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Sébastien DJ.
4 abonnés
19 critiques
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0,5
Publiée le 6 août 2024
Une immense déception. Ce que j'ai le plus apprécié dans ce film ? Le générique. L'histoire démarre de manière confuse, avec une scène où Largo porte un objet incroyablement lourd, bien que cet objet soit déjà posé sur le sol. Va comprendre.
Ensuite, le film enchaîne avec des échanges de tirs tout aussi incroyables qu'inutiles, notamment lors d'une course-poursuite en moto. Pour couronner le tout, après trois semaines Largo est toujours à la recherche de son fils sans la moindre aide alors que dans une scène suivante on lui présente une application de l'entreprise mandatée pour cette recherche. L'histoire est un véritable chaos, avec des dialogues ridicules et une intrigue qui n'a ni queue ni tête. Un piratage durant une conférence virtuelle est tellement mal géré qu'il en devient risible. À ce stade, on a envie de crier comme les acteurs : "Coupez tout ! Éteignez tout !"
En somme, c'est un mauvais film, probablement l'un des pires Largo produit. Cette franchise semble à bout de souffle. Désolé, je n'ai pas pu aller plus loin, car j'ai été obligé de quitter la salle tant c'était mauvais. Une première pour moi en 2024. Bon courage aux spectateurs qui restont jusqu'au bout.
Autant les 2 premiers Largo étaient réussis mais celui là est très décevant. Je trouve que le jeune qui joue le fils de Largo joue très mal ; heureusement qu’on le voit très peu et c’est tant mieux ! La fin du film pas crédible du tout laisse malheureusement du coup entrevoir encore une suite ☹️☹️☹️
Je mets 1 étoile car Tomer Sisley a une bonne gueule. Sinon, on s'ennuie ferme dans cette parodie de James Bond. J'ai même prié pour que le film se termine.
J'aurais mis 4 étoiles pour Largo et la petite Bonnie, malheureusement trop d'incohérences dans le scénario. De belles cascades, mais trop de violence. Quand Tomer Sisley dans une interview sur Legend dit "allez-y en famille", euh, ben non en fait. A partir de quel âge tu emmènes tes gamins voir un mec se faire buter d'un canon dans la bouche?
J’avoue humblement n’avoir vu aucun des films déjà réalisés par le belge Olivier Masset-Depasse. Comme à son habitude pour ces 100 minutes d’action pure, c’est lui qui a écrit l’adaptation des BD de Jean Van Hamme et Philippe Francq – c’est ici une adaptation libre des volumes 13 et 14, Le prix de l’argent et La loi du dollar de la série -. Depuis l’enlèvement brutal de son fils Noom, Largo Winch fait l’objet d’une impitoyable machination cherchant à l’anéantir et à détruire le groupe W. Pour faire éclater la vérité et retrouver son fils, Largo se lance dans une traque sans relâche. Des forêts canadiennes, en passant par Bangkok jusque dans les profondeurs des mines birmanes il ne sait pas encore qu’il devra faire face aux démons du passé. Action pure, je le répète, bien ficelée, bien écrite, entre film noir coréen et John Wick à la française. Pas mal du tout. Contrairement aux deux 1ers films, le héros est ici plus humain, moins masculiniste, avec ses failles et plus d’aspérités. Par ailleurs, il est confronté à des problématiques actuelles comme les technologies vertes et innovantes tout en étant tourmenté par son passé. Tournage aux 4 coins du monde, - souvent dans des conditions extrêmes -, paysages à couper le souffle, rythme effréné, cascades dignes des grands modèles, il y a tout ce qu’il faut pour conquérir le grand public – malgré quelques scènes d’une grande violence -. Les deux volets précédents des aventures du plus célèbre des milliardaires ont réuni plus de 3 millions de spectateurs. Souhaitons la même réussite à ce moment de ciné classique mais sacrément bien fichu. Comme pour les deux précédents volets, Tomer Sisley a tenu à réaliser lui-même ses propres cascades, notamment pour la scène de la course poursuite au début du film, qui dure sept minutes. Tout ceci ne s’est pas fait sans plaie, sans bosse ni casse. James Franco, Clotilde Hesme, l’étonnante Elise Tiloloy, Narayan David Hecter, sont aussi de la partie. Cet opus n°3 remplit toutes les cases du bon film d’action et, suprême élégance, nous évite même la bluette sexy et convenue inhérente aux productions de ce type. Un divertissement haut de gamme mené tambour battant. Recommandable.
J'ai trop aimé le film du début jusqu'à la fin . J'espère juste que son fils NOOM va se souvenir qui est son vrai père et qu'elle été le but de son père .☺️La bourge et sa richesse.☺️
Bon film que ce troisième volet du fameux héros de BD qui même s'il ne révolutionnera pas le Genre , la réalisation séduit grâce à des scènes d’action bien orchestrées et "un" Tomer Sisley toujours aussi investi dans son personnage ! Suite nécessairement il y aura !
Il est difficile de savoir quoi penser du troisième volet des aventures de Largo Winch au cinéma, tant le film se complaît dans des représentations datées de la virilité propres au cinéma d’action des années 80 et 90 : gros plans incessants sur la musculature, opposition manichéenne entre deux hommes dont l’un est d’ailleurs insensible à la douleur, bourres-pifs à tire-larigot et fétichisation du corps masculin en action, qu’il soit en réunion de direction ou perdu dans la jungle. Nous sommes loin de la bande dessinée de même nom, et de la réflexion menée sur les relations tumultueuses entre économie de marché et humanité ; en lieu et place Winch joue à l’agent secret, empruntant la descente en luge improvisée à The Living Daylights (John Glen, 1987), avec son violoncelle mémorable. Le réalisateur belge Olivier Masset-Depasse maintient un état d’alerte permanent, ce qui assure un dynamisme d’ensemble tout en empêchant les situations de se poser : nous sautons d’un lieu à un autre, des bureaux froids aux forêts thaïlandaises sans transitions et en quelques minutes à peine. La vitesse conduit à la précipitation, impression renforcée par l’indigence des dialogues. Comment espérer toucher le cœur du spectateur et ainsi retranscrire les enjeux du combat intérieur mené par notre héros ? Seule l’influenceuse québécoise apporte un tant soit peu de légèreté et d’actualité – truchement des réseaux sociaux – à une production sinon simpliste et impersonnelle, mais dotée d’une certaine efficacité.
Rien d’exceptionnel mais pas de grosse fausse note non plus. Le scénario est plutôt cohérent, l’action dans la tradition du genre. Le couple formé par Largo et la jeune blogueuse est assez rafraîchissant et offre la seule touche d’originalité.
Sisley et Franco devaient vraiment avoir besoin de bosser car des la lecture du scénario il était évident que le film serait une catastrophe ou alors ils espéraient un magicien de la réalisation mais c est complètement raté car si les scènes d action sont correctes la mise en scène est inexistante. On ne parlera pas des seconds rôles (il ne devait plus y avoir de budget) bref même si ils donnent tout impossible de s en sortir avec autant d embûches, spoil la suite espérée n aura jamais lieu
Un bon petit Largo qui, de mémoire est meilleur que le 2e opus. Le rythme est assez soutenu et surtout cela par vite. Moins de 10mn et hop on donne le ton. Même si parfois c'est tiré par les cheveux, le fait d'avoir non seulement cette conspiration qui vient de deux endroits, côté visible avec le méchant joué par un James Franco simple mais efficace et de l'autre le côté de l'ombre et les machinations financières. Sisley reste plutôt convainquant dans les scènes de baston et on passe un bon moment dans l'ensemble. Au vu de la fin, une suite est possible selon le succès du film. NOTE : 6/10
J'ai apprécié le 1er, mais, là, j'ai été déçue malgré de très bonnes Cascades, pas de substance dans le sujet. Un bon moment mais loin de l'esprit Largo Winch