Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Positif
par Franck Garbarz
Filmé dans des teintes hivernales, où percent quelques taches rouge sang, "Araf" mérite largement le détour.
Première
par Vanina Arrighi de Casanova
Prisonniers de quotidiens misérables et de carcans familiaux, privés de perspectives, les héros d’Araf (« limbes » en turc) expriment tout bas et avec beaucoup de sensibilité le désarroi de la jeunesse turque issue des classes populaires.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Fiches du Cinéma
par Grégory Auzou
Drame désespérément sombre et tragique, galcial et intimiste, “Araf” - formellement réussi - séduit autant qu'il agace.
Libération
par Julien Gester
Or, si le film démontre, malgré la complaisance de ses langueurs et du tremblé de sa caméra portée, un réel sens plastique, ses manières affectées achèvent vite de l'enliser là même où son titre le destinait, dans les désespérantes limbes académiques du middle of the road.
Télérama
par Pierre Murat
La réalisatrice Yesim Ustaoglu observe, d'abord avec lyrisme, puis avec un réalisme exacerbé, (...). Touchant, mais déjà vu...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Mathieu Macheret
La cinéaste Yesim Ustaoglu, qui signe ici son sixième film, s'embourbe dans une morosité littérale et sans perspective.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
Filmé dans des teintes hivernales, où percent quelques taches rouge sang, "Araf" mérite largement le détour.
Première
Prisonniers de quotidiens misérables et de carcans familiaux, privés de perspectives, les héros d’Araf (« limbes » en turc) expriment tout bas et avec beaucoup de sensibilité le désarroi de la jeunesse turque issue des classes populaires.
Les Fiches du Cinéma
Drame désespérément sombre et tragique, galcial et intimiste, “Araf” - formellement réussi - séduit autant qu'il agace.
Libération
Or, si le film démontre, malgré la complaisance de ses langueurs et du tremblé de sa caméra portée, un réel sens plastique, ses manières affectées achèvent vite de l'enliser là même où son titre le destinait, dans les désespérantes limbes académiques du middle of the road.
Télérama
La réalisatrice Yesim Ustaoglu observe, d'abord avec lyrisme, puis avec un réalisme exacerbé, (...). Touchant, mais déjà vu...
Le Monde
La cinéaste Yesim Ustaoglu, qui signe ici son sixième film, s'embourbe dans une morosité littérale et sans perspective.