Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Sarah Brunelière
Le réalisateur équatorien signe ici un film à la structure narrative complexe et soignée.
Télérama
par Nicolas Didier
Pour son premier long métrage de fiction, tourné avec panache, le cinéaste dépense une belle énergie punk (au début, surtout). Il fait de ses histoires croisées une mosaïque, qu'il recompose par un montage fluide.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Benoît Smith
La façon dont le réalisateur vend son film comme une "ballade punk" se digère d’autant moins bien que ses efforts ostensibles accouchent finalement d’incartades pas franchement détonnantes au regard des conventions.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Sa construction crée une confusion qui dessert le propos.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Peu de films équatoriens parviennent jusqu’à nous. Cette rareté est hélas la seule vertu de "Sans automne, sans printemps" qui, sous prétexte de portrait de jeunesse désenchantée et de « ballade punk », livre un récit choral bourré d’afféteries et ivre de lui-même.
Les Fiches du Cinéma
Le réalisateur équatorien signe ici un film à la structure narrative complexe et soignée.
Télérama
Pour son premier long métrage de fiction, tourné avec panache, le cinéaste dépense une belle énergie punk (au début, surtout). Il fait de ses histoires croisées une mosaïque, qu'il recompose par un montage fluide.
Critikat.com
La façon dont le réalisateur vend son film comme une "ballade punk" se digère d’autant moins bien que ses efforts ostensibles accouchent finalement d’incartades pas franchement détonnantes au regard des conventions.
Studio Ciné Live
Sa construction crée une confusion qui dessert le propos.
Le Monde
Peu de films équatoriens parviennent jusqu’à nous. Cette rareté est hélas la seule vertu de "Sans automne, sans printemps" qui, sous prétexte de portrait de jeunesse désenchantée et de « ballade punk », livre un récit choral bourré d’afféteries et ivre de lui-même.