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Un visiteur
5,0
Publiée le 27 septembre 2016
« Last Knights » est un excellent film d’aventures, remake de l’histoire des 47 Ronin, transposé à l’époque des chevaliers de la table ronde. L’histoire est excellente et met en avant la notion de fidélité et de respect au-delà de la mort, tout en valorisant la volonté d’assouvir une vengeance par rapport à une injustice. Le scénario est très bien écrit, reprenant les composantes de l’histoire originelle. La mise en scène est soyeuse, et laisse une grande place à la préparation du plan. Les acteurs sont très bons dans leur rôle respectif et Clive Owen est somptueux en vassal fidèle à son seigneur. La photographie est magnifique, les décors et les costumes sont remarquables. L’intrigue est excellente, au point qu’on ne sent pas les quasis deux heures que dure le film. Un film boudé par la critique, mais que nous avons jugé digne de recevoir notre note maximum.
Très inspirée de la légende médiévale japonaise de La vendetta, ou Les 47 samouraïs, cette fiction de cape et d’épée se passe dans un pays imaginaire aux mille visages ethniques, et gouverné par un Empereur légitime. Mal inspiré par un ministre corrompu et ambitieux, il condamne à mort un seigneur qui refuse le servage et la décadence. Dépouillés de leurs terres, déchus de leurs biens et honneur, les chevaliers désavoués se recyclent en hors-la-loi et, seule alternative pour ne pas devenir fou de honte, préparent le juste redressement de cette faute tragique et légale, par le complot, l’assaut et malgré la condamnation anticipée. Ce film grand spectacle, et évident remake de 47 Rônin, endosse cette fois le style chevaleresque moyenâgeux plutôt que celui de l’heroic fantasy. Sa panoplie d’acteurs hétéroclites de toutes origines, avec en tête Morgan Freeman et Clive Owen, sa violence sombre, la schizophrénie du bad guy comme du good guy, ses combats à l’ancienne, ses liens fraternels, et surtout le dépassement laborieux du héros sur son déshonneur, ses démons et ses faiblesses privilégient les enjeux de ce film sur ceux du conte classique.
Ce film est excellent avec une bonne idée comportant des éléments original . Ce qui fait l'histoire est assez dramatique mais nécessaire; l'histoire comporte beaucoup de rebondissements et d' inattendu jusqu'au bout . Le scénario est recherché. Les acteurs sont très bien et Freeman en fait partie . Un excellent film très cohérent .
Sympathique mais sans Un casting honnete quelques beaux décors et un scénario simple mais prenant ... c'est à peu pres tout , le film manque de rythme au point qu'on finit par s'ennuier un peu , musicalement rien d'inoubliable , un méchant ultra caricatural
Un salmigondis de bien pensance qui n'a absolument rien à voir avec la chevalerie et encore moins avec le moyen âge, mais peut être l'idée est elle de réécrire l'histoire du moyen âge à travers le cinéma pour rendre les générations futures tout à fait abruties......Dialogues en dessous de tout, même Freeman qui m'a poussé à voir le film joue comme une quiche....c'est dire. Les westerns spaghettis ok, mais les films médiévaux black blanc beur jaune métisse avec décors en carton.....non, c'est trop kitch ! A éviter même sur une île déserte...
Un film boudé par la critique....... On se demande bien pourquoi ! Quand on voit les vrais nanars qui sortent au cinéma..... Soit dit en passant, il s'agit de mon opinion et la plupart du temps, je ne suis pas de l'avis des critiques.
Plongé dans un univers médiéval, multiethnique, aux influences asiatiques, rongé par la corruption, un seigneur (un afro-américain) refuse de payer un pot de vin à un ministre aux dents longues (un blanc). Pour s'être défendu contre l'odieux personnage, il est condamné à mort par l'empereur (un iranien) et la sentence est exécuté par son propre capitaine (un britannique). Le clan est certes dissous mais le capitaine et ses hommes préparent une terrible vengeance.
Une adaptation à l'atmosphère sombre et glauque de la vendetta des 47 ronins à l'encontre de Kira Yoshinaka. J'ai beaucoup apprécié le concept de ce Moyen-âge multiethnique qui brise les codes de la suprématie raciale de confession Judeo-arabo-chrétienne, tout y intégrant avec réussite le code d'honneur des samouraïs de l'ère d'Edo (1603-1868). Il faut le dire... l'Europe médiévale n'a pas le monopole de l'honneur, de l'abnégation et du sacrifice.
Un très bon film bien un peu long, concernant la descente aux enfers du capitaine... Mais un mal nécessaire pour endormir la paranoïa du ministre... La bataille finale est très réussi. Comme quoi il n'est pas nécessaire d'user à outrance des effets spéciaux et de l'hémoglobine, devenu une véritable habitude dans ce genre de films.
L'histoire se déroule à une époque médiévale, où les guerriers en armures se tuent avec des grosses épées en défendant leurs châteaux forts. Morgan Freeman joue le vieux chef plein de sagesse, mais disparait rapidement, tandis que Clive Owen organisera avec quelques soldats la vengeance contre les despotes après une période de déprime. L'atmosphère est assez glauque avec des images sombres, le scénario ménage un certain suspens et se suit avec intérêt.
Bonne surprise que ce film. Clive Owen très charismatique joue juste et Morgan Freeman est toujours impeccable. Même si le début est un peu mollasson, la trame de l'histoire nous donne envie d'aller jusqu'au bout. Le genre difficile a placer dans le temps peu perturber (chevaliers, samouraïs, jardins à la Française, architecture...) mais donne son propre charme a ce film. Pleins de codes sur l'honneur la loyauté, la fidélité et la dévotion sont mis en avant et peuvent donc rebuter. Si vous cherchez un film d'action creux, passez votre chemin.
Pour ma part, un bon moment. De très beaux décors, une belle immersion, des rôles bien traités, on ne s'ennuie pas. Même si le dénouement reste attendu, tous les genres sont mis en valeur et c'est plutôt réussi. A voir ! 3.5/5 !!!
Loin de moi l'idée de vous décourager de regarder ce film, mais bon, il faut bien que je donne mon avis sur ce film qui est loin d'être réussi pour ne pas dire pire. Un film qui n'a semble-t-il pas les moyens de ses ambitions avec une reproduction d'époque ultra-classique voir kitsch, des acteurs qui font le strict minimum à croire qu'ils étaient là par obligation, les quelques combats sont peu divertissants car mal chorégraphiés, l'histoire n'est d'aucun intérêt avec quelques twist (trahisons, rebondissements) qui le sont tout autant puis surtout qu'est-ce que c'est mou, il n'y a aucun rythme, c'était deux heures assez pénible, j'avais l'espoir que ça bouge un peu, mais malheureusement ça n'a jamais été le cas. En gros, j'ai pas aimé et je me suis profondément ennuyé du début à la fin.
Conscient de l’inertie de son geste artistique, de ses effets visuels minables et de son scénario cliché, Last Knights passe son temps à faire des gros plans, à assombrir son image afin de la rendre prétendument mystérieuse voire fidèle à la lumière de l’époque. On ne peut qu’être affligés devant un tel spectacle qui, pendant près de deux heures, multiplient les trahisons et les actes de bravoure de son petit personnel en armures pour mieux combler les trous, remplir, tenir la route et sur la distance. Le montage charcute ses plans afin de créer un semblant de rythme, Morgan Freeman a taillé sa barbe et joue le vieillard solennel qui n’a pas peur de disparaître – on le comprend… C’est nul, et cela ne mérite pas de s’y attarder davantage.
Et bien, voici typiquement le genre de film qu'on regarde un peu par hasard en se disant que ça risque de ne pas être terrible (mais avec Clive Owen quand même, donc on peut tenter le coup) et qui constitue véritablement une bonne surprise. Le scénario, alors que j'attendais un film d'action très simpliste, est bon, l'univers est crédible et très original, les scènes d'action sont excellentes. Alors oui "Last knights", sans être un très bon film, est un bon film.
Film de cape et d'épée au scénario vu et revu, succession de clichés et intrigue téléphonée comme pas possible parsemé de longueurs, espérons que cela soir vraiment les derniers chevaliers....
Le scénario utilisé par Kazuaki Kiriya s'inspire très librement de la légende japonaise des "47 Ronin". Il est d'autant plus prévisible, qu'il a déjà été vu, revu et corrigé dans différents films de la télévision japonaise. De nombreux éléments de ce célèbre retour des chevaliers bannis ont déjà également été empruntés et réinjectés dans plusieurs films du cinéma occidental, notamment dans certaines versions de Robin Des Bois. D'où la plaisanterie, "Ronin Des Bois". En Occident, la dernière adaptation cinématographique de l'histoire des 47 bannis, est le film de Carl Rinsc. Si l'américain avait introduit du fantastique, dans sa version, celle-ci n'était pas moins crédible que la version du japonais. En effet, Kazuaki Kiriya, non content de manquer d'originalité, fait preuve d'une totale désinvolture quant à la vraisemblance des scènes d'action sensées pourtant être réalistes. Entre autres exemples, la super-héroïque chute culminant la baston entre les deux rivaux. La désinvolture du cinéaste nippon se traduit également par un manque total de rigueur dans l'élaboration des détails tissant l'intrigue. Donnant une compréhension parcellaire de l'ensemble. L'espion est convaincu de la déchéance du commandant parce ce dernier abandonne la fille de son maître aux mains de ses entremetteurs, ou parce qu'il la "consomme"? De plus l'espionnage du commandant déchu est fait avec un tel manque de finesse, que c'est un pan entier du scénario qui perd en crédibilité. On peut s'étonner de l'aura de Kazuaki Kiriya à Hollywood. Hormis une certaine originalité présente dans son "Casshern", ce qu'il a réalisé jusqu'à présent ne cassait pas trois pattes à un canard.