Derniers Avis : Fight Club - Page 22

Bien que ce soit une évidence, je l'écris tout de même : CE FILM EST CULTE !
Des dialogues cultes, de la folie, une femme, du une absence d'espoir qui rend libre...
«Sur une durée suffisamment longue, l'espérance de vie tombe à zéro pour tout le monde»
A visionner, en VHS, en Dvd, en Blu-Ray, le tout légalement et simultanément, d'urgence !

Un de mes 3 films préférés (Climax, Fight Club, Memories of murder, 3 films très différents) et aussi un des meilleurs films au monde, bien que possédant un avis très mitigé (en même temps c'est un film culte). Fight Club raconte donc la vie d'un homme qui travailles pour des assurances, durant un de ses trajets en avion, il rencontre un homme du nom de Tylerr Durden avec qui il va fonder un club, le "Fight Club", j'essaye de rester vague sur le film parce que quand même, fight club, c'est quand même un des meilleurs films de tout les temps, et si vous ne l'avez pas vu, allez le voir il n'est pas encore trop tard.
Ce film est donc un chef d'oeuvre (en tout cas de mon point de vue) que beaucoup de gens trouvent violent mais en réalité il ne l'est pas tant que ça (déconseiller ce film aux moins de 16 ans alors que sur la TNT on voit du catch déconseillé aux moins de 10 ans, fourrage de tronche) et que beaucoup de gens n'ont pas apprécié, je ne comprends pas mais j'accepte l'avis des autres personnes, nous n'avons pas tous la même sensibilité face à la violence il faut l'admettre voilà violon. Bref allez le voir mais je donne quand même un avertissement vu que c'est un film qui peut choquer (comme la plupart des films que je critique). Regardez le!

CE FILM EST UN CHEF D'OEUVRE. Oui clairement, ce film est exceptionnel. Déjà, dans un premier temps la performance de Brad Pitt, d'Edward Norton et d'Helena Bonham Carter est incroyable, ces 3 acteurs interprètes à merveilles leurs personnages. L'histoire en elle même est très intéressante: Le narrateur, sans identité précise, vit seul, travaille seul, dort seul, mange seul ses plateaux-repas pour une personne comme beaucoup d'autres personnes seules qui connaissent la misère humaine, morale et sexuelle. C'est pourquoi il va devenir membre du Fight club, un lieu clandestin ou il va pouvoir retrouver sa virilité, l'échange et la communication. Ce club est dirigé par Tyler Durden, une sorte d'anarchiste entre gourou et philosophe qui prêche l'amour de son prochain. Le film a été critiqué pour sa violence gratuite sans justification, sans commentaire, la presse se sont quand même des génies. Bref, le film est certes violent et mature ( ce qui ne me déplaît pas du tout) mais ce qui est exceptionnel dans ce film, c'est les personnages, leurs pensés : en effet les paroles du narrateur, le fait que le film relate d'une certaine manière la réalité de notre société ou l'on n'a pas vraiment de grande cause à défendre et ou l'on sombre dans la violence et l’extrémisme religieux afin de se trouver un but dans notre vie. Mention spéciale pour le Twist final qui est franchement très bon et inattendu.

Bref, le film est clairement une critique de la société de l'époque et son message spoiler: est notre société comme son rejet ne mène qu'à l’effondrement, sous sa forme la plus extrême.

Un 5/5 amplement mérité, merci David Fincher pour ce grand moment de cinéma, mon film préféré mais de très loin !

Fight Club est un film epoustouflant tant par sa mise en scene tres sombre que par sa creativité et ses retournements de situations. L'action et les acteurs de ce film nous donne du fil a retordre, on suit omnibulé par la tournure des evenements, cette histoire parfaitement bien orchestré et scenarisé ! Un Chef d'oeuvre !

Je viens de le voir... Depuis des années rien que le titre et le synopsis me poussaient à m'abstenir, mais les critiques spectateurs majoritairement élogieuses m'ont convaincu que c'était un film à voir. C'est chose faite et à grands regrets, une des pires expériences cinématographiques que j'ai connu ! Les acteurs font pitié, le scénario schizophrène ne prend jamais et la mise en scène poussive et outrancière confine le film aux rangs des plus grand navets surestimés ! Voir Brad Pitt balancer ses mégots de clopes avec autant d'intensité tout au long du film résume parfaitement le tout. Je me suis efforcé d' aller au bout du métrage avec courage en espérant un miracle qui allait me donner raison, mais non... Je déconseille cette pseudo satire sur la société de consommation...

Indétrônable depuis 1999 dans le 7 ème art. Je n'aurais qu'un film à garder, ce serait celui-ci. Ce film,outre la violence, rendra à lui seul la liberté de se détacher du monde consumériste à outrance dans lequel on est plongé. Un film qui est ancré en plein dans le 21 ème siècle et cela pour longtemps. Chapeau!

Enfin je regarde ce film que tout le monde parle, film très bien noté...Et bien je peux vous dire que je viens de perdre 2h et 19min : Film incohérent, violent en quel but? La fin est originale mais elle ne rattrape rien. Très déçue, 2/5, je ne vous remercie pas.

La chute, vraiment sympa, mais aurait pu être beaucoup mieux. 2h30 de film et l'impression qu'il en a duré 5. Et puis le coup du gars qui se tire une balle dans la bouche et qui s'en sort avec une mâchoire cassée, sérieusement??? Je ne recommanderai pas à un ami.

fight club surement le film considérée comme le plus grand chef d´oeuvre de son cinéaste par la majorité des cinéphiles, un film ultra culte de part nombre de points positifs. cependant fight club est certainement pas mon david fincher préférée, en effet ce film a eu que peut d´impact sur moi contrairement au film seven sortit 5 ans plus tôt dans la filmographie du réalisateur et qu fit partie de mes films préférés. bien sur fight club reste selon moi un grand film avec une fin très surprenante , une réa incroyable, une b.o excellente et des acteurs formidable surtout edward norton. un très bon film, un film que j´aime bien mais loin d´être une référence pour moi ainsi je lui accorde la bonne note de 4/5

Seul et unique film de ma vie que je peux regarder plusieurs fois sans jamais me lasser. Chaque fois c’est une nouvelle compréhension différente de chaque scène. Très bien réalisé, si l’on regarde ce film jusqu’au bout c’est un véritable chef d’œuvre. De loin l’un de mes films préférés.
On peut assister à la dérive de personnages très particuliers qui ont leur propre manière de voir la vie, d’une façon bien spécifique. Ce film fait énormément réfléchir. Il emmène à se poser de nombreuses questions. Quelques touches d’humour sont là pour fluidifier le tout.

Une chose est sûr concernant ce film: il est très beau. La lumière, le grain, les couleurs, tout cela est très bien capté et restitué, c'est du seven qui a maturé. D'une manière générale l'esthétique est bluffante, jusqu'aux accoutrements de brad pitt. C'est super bien fait, indiscutablement. Je pense que c'est le véritable point fort du film qui parvient à se hisser grace à son esthétique à la hauteur d'une sorte de conte déjanté, de rêve. Mais comme tout rêve, une fois écartée l'impression produite par la forme, au réveil, il ne reste pas forcément grand chose.

La première partie du film est une critique de la société de consommation qui aurait pu être très intéressante si elle avait été poursuivie sur la totalité du film (avec des leitmotiv tels que "it's only after you've lost everything that you're free to do anything", il y avait à faire), hélas, la seconde partie du film est la résolution d'une intrigue roublarde, sympathique mais qui classera le film parmi les objets pop culture surprenant mais sans grande portée.
C'est à voir néanmoins, le premier visionnage est une bonne expérience (ou alors c'est parce que j'avais 20 ans de moins...).

Au bout de seulement un quart d'heure du film on peut déjà le juger laid, volontairement dérangeant, phraseur, bordélique et ennuyeux. On nous tient ensuite un discours assez tordu en nous expliquant que la société de consommation brimerait la virilité des hommes, et qu'au lieu de consommer, il faut mieux se mettre des pains. Là ça commence à craindre, mais le pire restait à venir puisqu'on nous montre comment s'en sortir en s'organisant en milice fasciste (la référence aux chemises noires de Mussolini est explicite) Non seulement c'est malsain mais c'est incohérent, spoiler: Si vraiment Norton est shizo, comment fait-il pour s'envoyer un pain qui l'envoie valser huit mètres plus loin ?
Quant à la fin c'est franchement n'importe quoi. Un film dangereux et nauséabond dont je ne sauverais que la présence de la trop belle Helena Bonham Carter, égarée dans ce film, sinon poubelle. PS : certains opposent Fight Club à Seven qui lui serait bon, non : à y regarder de près Seven contenait déjà en germe les absurdités de Fight Club, mais disons que c'était distillé habilement.

Je dois avouer que c'est le film le plus frappadingue que j'ai vu à ce jour!
Le scénario est très bien construit mais j'ai détesté ce film fait de scènes de combat, gratuites, sans autre but que de montrer sa "virilité"! Mon dieu, quelle connerie! Il faut prouver sa virilité dans cette société castratrice!! C'est ce qu'affirme l'écrivain dont est issu ce film. Si affirmer sa virilité c'est se battre jusqu'à en être défiguré, perdre ses dents et j'en passe; alors je préfère passer pour une femmelette. Quand on voit ce qu'affirmer sa virilité représente dans les banlieues : baston entre bande de quartier rivaux, morts de jeune. On doit vraiment se demander si il faut vraiment affirmer sa virilité.
Et ce film finit par révéler que le héros est complètement schizophrène. Et a tout inventé! Alors là, c'est le pompon!
Bon, ce film est à réserver à des hommes en manque d'occasion de prouver leur virilité. Les autres hommes, les normaux, et les femmes, pourront passer leur chemin.

Fight Club fait sans doute partie de ces films spéciaux,un peu farfelus mais qui fonctionnent bien.Le duo Norton/Pitt est assez complémentaire et le coté un peu loufoque d'Helena Bonham-Carter apporte un peu de fraicheur.Les événements s'enchainent de manière fluide avec une dose d'humour ,mais ça traine un peu en longueur.Certes il y a des passages assez sympas,drôles,d'autres qui n'ont pas un grand intérêt.
Mais l'épilogue est assez surprenant,il répond à la fois à certaines questions mais cette fin un peu "ouverte" ne résout pas tout et je suis un peu resté sur ma fin.

Le film d’une génération, une folie totale, une jouissance absolue, un ovni jamais égalé… voilà en quelques mots ce qu’il faut retenir de ce bijou signé David Fincher.
Un film sombre et dérangeant, d’une violence parfois extrême mais au message bien plus intelligent qu’il n’y parait, à savoir une dénonciation de société de consommation et du formatage qu’on nous impose. « On est les enfants oubliés de l’histoire, on n’a pas de but ni de vraie place. On n’a pas de grande guerre, pas de grande dépression. Notre guerre est spirituelle, notre grande dépression c’est nos vies. La télévision nous a appris à croire qu’un jour on serait tous des millionnaires, des dieux du cinéma ou des rocks stars, mais c’est faux. Et nous apprenons lentement cette vérité ». Le film est rempli de ce genre de monologue signé Tyler Durden, le mec cool à qui l’on voudrait tous ressembler, ce mec décalé, fou, mais tellement lucide sur la vie que l’on mène. Il nous explique que l’on n’a pas de but d'exister à l’intérieur de cette société, pas de grande cause à défendre, et que ce manque de sens est la gangrène du siècle qui va pousser progressivement les gens à sombrer dans la violence sous toute forme pour essayer de trouver sa place dans ce monde qui ne veut pas d’eux. Sans jamais tomber dans la démagogie ou l'apologie du terrorisme anarchiste, le narrateur nous expose son point de vue avec cynisme comme une grosse claque au visage.
Entre oppression et fascination, Fincher nous offre une atmosphère glauque et captivante au travers de scènes mythiques d’une intensité et d’une profondeur rare. Le tout est bien emmené par le duo d’acteurs Brad Pitt / Edward Norton, tout en intensité, qui fonctionne à merveille, l’un étant l’opposé total de l’autre dans son approche de la vie et son attitude. On voit toute l’influence que prend Pitt au fil de l’intrigue, tout son pouvoir d’attraction, son charisme et la folie qu’il suscite, et l’on voit Norton se transformer progressivement. Helena Bonham Carter est également très importante dans l’intrigue et va nous offrir une histoire d’amour tout sauf niaise au milieu de cette violence.
Comme pour « Seven », Ficher nous achève avec ce twist final magistral qu’on ne voit pas venir et qui nous scotche littéralement et rappelle au spectateur qu’il s’est fait balader pendant deux heures. Le tout sur un BO grandiose des Pixies et leur « Where is my mind » transcendant.
Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)