour son peuple.

    Les personnages regardent la caméra régulièrement, comme pour interroger le spectateur devant ce spectacle grotesque et terrible, le spectacle d'un peuple traîné dans la boue, d'un gâchis comme nulle autre dans cet univers. à l'image de cet homme qui range un semblant de jeu d'échec au début, la Russie se prépare à subir Poutine, un film toujours plus d'actualité aujourd'hui qui ressemble à un appel à l'aide devant un arcaisme subit qui détruit tout à commencer par ses propres enfants.

    Un propos magnifiquement bien déguisé et pourtant si courageux dans un tel pays, qui fait de "hard to be a god" une œuvre aussi puissante que terrible.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 546 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 mars 2021
    Comme beaucoup de leurs romans Il est difficile d'être un dieu de Arcadi et Boris Strougatski suit la même idée simple. Les auteurs se concentrent sur un personnage humain et sa lutte lorsque ses principes et ses croyances sont mis à l'épreuve et entrent en conflit avec la réalité environnante souvent très inhabituelle ou tout simplement étrangère. Les auteurs tentent d'étudier comment cette lutte oblige le personnage à grandir à faire un choix et à séparer ses propres principes fondamentaux des autres couches superficielles et surimposées du conditionnement social. En d'autres termes un personnage humain est le point central et le premier plan de cette histoire. Le film de Alexeï Guerman est tout le contraire. Il dépeint avec une cruauté graphique en noir et blanc et laisse tout le reste derrière lui. Je n'ai pas réussi à me connecter avec ce film à quelque niveau que ce soit. Ce n'est de toute façon qu'un objet artificiel fabriqué de toutes pièces. Le film aurait était plus approprié avec le titre Il est difficile d'être un réalisateur...
    Alexandre N.
    Alexandre N.

    42 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 novembre 2020
    Pardon mais je n'ai pas aimé ! Je m'attendais à un film hypnotique, surréaliste et poétique dans la lignée du style des frères Strougatski, auteurs du roman. Mais de l'univers si subtil de ces auteurs de génie injustement méconnus, le réalisateur n'a extrait que la crasse et le néant, autant dire une amputation en bonne et due forme ! Passable.
    Question adaptation de romans de ces écrivains, Stalker est plus réussi.
    que du cinéma
    que du cinéma

    4 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 avril 2019
    Film un peu chaotique où on ne comprend pas tout l'histoire. Un mélange de saugrenue et de bizarre qui laisse de marbre.
    El G.
    El G.

    3 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 novembre 2016
    Euh,par quoi commencer tant ce long long-métrage de près de trois heures au scénario abscons est déconcertant.Un film foutraque qui respire la merde,la fange et autres fluides corporels peu ragoutants, une immersion dans un monde parallèle totalitaire dominé par la barbarie,bref,une œuvre unique en son genre qui a nécessité 12 ans à son auteur Alexeï Guerman,un des plus grands cinéastes russes auprès des Tarkovski et Sokhourov .Amateurs de blockbusters, passez votre chemin et vite!!!
    Scorcm83
    Scorcm83

    102 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 octobre 2016
    Quelques minutes après le visionnage (plus qu'éprouvant), on va dire que je portais pas forcément le film dans mon coeur. J'avais conscience d'avoir assisté à une oeuvre unique, seul le dégoût et la crasse restaient en tête. Après plusieurs heures, je revois mon jugement à la hausse car s'il est vrai que le film est long, trèèèèèès long, dégueulasse, difficile à comprendre, il propose quelque chose que peut de films se targuent de posséder. Une identité.

    Parce que ce film est, qu'on l'apprécie ou non, une oeuvre d'art cinématographique dans tout ce qu'il y a de plus pur. Aucune musique extra-diégétique, très peu de dialogues intelligibles, seulement la puissance du visuel et du sonore pour 180 minutes au sein desquels le spectateur ne peut pas rester indifférent, il est traîné malgré lui dans la boue et qu'il le veuille ou non, il fait partie de cet univers infernal pendant 3 heures.

    *Il est difficile d'être un dieu* est un film sensitif, il est impossible de le regarder comme on regarderait un autre film, tout a été fait pour toucher le spectateur et même si la nausée est le sentiment prédominant, il est difficile de rester passif à sa vision.

    Le film est tiré d'un roman des frères Strougatski racontant l'expérience d'une vingtaine de scientifiques envoyés sur une planète lointaine sur laquelle les humains sont restés bloqués au moyen-âge et, à cause d'une chasse aux scientifiques et aux artistes, n'a jamais pu rentrer dans la Renaissance. Seulement, ces vingt scientifiques, de part leur avancée technologique, sont rapidement vus comme des divinités. Le roman comme le film ont pour personnage principal Don Rumata, l'un des scientifiques chargé d'observer la planète sans interférer avec elle. Le roman est évidemment une parabole au fascisme, à la dangerosité de l'absence d'art pour un peuple et aux méfaits d'un régime totalitaire.

    Le film choisit de mettre de côté tout ce que le roman avait d'intelligible pour se concentrer sur les conséquences d'une telle société. Résultat, la caméra est collée aux personnages de même que les personnages sont collés les uns aux autres dans des cadrages surchargés de détails, grouillant de vie, de mort, de mouvement, de déjections, de même que la composition sonore agresse continuellement le spectateur et donne plus d'une fois l'envie de couper le film pour respirer un tant soit peu. La profondeur du champ est donc continuellement bouchée par les personnages qui agressent le cadre, impossible de déceler un horizon, un quelconque espoir d'amélioration dans une société où les personnages déambulent tels des aveugles, parlent pour parler sans jamais véritablement échanger. Le film choisit donc de ne pas proposer d'art en dehors de son propre médium qui est le cinéma, d'où l'absence de musique et de dialogues intelligibles.

    L'acteur principal incarnant Don Rumata est exceptionnel, difficile de décerner où s'arrête le jeu et où commence l'improvisation, si toutefois improvisation il y a. Une chose est sûre, j'ai rarement été aussi fasciné par un film que dans sa première heure, à travers des mouvements de caméra et des plans séquences extrêmement maîtrisés, dans une ambiance plus vrai que nature.

    Malheureusement, après une heure et demi de film, on a compris le principe et la seconde heure et demi ne semble être qu'un recyclage proposant quelques bonnes scènes dans un ensemble de longues séquences, encore et toujours aussi dégueulasses. Je regrette un peu le fait que le film se limite à son concept de base, très intéressant, mais ne justifiant pas selon moi les 3h de film en dehors du fait d'enfoncer le clou dans les yeux et les oreilles du spectateur, déjà pas mal éprouvé après 90 minutes. De plus, les comportements des personnages sont tellement à l'opposé du mode de vie du spectateur occidental qu'il lui est impossible de se raccrocher à quiconque pour s'identifier à lui. On est relégué en tant que spectateur mais tout de même pris en otage de part la dimension perceptive du film, le tout étant extrêmement déstabilisant.

    *Il est difficile d'être un dieu* est donc un film loin d'être accessible, loin d'être plaisant à regarder, mais somme toute intéressant artistiquement parlant de part les choix qu'il propose et le jusqu'au boutisme couillu du son réalisateur, malheureusement décédé avant la fin de la post-production.

    A voir (pour un public averti).
    jean-paul K.
    jean-paul K.

    11 abonnés 323 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 septembre 2016
    Il est très difficile de donner une note à ce film. A la fois excellent par son inventivité et le fait qu'il nous tient en haleine pendant trois heures, et nul car il manque un embryon d'histoire permettant de ménager un certain suspens. Il ne faut pas craindre le crad et le glauque tout au long du film; parfois c'est "too much" et cela ne rajoute rien à l'intérêt du film, mais peut rebuter pas mal de monde. En tout cas, je ne connais pas le livre, dont le film est inspiré, mais quand il n'y a pas de scénario le film peut commencer et s'arrêter quand le metteur en scène le décide, sans aucune contrainte. Le noir et blanc permet au film d'être plus soft et la façon de filmer contribue à augmenter l'étrangeté et l'aspect déglingue de ce film. Si certains pensent à Jérôme Bosh, je pense plus à Pasolini (pour l'aspect crad) et Kusturica (notamment Underground pour l'aspect décalé).
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 mai 2016
    il faut vraiment connaitre le livre et ses thematiques pour suivre le film elliptique pour un spectateur occidental, evident pour un russe, car le livre est tres connu la bas. en gros, une experience scientifique : comme les ethnologues vivre pour l etudier dans une civilisation d une autre planete sans interferer sur son deroulement. par derriere, plusieurs themes: la critique du diamat , le materialisme dialectique version stalinienne, une reflexion sur les utopies et la revolution ( meme si on change de regime , ca recommencera), une reflexion sur le bien et le mal . quand on connait le livre, on suit aussi les details de l histoire, parce qu il y en a une , tres forte en fait, mais quand on ne connait pas, je reconnais que c est dur et abscons. bon, le film comme ses enjeux , cest tres russe, violent, realiste, avec une humanite pas montree sous son meilleur jour... mais c est un film extraordinaire esthetiquement et filmiquement , je ne reviens pas sur les autres critiques sur cet aspect des choses, avec des references à Brueghel, Bosch, Durer et autres peintres de la periode . il est evident que ca derange, surtout dans notre monde actuel tres lisse ( ma generation a probablement ete plus habituee a un cinema plus derangeant, que ce soit avec Pasolini ou Tsarkovsky) : mais ce n est pas uniquement une question de cinema. nous vivons dans un monde tres protegé loin des fracas du monde et de la guerre. German, comme les russes et beaucoup d autres humains qui vivent sous les bombes savent que la guerre c est sale et brutal. et peut etre ne sommes nous plus capable de supporter cette realité .
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    66 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 avril 2016
    Post-Mortem

    Il Est Difficile d’Être Un Dieu est un film complètement fou, certainement le film le plus fou de ce début 2015, et probablement au-delà. Voilà un film, testament de son réalisateur mort quelques temps après le clap de fin, qui explose tous les codes cinématographiques en vigueur, pour livrer une partition artistique comme peu d’œuvres peuvent prétendre le faire. Il Est Difficile d’Être Un Dieu inquiétera quelques-uns des cinéphiles parmi les plus frileux, inquiets à l’idée d’un film à ce point à la marge et poussant si loin l’idée de création artistique. S’il est vrai qu’aujourd’hui le cinéma est devenu un média de masse (certaines sorties ont un nombre de salles parfois indécent), il devrait rester plus que tout un art et pour qu’il y ait art, il doit y avoir création et pour qu’il y ait création, il doit y avoir de nouveaux codes.
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    89 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 mars 2016
    Fresque-expérience testamentaire virtuose. Chef-d’œuvre cinématographique inclassable, unique. Il est difficile d’être un dieu, film somme, œuvre testament d’Alexeï Guerman, relève de la pure création artistique bousculant les codes cinématographiques en vigueur.
    Réponse nihiliste et désespérée au chef-d’œuvre d’Andreï Tarkovski, Andreï Roublev, Il est difficile d’être un dieu forme une fresque ambitieuse et virtuose, une expérience filmée tant fascinante qu’exigeante qui s’appuie sur une réalisation et une mise en scène à la précision et au perfectionnisme infinis et prodigieux. Un monument démesuré du 7ème art où tout est superlatif. Plus de détails sur notre blog ciné :
     Kurosawa
    Kurosawa

    583 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 août 2015
    Adapté du roman des frères Strougatski, "Il est difficile d'être un dieu" est porté à l'écran par le cinéaste russe Alexei Guerman. Près de trois heures purement viscérales où la boue, la merde et le sang se mélangent, c'est le programme de ce film aussi radical qu'ennuyeux, tellement hermétique qu'il laisse indifférent. Incompréhensible de bout en bout, cet objet virtuose aux plans-séquences impressionnants fonctionne essentiellement à l'épate, une façon de faire oublier qu'il n'a rien à raconter. Visuellement grandiose, ce film-arty m'a sorti de ma torpeur lors de ses rares moments drôles (une drôlerie très singulière) ou gores (l'horreur y est inconcevable). "Il est difficile d'être un dieu" n'est pas loin d'être l'arnaque auteuriste de l'année, un délire qui réclame une patience inimaginable.
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    138 abonnés 2 418 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 juillet 2015
    Film claustrophobe qui patauge dans la fange d'un scénario à compléter soi-même.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 11 mai 2015
    Esthétiquement c'est du génie, bravo! les ambiances, les décors, tout ce qui grouille, qui suinte, toute cette fange et ces trognes sont fascinants. Mais par contre niveau trame narrative et dialogues c'est raté. Déjà le bouquin est un peu exigeant et touffu, mais là c'est carrément un sac de noeuds remplis de dialogues incohérents! Je pense que les spectateurs n'ayant pas lu le livre avant ont du ne rien comprendre et rester interdits. C'est bien trop long à ce régime là, 3h de déambulations dans la boue et d'élucubrations sans queue ni tête qui trahissent le texte original, c'est interminable.
    Acidus
    Acidus

    718 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 décembre 2017
    Après "Un dieu rebelle" (1991), le roman "Il est difficile d'ëtre un dieu" des frères Strougatski se voit adapter une seconde fois au cinéma par Alexeï Guerman, l'auteur de "Vingt jours sans guerre" (1976) et "Mon ami Ivan Lapchine" (1984). Le rythme lent du film rappelle celui de ses compatriotes que sont Tarkovski et Sokourov. Si ces lenteurs peuvent en rebuter plus d'un, il faut bien admettre qu'elles servent parfaitement l'ambiance voulue par le cinéaste russe. Le choix du noir et blanc se place aussi sur cette ligne et accentue les aspects sombres et malsains de ce monde médiéval. La mise en scène est excellente et originale. Nul doute que ce long métrage ait nécessité un sacré travail de la part de son réalisateur ne serait-ce qu'avec ces nombreux plans-séquences.
    Le problème principal vient de l'univers même. Guerman prend de grosses libertés avec le roman en mettant en avant les aspects sordides, violents, crades et vulgaires de cette planète qui a vu sa pèriode de Renaissance bloquée. Dès lors, le cinéaste force les traits rustres de ses personnages et tombe (volontairement) dans la surenchère de grossièreté que cela soit dans le décors, les dialogues et comportements. Le spectateur fait rapidement une overdose de ces scènes "gores" (flatulences, scatophilie,...). Elles ne présentes guère d'intérêt et cette inutilité prolongée que l'on additionne à la longue durée du film (3h00 !!!!) nous ennuie mortellement. Un ennuie renforcé par cette absence d'intrigue. Il vaut mieux lire le roman avant de visionner cette adaptation afin d'en comprendre les enjeux. Dommage aussi que cette subtilité que l'on retrouvait dans l'oeuvre des frères Strougatski ait disparu dans celle de Guerman. Ce dernier a privilégié la démonstration et l'expérimentation au détriment du ressenti, laissant ainsi le spectateur dans l'ennui et la confusion.
    oldsport
    oldsport

    14 abonnés 95 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 mars 2015
    Vous qui entrez ici , abandonnez tout espoir...
    Tout espoir de compréhension , de cohésion car tout glisse, tout se répand, tout se décompose & putréfie dans ce monde post (pre?)- apocalyptique qui n'aurait de médiéval que l'apparence.

    Si vous voulez vous confronter à une expérience de cinéma de type "Cheval de Turin film" vous allez vous régaler avec ces interminables plans-séquence caméra à l'épaule ( attention à la tête!) dont le dispositif a du tourmenter bien des nuits du réalisateur Alexei Guerman. Le critique paresseux arguera d'un mélange vodka artisanale & d'une folie créatrice difficile à maitriser mais ne nous y trompons pas : on ne filme pas le chaos en secouant simplement la caméra .

    Il faut un grain, un gros grain un grain COLOSSAL pour embarquer dans ce trip halluciné
    Une pensée aussi pour les 2 personnes qui ont du se coltiner le montage final ...Chapeau bas
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