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Aliénor de Mornac
1 abonné
1 critique
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2,0
Publiée le 10 mars 2021
Je m’attendais à mieux de la part de Jude Law c’est pas son meilleur film, de loin et je l’ai regardé jusqu’au bout parce qu’il était dedans sinon j’aurai splité depuis longtemps. C’est assez creux en fait y a pas vraiment d’intrigue qui prend au trip c’est assez banal et l’acteur principal n’est même pas drôle, il débite pleins de vulgarité sans vraiment nous faire décrocher un sourire.
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18 103 critiques
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1,5
Publiée le 28 octobre 2020
Jude Law est un acteur crédible mais qui a clairement pris une décision de carrière folle en prenant le rôle de Dom Hemingway. Le scénario est mauvais et vous avez le sentiment qu'ils inventaient des scènes au fur et à mesure. Les caractères sont fins comme du papier. Il n'y avait vraiment aucun complot à proprement parler juste un cliché très fatigué et très ancien sur de l'argent volé mais toute les séquences des événements se déroulent si saccadée et le personnage de Dom Hemingway est tellement surmené et antipathique que vous finissez par vous enraciner pour les mauvaises personnes. Le scénario est mauvais surtout quand Law commence à mâcher le paysage du film...
Bruyant et (très) vulgaire, à l'image de son ouverture de plusieurs minutes sur un personnage en plein acte sexuel qui vante lourdement ses attributs. On rêve déjà de zapper, tant le spectacle est affligeant de bassesse, et infernalement long. Mais si l'on persiste, on tombera sur encore plus de vocabulaire fleuri (on peut compter les mots normaux entre chaque grossièreté bas de pantalon), sur Jude Law au bord de la crise de nerf (très mauvais) qui déambule les fesses à l'air, Emilia Clarke qui ne sait pas trop ce qu'elle fait dans ce navet (et nous non plus), une intrigue de coffre-fort qui passionne autant qu'une publicité bon marché... N'en jetez plus, ce Dom Hemingway, qui n'a évidemment aucun rapport avec l'auteur à succès (si certains se posaient la question en voyant le titre), tente de se faire retenir par ses excès de bas du slip, mais devient vite puéril et m'as-tu vu.
Le film est sympathique, les acteurs jouent très bien. Pas de temps mort dans ce road movie anglais avec de belles couleurs. Un bon film avec une pointe d'humour anglaise.
Jude Law nous fait un one man show complètement déjanté à ce point que les autres peinent à exister à ses côtés, exception faite pour la troublante Emilia Clarke, la voir chanter dans une scène hélas bien trop courte est un enchantement ! Sinon, c'est amusant, il y a un zeste d'érotisme et ça se regarde avec bonne humeur pendant 75 minutes, avant de tomber dans le dernier quart d'heure dans une pleurnicherie bien mal gérée et bien mal venue
Une prestation de Jude Law inattendue et à contre-courant, bien loin de celles de ses précédentes. Les dialogues sont improbables, drôles et souvent crus pouvant être perçus comme vulgaires. En fait ces dialogues sont des métaphores ou des jeux de mots qui peuvent nous échapper et derrière ce coté décalé, on ne sait pas toujours de quel côté le film va basculer. Certains aimeront le coté pittoresque des situations et les propos percutants voire salaces, d’autres rejetteront le film pour son coté déjanté et pas toujours maîtrisé. Personnellement, je reconnais le talent de Jude Law mais je n’ai pas pourtant accroché.
Ce film change de l'ordinaire mais il n'est pas exceptionnel. Les rôles sont bien tournés et on comprend assez vite le passé solide de Dom. Beaucoup de langage grossier.
Bien que Jude Law surprenne dans ce role à contre poids, le personnage bien que déjanté n'est pas attachant, donc captivant pour suivre ces aventures sur ces 1h30 qui m'ont paru un peu longue malgré tout. Reste les quelques minutes de la mimi Emilia...
Il est loin le temps ou Jude Law a pu exprimer véritablement son talent d’acteur à suivre. Richard Shepard lui offre cette occasion en le transformant en vulgaire taulard, prétentieux, détraqué, obsédé et égoïste. Le beau Jude Law n’a pas eu peur de se mettre à nu en dévoilant ce côté malfrat qu’il est capable d’interpréter au cinéma. Habitué des formats courts sur petit écran, le réalisateur soumet un film au rythme piquant. Drôle, barbare et survolant, il n’y a que le côté drame qui est à refaire. En effet, quand un personnage est obnubilé par l’argent, le sexe et l’alcool, il est difficile de lui accorder son empathie quand celui-ci se rend compte que sa fille lui manque. Toutefois, Dom Hemingway reste une comédie hilarante, très bien jouée, mise en scène avec délectation sur des fonds de musiques consciencieusement choisies. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
Rien ne distingue ce film de nombreuses productions au niveau de l'histoire elle même dun développement classique du taulard qui après de nombreuses années de prison veut régler quelques comptes, récupérer son argent et renouer le lien avec sa fille qui le rejete, qui a grandi sans lui et à fait sa vie. Mais voilà, ce Dom Hemingway est un personnage remarquable, très rock and roll, un peu déjanté et incontrôlable et surtout particulièrement attachant, interprété de façon magistrale par Jude Law dans une prestation mémorable, totalement incarnée et engagée, avec une énergie et une folie communicative. Un homme qui ne renie rien de ce qu'il est, totalement nature et sincère jusque dans ses excès. Deux actrices pour 2 moments du films contribuent à magnifier sa prestation, la sublime, sensuelle, hyper canon Madalina Ghenea en garce vénale et Emilia Clarke éblouissante de sensibilité, au regard et au jeu hypnotisant , en fille qui arrivera peu à peu à pardonner. Un excellent film servi par un très grand acteur.
Dès la première scène, Jude Law entame un monologue sur la grandeur de sa verge ; ceci plante le décor : Dom Hemingway est un personnage insolent, imbu de sa personne, au langage fleuri. Il sort de prison et part directement casser la gueule à l’homme qui a épousé sa femme durant son séjour en prison, puis rejoint son ami Richard E. Grant dont il ne remarque même pas son gant noir à la main gauche, trop occupé à vider les verres d’alcool, à sniffer de la coke et à s’envoyer en l’air avec des p....
Complètement déjanté et remarquablement interprété, DOM HEMINGWAY est noir, drôle et divertissant. Une scène qui marque les esprits: Le crash en voiture. Personne n'en n'avait jamais vu un pareil. Bel effet. Du cinéma underground.
D'habitude je ne note pas les films dont je n'ai pas regardé le tiers mais là je veux me souvenir de ces 10 minutes. J'imagine que le personnage de Dom fait rire mais je ne suis pas la bonne cible, semble-t-il. Et encore, dès la première scène, j'ai bataillé en me disant il va y avoir un truc, c'est pas possible. Mais non. Je n'ai pas eu du tout envie de regarder cet escroc tout juste sorti de prison faire son show.
Le film vaut par l’interprétation déjantée, excessivement agressive et instable de Jude Law. Ce dernier nous offre une prestation géniale de son talent et ce grâce à l’imagination ou le culot de Richard Shepard, le réalisateur de ce film hystérique. Voilà un autre réalisateur qui permet au spectateur de découvrir une autre facette d’un acteur trop longtemps cantonné à des rôles de confort parfois difficiles mais pas aussi explosifs que ce Dom Hemingway. Et le film annonce dès d’entrée la couleur de son personnage avec cette tirade sur sa bite, laquelle tirade est savoureusement grossière et féconde d’envolée lyrique ! Et tout ça pendant une fellation ! Même Jude Law a une gueule. Une gueule de bouledogue, une grande gueule vitupérant tantôt des obscénités, tantôt des remords. Un personnage brut de décoffrage, violent, colérique, cash. On suit ce personnage sorti de prison tentant de récupérer son pognon et l’amour de sa fille. Film à voir en VO pour se rendre compte du travail de Jude Law. A part ça, un film qui se consomme assez rapidement. Une curiosité.