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Votre avis sur The Seasoning House ?
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Essayer de trouver un équilibre entre les atrocités fondées sur des faits peut être une proposition risquée. Un film qui longe la ligne du mauvais goût , des viols et atrocités de la guerre dans un cadre qui pour les fans du genre peuvent également être decrit comme énergique, cinétique et divertissant.
The Seasoning House, un nouveau thriller de vengeance austère et féroce made in GB, emprunte son idée centrale de plusieurs crimes de guerre bien documentés, et il plonge avec force en profondeur dans le morbide, mais il réussit aussi à travailler comme un sombre et passionnant conte d'horreur dans son propre droit.
ce film est à la fois impitoyable et irrésistible, mais aussi parle haut et fort (et en colère) sur les parties les plus sombres de la faillite morale. The Seasoning House semble souvent prendre une partie de son inspiration dans les films Hostel d'Eli Roth, et je veux dire que dans le bon sens.
Le cadre sont les Balkans en 1996. Plusieurs adolescentes ont été enlevées et forcées à travailler dans un bordel cauchemardesque. La plupart des jeunes femmes sont utilisés pour le sexe, évidemment, mais une fille en particulier, celle qui est à la fois muette et «maudite» avec une grande tache de naissance sur son visage, est autorisé à travailler comme femme de ménage / infirmière: la petite et silencieuse Angel "
Presque sans relâche pour son premier acte, avec seulement quelques instants errants de l'humanité entre Angel et ses amis condamnés, The Seasoning House est horrible tout simplement pour son portrait d'un tout-trop-réel que nous aimerions n'être que de la fiction - The Seasoning House va de l' horreur sobre à un suspense vengeur expéditive . The Seasoning House est un film de genre honnêtement brutal qui ne bronche pas de morts et de violations de la pire espèce . Nous , pour Angel, non seulement parce que, oui, la vengeance est douce, mais aussi parce que nous avons besoin de voir une petite étincelle de fuite de l'humanité de l'un des stands les plus vils de l'enfer.
Les effets gores sont réalistes, choquant, et suffisamment graves, la cinématographie est particulièrement forte, avec un éclairage placé intelligemment et caméras nichés dans des endroits simples mais astucieux, le score ajoute beaucoup, surtout quand le film reprend le rythme dans sa seconde moitié, et il ya une intention claire de livrer un film d'horreur qui est à la fois agressif, divertissant et perspicace socialement dans une petite mesure, intelligent, audacieux. 4/5
The Seasoning House, un nouveau thriller de vengeance austère et féroce made in GB, emprunte son idée centrale de plusieurs crimes de guerre bien documentés, et il plonge avec force en profondeur dans le morbide, mais il réussit aussi à travailler comme un sombre et passionnant conte d'horreur dans son propre droit.
ce film est à la fois impitoyable et irrésistible, mais aussi parle haut et fort (et en colère) sur les parties les plus sombres de la faillite morale. The Seasoning House semble souvent prendre une partie de son inspiration dans les films Hostel d'Eli Roth, et je veux dire que dans le bon sens.
Le cadre sont les Balkans en 1996. Plusieurs adolescentes ont été enlevées et forcées à travailler dans un bordel cauchemardesque. La plupart des jeunes femmes sont utilisés pour le sexe, évidemment, mais une fille en particulier, celle qui est à la fois muette et «maudite» avec une grande tache de naissance sur son visage, est autorisé à travailler comme femme de ménage / infirmière: la petite et silencieuse Angel "
Presque sans relâche pour son premier acte, avec seulement quelques instants errants de l'humanité entre Angel et ses amis condamnés, The Seasoning House est horrible tout simplement pour son portrait d'un tout-trop-réel que nous aimerions n'être que de la fiction - The Seasoning House va de l' horreur sobre à un suspense vengeur expéditive . The Seasoning House est un film de genre honnêtement brutal qui ne bronche pas de morts et de violations de la pire espèce . Nous , pour Angel, non seulement parce que, oui, la vengeance est douce, mais aussi parce que nous avons besoin de voir une petite étincelle de fuite de l'humanité de l'un des stands les plus vils de l'enfer.
Les effets gores sont réalistes, choquant, et suffisamment graves, la cinématographie est particulièrement forte, avec un éclairage placé intelligemment et caméras nichés dans des endroits simples mais astucieux, le score ajoute beaucoup, surtout quand le film reprend le rythme dans sa seconde moitié, et il ya une intention claire de livrer un film d'horreur qui est à la fois agressif, divertissant et perspicace socialement dans une petite mesure, intelligent, audacieux. 4/5
vraiment surpris par ce film ,c'est poisseux,assez gore mais la fille joue admirablement bien ,on se demande comment elle a fait d'ailleurs !!!!!!!
la fin est nulle mais c est pas grave ,le film tient son pari ,essayer de survivre dans ce monde horrible !!!!
la fin est nulle mais c est pas grave ,le film tient son pari ,essayer de survivre dans ce monde horrible !!!!
RedArrow
Bourré de défauts, "The Seasoning House" n'en reste pas moins une sorte de rape and revenge très recommandable. Il faut mettre pas mal de choses de côté pour l'apprécier, sans doute trop : tout d'abord son aspect dénonciateur, le film ne cessant d'enfoncer tout un tas de portes ouvertes (la guerre c'est horrible, entre autres), l'utilisation à outrance de clichés (la gente masculine des pays de l'Est n'est visiblement composée que de barbares misogynes t.t.très méchants), des invraisemblances (une gamine capable de tenir tête à un groupe miliciens pas très doués) ou pire de très grosses facilités scénaristiques surtout dans la dernière partie (voire même des idées volées à d'autres films (coucou, "Eden Lake"!) et mal utilisées en plus).
Mais si on arrive à faire fi de cela, impossible de ne pas s'attacher au sort de l'héroïne (la révélation Rosie Day, impressionnante) dans une ambiance terriblement étouffante, amplifiée par une photographie très glauque et par le fait que les trois quarts du film se déroulent en huit-clos, le spectateur se retrouvant prisonnier comme ces jeunes filles de cet établissement sordide. La première partie est, à ce titre, une vraie réussite nous plongeant dans le quotidien répétitif horrible de cette jeune sourde et muette. Et la petite amitié qui naîtra entre elle et une "résidente" connaissant le langage des signes réservera aussi des petits moments d'accalmie bienvenus avant de s'achever dans un bain de sang ("la" scène la plus marquante du film avec le colosse Ivan) qui marquera le début de la vengeance de la petite Angel.
À condition de ne pas être trop regardant, "The Seasoning House" reste un survival hybride efficace et violent dont l'ambiance et la prestation de son actrice principale valent le coup d'œil.
Mais si on arrive à faire fi de cela, impossible de ne pas s'attacher au sort de l'héroïne (la révélation Rosie Day, impressionnante) dans une ambiance terriblement étouffante, amplifiée par une photographie très glauque et par le fait que les trois quarts du film se déroulent en huit-clos, le spectateur se retrouvant prisonnier comme ces jeunes filles de cet établissement sordide. La première partie est, à ce titre, une vraie réussite nous plongeant dans le quotidien répétitif horrible de cette jeune sourde et muette. Et la petite amitié qui naîtra entre elle et une "résidente" connaissant le langage des signes réservera aussi des petits moments d'accalmie bienvenus avant de s'achever dans un bain de sang ("la" scène la plus marquante du film avec le colosse Ivan) qui marquera le début de la vengeance de la petite Angel.
À condition de ne pas être trop regardant, "The Seasoning House" reste un survival hybride efficace et violent dont l'ambiance et la prestation de son actrice principale valent le coup d'œil.
Un rape and revenge qui restera pas dans ma mémoire... Admettons que les acteurs soient pas trop mauvais, pour le reste pas grand chose a garder. Un scénario où tout tient dans un synopsis de deux lignes et une héroïne qui a tendance a se sortir de toutes les mauvaises situations, sans aucune cohérence. Et pour couronner le tout, un réalisateur accro aux slow motions (les 45 premières minutes sont pratiquement entièrement filmer de la sorte) comme-ci ça rendait les choses plus dramatique, bah non ! juste plus lente... 1.5/5 pour pas être trop méchant
Je pense qu'on ne peut pas plus se planter sur un film !!! Je pensais me mettre devant un film limite insoutenable, tellement réaliste qu'il te met mal à l'aise !! Le bilan du film fait peur : jamais vu un film si con et si peu crédible ! Attention énumération (si vous avez le temps : le début est pénible au possible (une phrase toutes les 10 minutes), la BO est insoutenable, la fille est sans cesse épargnée étant donné que le mec qui tient le bordel est ''super in love'' avec elle, les militaires qui sont des bêtes sanguinaires sont incapables de lui tirer dessus (elle évite leurs tirs au moins 10 fois), elle les gratte à la course dans la foret (alors qu 'évidemment elle est censée être affaiblie et que bien sur elle vient de faire une chute mortelle par la fenêtre), elle sort des conduits au nez à la barbe des militaires sans qu'aucun d'eux évidemment ne la voit, elle évite une attaque au couteau grâce a une tirelire cochon !!!
spoiler: Et le point de départ de tout ca évidemment c'est le meurtre du Ivan mais une fois seulement que sa copine a bien morflé pendant le viol et qu'elle en meure !! Pourquoi ne l' a t elle pas tué dans ce cas là avant que sa copine ne décède et ne vive l enfer pendant dix plombes ???
La je crois qu'on a touché le fond
Jamais vu un film si peu crédible je crois !!!!
spoiler: Et le point de départ de tout ca évidemment c'est le meurtre du Ivan mais une fois seulement que sa copine a bien morflé pendant le viol et qu'elle en meure !! Pourquoi ne l' a t elle pas tué dans ce cas là avant que sa copine ne décède et ne vive l enfer pendant dix plombes ???
La je crois qu'on a touché le fond
Jamais vu un film si peu crédible je crois !!!!
Cette histoire supposée se dérouler dans les Balkans toute incroyable qu'elle puisse sembler, a des sources véridiques. En tout cas, le suspense est omniprésent, le casting se tient, la réalisation est sobre et sans fioritures. Excellent.
Ce qui manque à cette production britannique, c'est un scénario digne de ce nom. La jeune actrice est très crédible, les décors et l'ambiance sont bien poisseux, la violence est bien hard, mais l'histoire n'installe presque pas de suspense...
🎬 RENGER 📼
Milieu des années 90, la guerre des Balkans fait rage. Le pays est à feu et à sang, les hommes sont massacrés tandis que les femmes sont séquestrées, droguées et prostituées au sein d’un ancien bâtiment industriel transformé pour l’occasion en bordel lugubre. Parmi les victimes se trouve Angel, une jeune fille sourde & muette qui parvient à échapper à la vigilance de ses geôliers et prépare sa vengeance…
Pour son premier long-métrage, Paul Hyett s’inspire d’événements réels, à savoir l’esclavagisme sexuel des femmes au cœur des zones de guerre, principalement pendant le conflit en Bosnie-Herzégovine. Cependant, ne vous attendez pas à un film féministe, surement pas, loin de là et encore moins à un rape and revenge. The Seasoning House (2013) est essentiellement une œuvre putassière qui se complait à mettre en scène différents sévices que les jeunes femmes subissent. Le réalisateur ne cherche pas à dénoncer ou à rétablir une quelconque vérité, il se contente de mettre en scène une sorte de huis clos abjecte tourné dans des décors relativement pauvres et simplistes où l’héroïne joue à cache-cache à travers les conduits d’aération.
Ce thriller horrifique oscille maladroitement entre le voyeurisme complaisant et le torture porn cradingue façon I Spit on your grave (1978), mais sans le talent de Meir Zarchi, dommage.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
Pour son premier long-métrage, Paul Hyett s’inspire d’événements réels, à savoir l’esclavagisme sexuel des femmes au cœur des zones de guerre, principalement pendant le conflit en Bosnie-Herzégovine. Cependant, ne vous attendez pas à un film féministe, surement pas, loin de là et encore moins à un rape and revenge. The Seasoning House (2013) est essentiellement une œuvre putassière qui se complait à mettre en scène différents sévices que les jeunes femmes subissent. Le réalisateur ne cherche pas à dénoncer ou à rétablir une quelconque vérité, il se contente de mettre en scène une sorte de huis clos abjecte tourné dans des décors relativement pauvres et simplistes où l’héroïne joue à cache-cache à travers les conduits d’aération.
Ce thriller horrifique oscille maladroitement entre le voyeurisme complaisant et le torture porn cradingue façon I Spit on your grave (1978), mais sans le talent de Meir Zarchi, dommage.
● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
"Vide" est le terme qui qualifie le mieux ce "The seasoning house". Pas d'histoire ni d'ambiance pour ce thriller horrifique complètement bâclé et peu crédible. On s'ennuie ferme et on est bien content quand arrive le générique de fin. A éviter.
Ce film britannique jamais sorti dans nos salles obscures est un thriller plutôt violent sur fond de traite des blanches. Il situe son action dans les Balkans durant les guerres qui ont ensanglanté ces pays pendant les années 90 et nous plonge dans l'univers d'un bordel tenu par un criminel de guerre qui utilise des jeunes filles enlevées pour faire tourner sa petite entreprise de prostitution forcée pour ne pas dire d'esclavage sexuel. L'intrigue se focalise sur une des résidentes de ce lieu infâme qui muette sert de bonne à tout faire et “prépare” les jeunes filles pour les prestations tarifées que vend ce lieu de perdition. Ce personnage de jeune fille muette est le principal atout de ce film qui sinon n'est finalement qu'un énième long-métrage sur l'horreur de la guerre, celle de l'esclavage sexuel des femmes et les atrocités des belligérants (que le film se garde bien d'identifier) durant les guerres balkaniques. Le film met longtemps à démarrer et s'attarde beaucoup sur la présentation du lieu et le destin de cette jeune muette avant son arrivée dans cet endroit. L'action ne démarre vraiment que dans la dernière demi-heure et vire dans un trip “survivor”, avec un parti-pris qui fonctionne sur l’architecture du bâtiment où cette héroïne est prisonnière. Malheureusement, cette partie de l'action aussi intéressante et prenante soit-elle n'a qu'un temps et la fin s’avère une fin de film d'action toujours prenante, mais plus classique. Le film est donc plutôt prenant et offre des choses intéressantes, mais l'ensemble n'est pas autrement plus passionnant que ça et ne reste qu'un film d'action un peu dur, mais pas réellement original. À voir à la rigueur pour la prestation de l'actrice principale, mais sans urgence...
Un rape & revenge de bonne facture. Malgré de grosses facilités scénaristiques, le film parvient à instaurer une ambiance glauque et poisseuse sans " trop" de voyeurisme. Le réalisateur parvient en effet à trouver un équilibre délicat vu le sujet (kidnapping de jeunes filles utilisées dans des bordels lors de la guerre des balkans) sans tomber dans le malsain. Le casting est inégal, mais l'actrice principale interprète son rôle à merveille. Un film imparfait mais globalement satisfaisant.
Je ne vous cache pas qu'au bout d'un quart d'heure je me suis demandé pour quelle raison on pouvait vouloir réaliser un film pareil... et puis j'ai pris le parti de le prendre pour ce qu'il était sans doute, une production à la "hostel" c'est à dire un film glauque, malsain, gore, ultra violent, extrêmement dérangeant... Je ne saisis pas bien le classement en action / thriller ???? c'est de l'horreur brute et totale rien d'autre.
On suppose que ca se situe en pleine guerre des Balkans, un criminel de guerre séquestre des jeunes filles dans une espéce de maison / taudis (rien que le décor on est bien dans l'ambiance) pour le "divertissement" des soldats de passage. un jour une patrouille de miliciens s'arrete, une fille décéde au cours d'un viol, du coup une autre se rebelle et la boucherie commence. Entre le rape & revenge et le survival "the seasoning house" est en tous cas à réserver à un public extrêmement averti.... bien emmerdé pour la note... si je devais le juger moralement je mettrais évidemment 0.5 / 5...si je le note dans sa catégorie de films de genre c'est 4 / 5 (pour l'embarras face à la notation j'avais eu le même avec "irréversible")...à vous de voir
On suppose que ca se situe en pleine guerre des Balkans, un criminel de guerre séquestre des jeunes filles dans une espéce de maison / taudis (rien que le décor on est bien dans l'ambiance) pour le "divertissement" des soldats de passage. un jour une patrouille de miliciens s'arrete, une fille décéde au cours d'un viol, du coup une autre se rebelle et la boucherie commence. Entre le rape & revenge et le survival "the seasoning house" est en tous cas à réserver à un public extrêmement averti.... bien emmerdé pour la note... si je devais le juger moralement je mettrais évidemment 0.5 / 5...si je le note dans sa catégorie de films de genre c'est 4 / 5 (pour l'embarras face à la notation j'avais eu le même avec "irréversible")...à vous de voir
En trame de fond, un pur drame abordant un sujet difficile à traiter sans tomber dans le malsain et le résultat est "acceptable". En même temps, en relief, une mise en image au format thriller horrifique avec quelques notes à la "The descent" (dont Hyett a participé pour les FX et maquillage) avec des plans et photographie très convaincants.
Le principal point de faiblesse est que le film alterne entre ces 2 thèmes. L'émotion qui passe sur le plan dramatique surtout excellemment interprétée par les actrices (les acteurs sont pitoyables ...) marque l'histoire. Par contre, le coté pur thriller, absent en l'état, nous laisse sur la fin qu'avec une pointe de suspens. Dommage !
Très peu de moyens et parfois une mise en scène très amatrice et chaotique (il y a du très très bon et du catastrophique) laisse un goût d'inachevé.
Un environnement plus glauque, froid, humide et sombre avec des grands coups de tension en auraient fait un film très bien construit. Sur le plan "drame", c'est au rendez-vous, inutile d'en faire plus, les exactions sont suffisamment traitées.
Bref, un bon film avec ses faiblesses ! 3/5 !!!
Le principal point de faiblesse est que le film alterne entre ces 2 thèmes. L'émotion qui passe sur le plan dramatique surtout excellemment interprétée par les actrices (les acteurs sont pitoyables ...) marque l'histoire. Par contre, le coté pur thriller, absent en l'état, nous laisse sur la fin qu'avec une pointe de suspens. Dommage !
Très peu de moyens et parfois une mise en scène très amatrice et chaotique (il y a du très très bon et du catastrophique) laisse un goût d'inachevé.
Un environnement plus glauque, froid, humide et sombre avec des grands coups de tension en auraient fait un film très bien construit. Sur le plan "drame", c'est au rendez-vous, inutile d'en faire plus, les exactions sont suffisamment traitées.
Bref, un bon film avec ses faiblesses ! 3/5 !!!
Craspec à souhait, le film est une succession d'affreusetés qui perd son intérêt dès lors que l'action se transpose hors les murs de la fameuse baraque.
Tout simplement violent, crade à souhait, développé dans une atmosphère des plus trash afin de donner encore de crédit à l'aspect bien sale de ce film, et qui ne laissera aucun spectateur insensible face à ce qui est proposé dans ce film tellement l'ensemble est d'une puissance glauque rare, et donc s'adresse tout de même à un public non seulement averti, mais aussi capable de se retrouver face à des scènes d'une horreur hors normes, n'hésitant pas à dépasser les bornes du tolérable pour appuyer un peu plus son propos. En effet, si déjà la localisation de l'action du film laisse présager une ambiance très terre à terre et qui évoque rapidement l'horreur illimitée de ces zones en Europe, c'est surtout rapidement le scénario qui va apporter son lot de surprise en ce qui concerne l'aspect très macabre de ce film, non seulement par la condition des héroïnes qui met rapidement dans l'ambiance et la violence pure et dure de ces hommes sans âmes, parfaitement illustré lors de la scène initiale par un rendu visuel des plus sanglants, ce qui représente une force de ce film même si ces dernières ne sont pas d'une grande qualité cinématographique, et ces éléments se retrouvent tout du long durant le calvaire de ces jeunes filles, ce qui permet de maintenir la violence à son paroxysme durant l'ensemble de l'intrigue, alors que la base même du scénario n'a rien de très novateur, encore moi pour ce qui est de l'aspect vengeance, déjà impeccablement utilisé dans d'autres films, mais ici ce qui donne l'ensemble de son crédit à ce qui est proposé est incontestablement l'atmosphère sordide qui règne tout du long pour rendre la haine de l'héroïne plus perceptible, chose également exacerbé par un aspect très envisageable de ce genre d'actes des les pays des Balkans, donnant un relief supplémentaire à une horreur déjà bien appuyée. Alors il faut tout de même être sacrement bien accroché pour supporter ce qui est mis en scène ici car il faut dire que la majorité des scènes sont bien violentes, sans aucunes pitiés et surtout qui choc à plusieurs reprise mais à au moins le mérite de décrire le plus crument possibles ce qui se passe dans ce bâtiment afin de rendre compte des horreurs qui se déroulent dans ces pays pourris par la guerre et ainsi en apporter une critique bien acerbe de cette réalité sans foi ni loi et donnant lieu à des passages vraiment effroyables, qui laisseront les plus coriaces bien perplexe devant tant d'atrocité, et bien que le film tente de rétablir assez vite la justice morale par les actes de la jeune héroïne, c'est derniers sont non seulement tous aussi trash, mais en plus de cela cela ne fait que souligner un peu plus la folie meurtrière qui parcourt l'ensemble de ce film, et d'ailleurs on ne peut pas dire que ce soit le jeu des acteurs qui participe à cela mais plutôt un mise en scène bien sale, et sans aucuns doutes le rôle de la jeune fille muette est le plus appréciable par le côté assez unique de son personnage dans un univers aussi impressionnant, et ce n'est pas tant la manière dont le scénario tourne ainsi que la conclusion du film, assez basique dans ce genre de film, mais plutôt les actes horrifiques perpétués contre ces jeunes filles qui amène à la débandade de violence et d'atrocité établie sans aucune pitié. Incontestablement, il faut le dire, pour une fois que cela est réellement très très dérangeant par l'aspect glauque et macabre: âmes sensibles, réellement s'abstenir!!!!
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