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Synopsis
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
Voici le portrait d'une génération invisible. Une ballade punk racontée du point de vue de 10 jeunes avec des histoires qui s'interconnectent, pas avec leurs destins mais avec leurs concepts : le voyage comme un moyen de réinvention, questionnant le bonheur et le système, la fraude, les limites morales, la folie, la décadence et l'amour...
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
C'est un film choral sur une jeunesse désabusée. C'est tourné à Guayaquil, mais aurait pu être tourné n'importe où dans le monde. Le scénario est très mouvant, le film flotte sans cesse. Il faut s'accrocher pendant 30 bonnes minutes avant de trouver un lien entre des scènes et entre les personnages. Je n'ai rien compris aux tenants et aboutissants du propos. Il y a beaucoup de drogues, un peu de sexe et pas mal de musique pop latino ...
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pgioan
30 abonnés
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0,5
Publiée le 4 juin 2016
incommensurable ennui .....Il a vraiment fallu que je me force pour rester jusqu'au bout. Aucun intéret , les personnages on s'en balance royalement , autant que le metteur en scène...
Iván Mora Manzano évoque Guayaquil, la ville où il est né et où il a passé son enfance et son adolescence. Il s'agit de la première ville de la République d'Équateur et compte environ 2.3 millions d'habitants. Le metteur en scène confie à quel point il est attaché à cet endroit :"Chaque fois que je pense à cette ville, je songe à la musique que j’écoutais jusqu’au petit matin dans un baladeur de piètre qualité, aux amis jouant de la guitare et ch
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Montrer le sexe
Lorsque Iván Mora Manzano a commencé à écrire le scénario de Sans automne, sans printemps en 2007, ses producteurs Isabel Carrasco (qui est aussi sa femme) et Arturo Yépez lui ont dit que les histoires d’amour étaient trop édulcorées et que l’amour urbain, de genre naturaliste, nécessite plus de sexe. Le réalisateur a alors immédiatement ajouté sept scènes sauvages de sexe dans son film. Il se rappelle :"Après ce premier excès, je me suis rendu c
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Filmer l’intimité
Iván Mora Manzano a toujours pensé que l’important dans le sexe est l’intimité et c'est dans ce sens qu'il ne voulait pas une scène « torride » dans Sans Automne, sans printemps. Le cinéaste confie : "Il y a là une différence essentielle : dépeindre l’intimité, c’est dépeindre le plaisir, mais l’intimité s’exprime aussi sans sexe. Par exemple, le moment où Martin et Antonia sont les plus proches est celui où ils sont nus, étendus sur le sol, aprè
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