Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Fable sur l’indomptabilité sexuelle, beau film de troupe, film-trip en forme de comédie saturnienne, ces "Rencontres…" sont bien cela et c’est déjà beaucoup, mais peu de films offrent au final un tel cadeau : permettre à chacun de se projeter sans effroi dans son propre carnaval intime.
Critikat.com
par Nicolas Maille
Si ces "rencontres" sont aussi excitantes, c'est qu'elles comblent avant tout notre désir de cinéma(s).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Emilie Rivenq
D’un lyrisme et d’une poésie poussés à leur paroxysme, "Les Rencontres d’après minuit" octroient, certes, une part belle au champ sexuel, mais le sordide y est banni et chaque plan sert magnifiquement à défendre l’argument.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Monde
par Sandrine Marques
Yann Gonzalez impose une voie singulière, celle d'une artificialité assumée d'où nait une émotion terrassante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Yann Gonzalez invente une harmonie de la dureté, une esthétique saillante, géométrique, qui scultpe autant les corps que les espaces.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Clément Ghys
Avec ce premier long métrage, Gonzalez modèle sa propre patte, façonne un cinéma transgenre, hybride, qu’il recouvre pourtant d’un vernis très lisse. (...) L’imbrication entre plaisir et souffrance, la recherche effrénée d’une "famille", d’un cocon idéal où les morts-vivants viendraient se blottir après la débauche.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
Il aura donc fallu un petit film français sélectionné à la Semaine de la Critique cannoise pour réanimer un thème clé du cinéma érotico-fantastique (...). Le film de Yann Gonzalez emporte ainsi notre adhésion en esquissant le lien humain qui reste à tisser après que les corps se sont entrechoqués dans l'obscurité des backrooms.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
POUR. Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
La force du film tient à sa manière astucieuse de tordre la mécanique du récit par des incursions poético-fantastiques, ou des scènes de pure comédie qui mélangent, avec une fluidité bluffante, grivoiserie, ironie sourde et émotion pure. (...) Un premier film jouissif.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Yann Gonzalez retrouve toute l’étrangeté du cinéma onirique et surréaliste français des années 70. Des maladresses, mais un discours touchant qui dénote une vraie approche personnelle dans laquelle on aime se lover.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Cet attirant premier film amorce un geste plein de panache, qui retombe hélas dans une posture un peu guindée.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Louis Guichard
Yann Gonzalez convoque tant de fantômes de cinéma, fait scintiller tellement de citations qu'il ne peut réussir toutes ses expériences d'alchimiste fétichiste. Parfois ça tombe à plat, et parfois c'est foudroyant de beauté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Au lieu de jouer le jeu du cinéma bis d’antan, Gonzalez se retranche dans une théâtralité abstraite à la Cocteau. Déco seventies et musique synthé ne donnent pas le change et renforcent l’artificialité du propos. C’est délicat et poétique, mais ça manque de vie et de chair
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Première
par Stéphanie Lamone
On a l'impression d'une partouze mentale à laquelle on ne se sent pas invité.
Ecran Large
par Simon Riaux
Le spectateur subit alors un exercice d'auto-satisfaction et d'onanisme vain, sinon puéril dont la seule particularité véritablement notable est d'offrir à sa victime une dilatation temporelle vertigineuse, à défaut d'être plaisante.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Positif
par Olivier De Bruyn
Grotesque et navrant.
Studio Ciné Live
par Fabrice Leclerc
CONTRE. Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
Fable sur l’indomptabilité sexuelle, beau film de troupe, film-trip en forme de comédie saturnienne, ces "Rencontres…" sont bien cela et c’est déjà beaucoup, mais peu de films offrent au final un tel cadeau : permettre à chacun de se projeter sans effroi dans son propre carnaval intime.
Critikat.com
Si ces "rencontres" sont aussi excitantes, c'est qu'elles comblent avant tout notre désir de cinéma(s).
Elle
D’un lyrisme et d’une poésie poussés à leur paroxysme, "Les Rencontres d’après minuit" octroient, certes, une part belle au champ sexuel, mais le sordide y est banni et chaque plan sert magnifiquement à défendre l’argument.
Le Monde
Yann Gonzalez impose une voie singulière, celle d'une artificialité assumée d'où nait une émotion terrassante.
Les Inrockuptibles
Yann Gonzalez invente une harmonie de la dureté, une esthétique saillante, géométrique, qui scultpe autant les corps que les espaces.
Libération
Avec ce premier long métrage, Gonzalez modèle sa propre patte, façonne un cinéma transgenre, hybride, qu’il recouvre pourtant d’un vernis très lisse. (...) L’imbrication entre plaisir et souffrance, la recherche effrénée d’une "famille", d’un cocon idéal où les morts-vivants viendraient se blottir après la débauche.
Mad Movies
Il aura donc fallu un petit film français sélectionné à la Semaine de la Critique cannoise pour réanimer un thème clé du cinéma érotico-fantastique (...). Le film de Yann Gonzalez emporte ainsi notre adhésion en esquissant le lien humain qui reste à tisser après que les corps se sont entrechoqués dans l'obscurité des backrooms.
Studio Ciné Live
POUR. Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
La force du film tient à sa manière astucieuse de tordre la mécanique du récit par des incursions poético-fantastiques, ou des scènes de pure comédie qui mélangent, avec une fluidité bluffante, grivoiserie, ironie sourde et émotion pure. (...) Un premier film jouissif.
aVoir-aLire.com
Yann Gonzalez retrouve toute l’étrangeté du cinéma onirique et surréaliste français des années 70. Des maladresses, mais un discours touchant qui dénote une vraie approche personnelle dans laquelle on aime se lover.
Les Fiches du Cinéma
Cet attirant premier film amorce un geste plein de panache, qui retombe hélas dans une posture un peu guindée.
Télérama
Yann Gonzalez convoque tant de fantômes de cinéma, fait scintiller tellement de citations qu'il ne peut réussir toutes ses expériences d'alchimiste fétichiste. Parfois ça tombe à plat, et parfois c'est foudroyant de beauté.
L'Humanité
Au lieu de jouer le jeu du cinéma bis d’antan, Gonzalez se retranche dans une théâtralité abstraite à la Cocteau. Déco seventies et musique synthé ne donnent pas le change et renforcent l’artificialité du propos. C’est délicat et poétique, mais ça manque de vie et de chair
Première
On a l'impression d'une partouze mentale à laquelle on ne se sent pas invité.
Ecran Large
Le spectateur subit alors un exercice d'auto-satisfaction et d'onanisme vain, sinon puéril dont la seule particularité véritablement notable est d'offrir à sa victime une dilatation temporelle vertigineuse, à défaut d'être plaisante.
Positif
Grotesque et navrant.
Studio Ciné Live
CONTRE. Voir le site de Studio Ciné Live.