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    My Beautiful Boy
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    4,0
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    170 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 7 février 2019
    Dommage de dommage que ce film soit brouillon, fouillis, mal structuré avec d'incessants flashback complètement désordonnés et beaucoup trop nombreux qui finalement désoriente le spectateur plutôt que de le guider dans une suite logique de cette histoire dramatique ou des parents font tout ce qu'ils peuvent pour sortir et sauver leur enfant de cette effroyable et criminelle addiction aux drogues dures..........
    mat niro
    mat niro

    360 abonnés 1 840 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 février 2019
    Quel formidable film sur l'addiction à la drogue que celui réalisé par Felix Van Groeningen! Timothée Chalamet est formidable dans ce rôle de "junkie" accro à la métamphétamine qui va osciller entre périodes d'abstinence et rechutes. Le réalisateur ne tombe jamais dans la facilité avec des clichés comme on en voit trop souvent (le lien entre précarité et toxicomanie par exemple). Il réussit à travers l'image du père (Steve Carrel) a ne pas sombrer dans une issue facile (sans en dévoiler plus). Inspiré d'une histoire vraie, j'ai trouvé ce film bouleversant et la relation père/fils terriblement réaliste spoiler: lorsque ce premier se fait une raison quand il admet qu'il ne peut plus rien faire pour son fils
    . Une œuvre puissante avec une bande son superbe!
    zorro50
    zorro50

    117 abonnés 249 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 février 2019
    Un film chiant au possible qui dure 2 heures mais qui compte tellement de scènes dénuées d'intérêt, de flash-back intempestifs de pur remplissage pour accentuer le pathos, de moments hyper-mollassons et de temps morts inutiles et incompréhensifs, qu'il n'aurait légitimement dû durer au maximum que 20 minutes. Un vrai record en la matière ! De plus, Steve Carrell joue très mal, il en faisait trop quand il tentait d’être drôle et il en fait trop quand il essaie d’être dramatique, c’est un vrai boulet.
    Yves G.
    Yves G.

    1 498 abonnés 3 516 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 février 2019
    David Sheff (Steve Carell) travaille comme reporter free lance en Californie. Il a eu un fils, Nic (Timothée Chalamet), d'un premier mariage. Remarié à Karen (Maura Tierney), il a eu avec elle deux autres enfants qu'ils entourent de leur amour dans une maison cossue au nord de San Francisco.
    Tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes pour la famille Sheff si Nic ne sombrait dans la drogue, sans que l'amour de son père ne parvienne à l'en détourner.

    Soirée "Dossiers de l'écran". Sujet : "votre enfant se drogue". Dans les années quatre vingts, la célèbre émission produite par Armand Jammot, présentée par Alain Jérôme et Joseph Pasteur, aurait sans doute montré Moi Christiane F., 13 ans, droguée, prostituée, puis ouvert un débat rassemblant Christiane Felscherinow, la jeune toxicomane auteure du livre à succès, un responsable public, un père - ou une mère de famille - qui, après la mort de son enfant aurait fondé "SOS Enfants drogués", etc.

    "Les Dossiers de l'écran" n'existent plus. Mais les films à thème ont la vie dure. Ils l'ont si bien qu'ils vont par paires. À deux semaines d'intervalle, le sujet de l'addiction a été traitée par deux films similaires : après "Ben is Back" sorti le 16 janvier, qui évoquait le combat d'une mère (Julia Roberts) voici "My Beautifu Boy" qui raconte celui d'un père.

    Steve Carell, qui s'est fait un nom dans le cinéma comique, assume son virage vers des rôles plus sérieux, un mois à peine la sortie de "Bienvenue à Marwen" - et de son cuisant échec au box office. Timothée Chalamet et ses boucles rebelles capitalisent sur le succès de "Call me by your name" (il semble de règle que les titres français des films de cet acteur franco-américain soient systématiquement en anglais). Rien à dire de l'interprétation impeccable et de l'un et de l'autre.

    Rien à dire non plus de la précision documentaire avec laquelle la spirale de l'addiction, ses rémissions passagères, ses rechutes toujours plus ravageuses, ses dénis, ses cures plus ou moins respectées, sont décrites. De l'avis des addictologues les plus réputés, tout y est. Surtout peut-être ce sentiment d'impuissance, de fatalité, qu'incarne à merveille Steve Carell : malgré tout l'amour dont Nic a été entouré, malgré tous les atouts qu'il a en main au seuil d'une vie prometteuse, malgré le confort dans lequel il a grandi, sa chute semble inéluctable.

    [Attention spoiler] C'est la fin du film qui m'a le moins convaincu. On escompte une mort tristement inéluctable. Tout l'annonce jusqu'à cette overdose, dans les toilettes sordides d'un bar de Haight-Ashbury, filmée sur les accents déchirants de la Symphonie n° 3 de Gorecki.
    Mais, comme si cette fin était trop tragique, trop désespérante, Nic en réchappe. Quelques cartons lourdement démonstratifs nous annoncent qu'il vit depuis huit ans sans rechute. Cette conclusion sonne faux - quand bien même elle est basée sur l'histoire vraie de Nic et de son père qui l'ont tous deux racontée dans des livres à succès.
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    67 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 février 2019
    Felix Van Groeningen réunit Timothée Chalamet et Steve Carell dans un duo père/fils des plus touchants dans My Beautiful Boy. Complémentaires et bourrés de talent, les deux acteurs offrent une nouvelle histoire sur la toxicomanie, fléau qui touche de plus en plus les américains, mais surtout sur la vie des proches durant cette descente aux enfers.
    margauxperso
    margauxperso

    5 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 février 2019
    Casting 5 étoiles pour une merveille de film sur un sujet hyper sensible, où comment un enfant peut sombrer dans ses travers malgré une famille unie pleine d’amour et un père exemplaire. Mention spéciale pour Steve Carrel qui illustre dans ce film une prestation d’une sensibilité éblouissante.
    shindu77
    shindu77

    95 abonnés 1 611 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 février 2019
    Film qui ne laisse pas de marbre. Beaucoup d’émotion tout au long du film. Tristesse, émotion pression tout au long du film. La mise en scène est intéressante mais ce n’est rien comparé au jeu des différents acteurs, référence surtout aux deux acteurs principaux qui sont vraiment excellent dans le rôle respectif. Toutefois, le casting globale est aussi de qualité.
    Aulanius
    Aulanius

    200 abonnés 1 709 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 février 2019
    J'ai eu l'occasion de voir ce film en avant-première et je dois dire qu'il est assez bouleversant. On pouvait s'en douter vu le sujet et c'est quelque chose de tabou, encore de nos jours. Dans l'ensemble, les acteurs sont vraiment convaincants et arrivent à nous faire passer tout un lot d'émotions mais je reproche également le fait que c'est trop répétitif. Pendant deux heures, on a le droit à des copies de copies de copies et encore de copies de scènes. Je veux bien que l'on démontre à quel point il est important de se soucier des problèmes de drogue de son enfant mais je pense qu'en deux heures, il aurait été préférable d'aborder d'autres aspect de cet environnement. Gros point fort, la bande originale, très variée et super efficace. On peut y ajouter une très jolie photographie qui apporte un vrai plus à "My Beautiful Boy". J'ai aussi apprécié la relation que l'on suit au fil des années pour voir quel lien uni un père et son fils. Cependant, pour le reste comme je l'ai déjà dis plus haut, on fini par tourner en rond et on fini par s'ennuyer clairement. C'est aussi dommage que tout soit téléphoné et assez grossi pour certaines parties. Même pour quelqu'un comme moi qui n'a rien à voir avec tout, je peux quand même remarquer que parfois ce n'est pas réaliste. Et puis, je suis assez partagé sur le message, franchement des fois c'est limite. En fait, c'est un drame qui porte bien son nom mais j'ai été un peu déçu de la tournure qu'à prit le long métrage. Ça commence bien et ça s’essouffle. Pour résumer, correct sans être révolutionnaire. 11/20.
    Requiemovies
    Requiemovies

    210 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 janvier 2019
    A défaut de prendre un chemin purement cinématographique, Félix Van Groeningen réalisateur de The Broken Circle Breakdown, La Mertitude des Choses et plus récemment Belgica, tend vers un réalisme profond et s’empare de son sujet de façon dramatique et quasi pédagogique. Oui l’addiction n’est pas un choix mais une maladie. Le réalisateur prend cependant un risque dans le choix de sa mise en scène. Fait d’allers et retours des personnages, entre eux, comme de lieux, il pourrait paraître difficile de s’attacher aux personnages. Ce choix en fait finalement sa force, pour donner une note plus réaliste à son histoire et permettre au spectateur de s’attacher à cette relation filiale d’une force assez incroyable, du côté du père comme du fils. Force possible par la réunion de deux comédiens géniaux, Steve Carrel avant tout et Thimothée Chalamet une fois de plus sous la lumière méritée des projecteurs.
    Si My Beautiful Boy ne brille pas par son élégance quand bien même répétitive, on retrouve la justesse et l’émotion que Félix Van Groeningen avait su mettre dans le sombre et poignant The Broken Circle Breakdown ; sans en avoir la force, le film en garde la grâce et l’émotion presque réelle, palpable. Touchant. requiemovies.over-blog.com
    Pat Nicois
    Pat Nicois

    7 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 janvier 2019
    Un film dérangeant pour tous parent consciencieux, il montre bien que quoi qu'on fasse, quelque-soit la profondeur de la relation avec son enfant, tout peut déraper définitivement à cause des drogues de synthèses. Les acteurs sont impeccable, ce qui rend le film encore plus dérangeant.
    ned123
    ned123

    161 abonnés 1 702 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2019
    J'ai vu un film... sur une plongée sans apnée, dans l'univers d'une drogue en vogue chez les jeunes aux États Unis.
    Récit et vision du père : les situations quotidiennes, les relations familiales... Malgré quelques respirations éphémères, l'ensemble est oppressant. Parfois moraliste, ce film traite d'un sujet de société dans sa dimension intime, personnelle et familiale. Tous les ingrédients d'un bon film, sujet délicat, des bons acteurs, une bande son de qualité... mais qui ne rend pas accroc.
    Nathalie R
    Nathalie R

    24 abonnés 144 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2019
    C'est le genre de film tragique qu'il faut prendre le temps de digérer mais c'est aussi un hommage émouvant à l'amour paternel, du simple bonheur à l'ultime douleur. Sans être parfait et sans atteindre la profonde émotion d'Alabama Monroe, My Beautiful Boy est l'un des films les plus remarquables de ce début d'année, certainement le plus triste, qui ne fait que confirmer le talent de son réalisateur et son duo d'acteurs. Felix Van Groeningen sait définitivement aborder des sujets forts sur la dureté des relations familiales après la perte d'un être cher.
    Scénario Catastrophe
    Scénario Catastrophe

    31 abonnés 156 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 janvier 2020
    La déstructuration du fil temporel de ce film est un axe qui convient parfaitement à cette histoire. Cela donne la sensation, au spectateur, de rentrer dans un esprit brouillon, déstructuré, proche de ce que peut ressentir Nic, mais aussi son père, tout aussi victime que lui, mais d'une autre façon, des effets de la drogue. Cette déstructuration nous montre deux points importants : les moments de bonheur, d'amour et de complicité absolue, ainsi que les instants de souffrances, de mal entendu, de compulsion. On vagabonde dans ce film comme on traverse les souvenirs de quelqu'un, qui se remémore sa vie sans la classer chronologiquement. Et finalement, cette narration aléatoire est aussi une métaphore des rechutes : on ne sait jamais si un moment heureux, ou douloureux va suivre, si la nuit sera austère, ou le jour heureux : le spectateur est prêt à retomber à tout moment. Il y a aussi des moments vraiment sublimes dans ce film : quand Nic est en plein doute, au sommet de San Francisco. C'est une scène qui traduit la liberté de l'instant, et l'emprisonnement dans ce qu'il est, sa condition et l'impossibilité de s'en sortir. La poursuite de la belle mère est aussi un instant de grâce, extrêmement réussi, où elle se révèle et montre des séquelles comme tous les autres membres de la famille. D'ailleurs, aucun d'eux n'est négligé; les demis frère et soeur de Nic ont une place importante, ils montrent eux aussi, du haut de leur jeune âge, tout l'amour pour leur frère, qui leur manque. Le film est criblé d'imprévu, il montre une vie qui ne sait pas bien où elle est menée. Les acteurs sont excellents, les décors bien exploités et aussi très présents. Le choix de la maison est réussi, elle est à la fois proche de la nature, d'espaces ouverts, mais ressemble à une grotte où s'enterrent les mal aises et la culpabilité. Par ailleurs, il y a aussi plusieurs jeux intéressants entre les premiers plans personnages et les décors au second qui révèlent des paroles ou des pensées des personnages. Quand David expérimente la drogue, le fond de veille de son écran, psychédélique, nous suffit à rentrer dans son état d'esprit. D'ailleurs, l'axe de My Beautiful Boy est de ne pas montrer la toxicomanie comme on a l'habitude de la voir au cinéma, en jeune avec une vie "normale", qui a reçu de l'attention et des liens indestructibles avec sa famille, et n a de la compassion pour Nic, aussi bien quand il s'en sort que quand il replonge. La fin du film m'interrogeait depuis le début : comment achever de raconter cette histoire vraie, cette vie de chute et de remontées. Elle termine, intelligemment, comme elle a commencé, avec une brèche ouverte, un destin variable avec un grand trou noir.
    aldanjah
    aldanjah

    70 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 janvier 2019
    Le thème du film est assez sombre. Il est question de désespoir, le désespoir d'un père devant le comportement auto-destructeur de son fils, devenu accro aux drogues dures (méthamphétamine, héroïne, médicaments, etc..).

    Le réalisateur Felix van Groeningen a déjà à son palmarès plusieurs très bon films dramatiques
    * La Merditude des choses (2009) où il était question d'alcoolisme.
    * Alabama Monroe (2012) une histoire d'amour puis un deuil, vraiment émouvant.
    * Belgica (2016) dans le monde de la nuit, avec ses tentations en tout genre.

    Pour ce film, on reste dans le registre du drame, de l'émotion bouleversante. Mais Felix est sorti de sa zone de confort. Il a traversé l'Atlantique, et s'est dôté de belles têtes d'affiche pour ses premiers rôles.

    *** attention la suite contient des **spoilers** ***

    spoiler: Steve Carell interprête le père. Il est loin des rôles comiques qui l'ont fait connaitre, mais joue très bien un père empathique, tendre, qui alterne entre désespoir et rage de ne pas pouvoir changer son fils. C'est lui le personnage principal du film, et son fils incarné par Timothée Chalamet apparait comme une énigme, un être qui est pris dans une spirale hors de tout contrôle. Remontent à la surface les souvenirs de l'enfance de son fils, des séquences de nostalgie qui permettent au spectateur de mieux comprendre la construction psychologique de son fils. Des parents séparés, un père placé sur un piedestal, travaillant pour Rolling Stones Magazine, initiant son fils à Nirvana (Est-ce sérieux de faire écouter Territorial Pissings à son fils de 7 ans ?) ou à de la littérature alternative (Attention aux auteurs torturés). Egalement un échange dans lequel le père admet avec un sourire en coin avoir testé certaines drogues dans son enfance, ce que son fils prend non seulement pour un feu vert, mais la drogue devient une terre d'aventure dans laquelle il a l'opportunité de transcender, de dépasser son père, si parfait. Contrairement aux films de référence sur la consommation d'héroine comme "Requiem for a Dream", "Trainspotting" ou "Basketball Diaries", le film n'est pas centré sur le consommateur. Notre jeune junkie s'exprime peu, sauf lorsqu'il prend la parole durant une cure de désintoxication, et qu'il décrit un grand trou noir à l'intérieur de lui, un grand vide qu'il essaye vainement de combler en prenant toutes les substances à sa portée. La famille, elle ne sait pas comment réagir face à la lutte contre l'addiction de leur fils. Dans un premier temps, ils l'aident moralement et financièrement, mais au fil du temps, le fils s'éloigne et ils ont de moins en moins d'espoir de sauver leur fils, et réalisent qu'il s'agit de faire le deuil de l'enfant qu'ils ont connu. Face aux problème de la consomation de drogue dure, ce film a un impact, car il sensibilise le public. Il n'attenue en rien le pouvoir attractif de la drogue pour les adolescents qui découvrent leur corps, leurs sensations, leurs émotions, mais il est important de communiquer autour les risques de tomber dans une spirale addictive, et des souffrances que ça entraine. Bravo Felix pour ce film émouvant et réaliste. critique publiée sur https://critique-ouverte.blogspot.com
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    190 abonnés 1 867 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 janvier 2019
    Thème triste admirablement traduit et détaillé par d'autres films, ce film ne surprend guère par sa réalisation ou ses acteurs ! On survole plutôt des idées intéressantes. Il y a une trop grande énergie à développer le lien père - fils, et on néglige toutes les autres relations. Le film est en dents de scie, entre moment de gaieté puis enchainer descente en enfer. Steve Carell sonne juste mais il demeure difficile de ne pas oublier ses autres rôles
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