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    May In The Summer
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    islander29
    islander29

    860 abonnés 2 354 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mai 2014
    Le film se passe en Jordanie, c'est un des points intéressants, car on a le droit à un final de toute beauté dans le désert du Wadi Rum (les connaisseurs apprécieront, on est pas très loin de Petra)...
    Pour le reste le scénario est un peu paresseux, mais pas les dialogues dans le seconde partie, d'ailleurs le film commence avec de très belles filles (sorties presque de amour, gloire et beauté) dans une ambiance un peu paillettes et des cadrages sans beaucoup de charme ....
    Et pourtant, plus le film avance , plus on est convaincu par le discours de la réalisatrice, par la beauté des extérieurs (trop rares malheureusement) et par la sincérité des personnages lors de la nuit d'enterrement de la vie de jeune fille.....(la fin est meilleure que le début de toute évidence)
    Il manque pourtant quelque chose d'indéfinissable, une engagement philosophique sur la question du mariage religieux, (elle est venue se marier à Amman) une profondeur d'analyse......
    Cela se laisse voir avec plaisir, mais on pourra regretter peut être ce manque de profondeur autant dans le fond que la forme......Pas mal.....
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 18 mai 2014
    Je n'ai jamais pu voir Amerrika, le premier film de Cherien Dabis, alors qu'il avait eu de superbes échos lors de sa sortie en 2009.

    C'était une oeuvre tournée aux Etats Unis où la cinéaste est née, après que ses parents d'origine jordanienne s'y soient installés, grandissant entre deux cultures. Je me souviens notamment que pas mal de journalistes américains et même français l'avaient classé dans les dix réalisateurs à suivre et son film dans les dix meilleurs de l'année.

    Du coup, je n'ai pas voulu refaire le même coup avec le second film de Cherien Dabis, sorti le 7 mai dernier ( encore un film sorti le 7 mai que j'ai vu et dont j'ai intéret à en parler avant qu'ils ne disparaissent des salles une fois que le festival de Cannes ne se termine et n'efface toutes ses sorties d'un coup), "May in the summer", là encore, une oeuvre très fortement autobiographique.

    Dans ce nouveau film, tourné cette fois en Jordanie, elle ne fait pas que mettre en scène son histoire : en plus d'être réalisatrice et productrice, elle incarne également le rôle titre de May, et l'on s'aperçoit qu'en plus d'être très talentueuse, elle a un charme assez incroyable dans ce rôle de fille partagée entre deux mondes, deux cultures.
    Installée à New York, May a entamé avec succès une carrière d’écrivain, a rencontré un homme qu’elle aime et s’apprête à l’épouser. Seul problème: elle est jordanienne mais chrétienne de confession, il est musulman. Lorsqu’elle décide, au tout début du film, de revenir au pays auprès de sa mère très pratiquante, son père, qui a toujours été absent de sa vie, et ses deux soeurs modernes, May va se retrouver obligée, par la force des choses, à prendre de grandes décisions sur sa vie...

    L'histoire n'est pas follement originale (le pitch m'a notamment fait beaucoup penser à ce film anglais Un Mariage Inoubliable) et le scénario est un peu cousu de fil blanc, notamment avec cette histoire de parents divorcés qui ont de nouveau une liaison et le cachent à leurs filles). Mais qu'importe, j'ai aimé le regard plein de tendresse et de chaleur que porte la réalisatrice sur cette famille prise entre deux cultures parfois antagonistes.

    Et surtout, moi qui connait très mal la Jordanie, ce long métrage nous fait découvrir de belle façon cette ville d’Amman, la beauté des paysages de Jordanie, et cette société jordanienne où la religion est très importante, entre catholiques et musulmans. Et une société pas forcément très tolérante dès qu'il s'agit de croyances et de mœurs (une des sœur cadette de l'héroine préfère rester discrète que possible sur ses inclinaisons sexuelles).

    Bref, un film qui est plus intéressant sur son aspect sociétal que sur son aspect comédie des moeurs ( pour ne pas dire vaudevilesque) et qui vaut surtout pour l'abbatage et le charisme incroyable de son actrice réalisatrice Cherien Dabis dont je suivrais la suite de la carrière avec une vraie curiosité. Et, du coup, même si je ne vois pas tous les films qui sortent, il est probable que je ne rate pas le prochain film de Cherien Dabis qui sortira dans nos salles.
    ninilechat
    ninilechat

    71 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mai 2014
    La réalisatrice Cherien Dabis fait tourner l'actrice Cherien Dabis. Voilà qui est économique. Et puis, elle est jolie, et elle sait se mettre en valeur.... Pour redevenir sérieux, cette jeune femme a du talent, et des choses à raconter. Américano -palestinienne (vous imaginez le grand écart!), elle nous parle de ses racines, de nos racines, et c'est bien intéressant, même si pour May in the Summer, son propos aurait gagné à être plus resserré, plus recentré. Vous vous souvenez d'Amerikka: le rêve américain d'une palestinienne coincée dans les territoires occupés.

    Ici, l'héroïne et ses deux sœurs sont de vraies américano-palestiniennes, puisqu'elles sont nées de la grande passion entre leur mère Nadine, une chrétienne (notre chère Hiam Abbas, toujours là lorsque l'on parle de Palestine) et un américain, Edward (Bill Pullman). Mais Edward était volage (et Nadine, probablement assez emmerdante). Après s'être jeté beaucoup d'assiettes à la tête, le couple a divorcé. Edward s'est remarié avec une jeunesse, une ravissante indienne, mais pour Nadine, qui ne reconnait pas le divorce, les choses ne sont pas si simples. Nadine est bigote; comme de plus elle est évangéliste, c'est de la bigoterie militante mais aucune des trois filles n'est pratiquante, ni même croyante. Comme cela se passe dans beaucoup de famille chez nous, quoi!

    May vit aux Etats Unis. Elle est universitaire, brillante, elle a écrit un premier livre -sur les proverbes- qui a eu du succès. Et elle est fiancée; Ziad (Alexander Siddig) est lui aussi universitaire, économiste reconnu, et sa famille vit à Amman, comme Nadine. Le couple rentre donc en Jordanie pour se marier (d'abord May, Ziad a encore des cours à assurer) -faire un grand mariage traditionnel. Ziad n'est pas plus croyant que May, mais lui vient d'une famille musulmane, et ça suffit pour consterner le milieu chrétien. "Que tu le veuilles ou non, tes enfants seront musulmans, et si vous divorcez, tu n'auras aucun droit sur eux", lui assène t-on.

    May retrouve sa famille, quatre femmes sous le même toit, ça passe son temps à se houspiller et remâcher de vieilles histoires. Nadine est aigrie; elle n'assistera pas au mariage; et pour les deux petites sœurs, ce n'est pas la joie. Jasmine (Nadine Malouf) a perdu son travail; la petite sœur, Dalia (Alia Shawkat), est un tomboy grincheux, systématiquement hostile à tout. Peut être bien est elle lesbienne, au fond. May s'occupe des préparatifs du mariage -robe, déco.....- avec sa future belle mère, qui n'a pas l'air plus gênée que ça de voir son fils épouser une chrétienne athée. C'est cela qui est très intéressant, dans la description de ce milieu: à la fois (comme au Liban), une grande tolérance des uns pour les autres -et en même temps, des frontières hermétiques entre les deux confessions.

    Les filles, bien remontées, revoient leur père (celui qui les a abandonnées) et sa nouvelle compagne. Force est, pour May, de constater qu'une relecture unilatérale d'une histoire familiale n'est pas nécessairement la meilleure...

    May est une vraie américaine. Elle fait son footing en short et quand elle subit les propos salaces de jeunes arabes, elle court après leur voiture, tape dans la carrosserie "Espèces de crétins, vous n'avez jamais vu de jambes?". Et en même temps, en retrouvant son terreau, elle perd tous ses repères. Que veut elle vraiment? Epouser Ziad, être dans un pays étranger un couple de brillants universitaires, devenir un écrivain célèbre? En quittant les Etats Unis, elle était sûre de vouloir cela. En Jordanie, elle ne sait plus....

    Elle passe une nuit, accompagnée d'un ami, dans un endroit totalement sublime. Je ne sais pas si c'est le Wadi Rum, mais ça ressemble. Des formations rocheuses sauvages au milieu d'un sable rouge. Quelques dromadaires pour seule vie.... De ces lieux qui font renaître l'essentiel d'un être.

    Ce qui va vous surprendre, c'est qu'à Amman il y a des bars où des jeunes filles minijupées peuvent s'asseoir pour commander un whisky. Des plages sur la mer Morte (les sœurs l'ont emmenée "enterrer sa vie de jeune fille") où on prend un bain de soleil en itsi-bitsi tout petit bikini. Gavés de photos des pays du Golfe les plus rétrogrades, on a oublié qu'il y a -mais pour combien de temps?- des pays du Moyen Orient "normaux", où la censure islamique n'a pas encore jeté sa chape de plomb. Gavé des déclarations du Hammas, on a perdu de vue les vrais palestiniens..

    Sociologiquement passionnant, le film souffre malheureusement de sa trame romanesque un peu trop lâche. Mais il est à voir. Vous ne le regretterez pas.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 11 mai 2014
    Un film intéressant qui nous livre peu à peu son intrigue. May, une jeune femme de père américain et de mère jordanienne, et habitant à New-York, revient à Amman pour son mariage qui doit avoir lieu quelques jours (ou semaines ?) plus tard. May, qui est très occidentalisée, appartient de plus à une famille chrétienne (ce qui est assez marginal en Jordanie). Son futur mari, Ziad, professeur à l'Université de Columbia à New-York, est musulman ("non pratiquant") : il doit la rejoindre un peu plus tard. Il est clair que la perspective de ce mariage interconfessionnel est iconoclaste et Nadine, la mère de May et de ses sœurs Dalia et Yasmine, ne l'approuve guère. Mais ce séjour "auprès de ses racines" va être l'occasion pour May de réfléchir sur elle-même, sur son avenir et sa place de femme à la croisée de chemins multiculturels. C'est donc une chronique pleine de petits épisodes contrastés qui nous est présentée ici, parfois drôles, mais souvent graves, voire profonds. May en est le premier personnage, mais on découvre peu à peu que les autres protagonistes du film, sa mère, son père et ses sœurs, ont eux aussi des parcours pas toujours lisses et faciles. Il n'y a pas vraiment de conclusion et on ne sait pas trop à la fin ce qui va se passer pour eux tous, bien qu'on puisse quand même un peu l'imaginer. Les paysages jordaniens, en particulier ceux du désert, sont magnifiquement filmés. Je regrette toutefois le rythme un peu trop lent et lassant de ce film qui aurait mérité d'être un peu plus relevé.
    traversay1
    traversay1

    3 568 abonnés 4 860 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juin 2014
    Un regard féminin sur le monde arabe, pour changer. Celui d'une américano-jordanienne qui nous montre une capitale du Moyen-Orient, Amman en l'occurrence, telle qu'on ne l'a jamais vue. Chronique familiale, celle de trois soeurs de retour pour un temps d'Amérique et de leur mère, chrétienne en terre jordanienne, May in the Summer est aussi et peut-être avant tout un film identitaire. A travers la quête d'un équilibre, religieux, amoureux ou professionnel. Cherien Dabis, réalisatrice, mais aussi magnifique interprète, a le bon goût de traiter son sujet sans pesanteur avec de l'humour, une ironie parfois grinçante (l'hypocrisie des hommes) et une grande tendresse pour ses personnages. Hiam Abbass est une fois de plus formidable mais c'est le contraire qui aurait été surprenant. Si on peut reprocher au film de ne pas approfondir ses thèmes, il a cependant le don de toucher au coeur autant qu'à l'intelligence.
    Jmartine
    Jmartine

    167 abonnés 673 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mai 2014
    Un film jordanien, un film de femmes, sur des femmes, réalisé par Cherien Dabis, qui joue le rôle principal, avec un charme fou et une beauté lumineuse...femmes au bord de la crise de nerfs ( parfois) desesperate wife aussi...on découvre Amman, tassée sur la colline et écrasée par le soleil...on entrevoit la Mer Morte, le désert...ces femmes sont écartelées entre plusieurs mondes puisque exilées aux Etats Unis...on partage les doutes de May au sujet de ce mariage...on est loin des camps de réfugiés car le fiancé palestinien est lui aussi d'un milieu aisé...on aborde le métissage, la religion, le couple, le couple, la tolérance....on croit comprendre que l'une des soeurs serait sur le point d'avouer son homosexualité...on y dépeint une Jordanie qui essaye de concilier tradition et modernité. Mais les regards concupiscents des hommes sur May qui fait innocemment son jogging témoignent que du chemin reste à faire. J'ai bien aimé cette chronique familiale douce-amère et ces beaux portraits de femmes
    Myene
    Myene

    18 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 mai 2014
    Je craignais un peu la complaisance de l'auto fiction et merci... on y échappe Autocentré le film évite cependant la trop grande complaisance avec intelligence et ouverture à la vie des autres Si la réalisatrice continue dans cette voie généreuse elle nous concoctera je pense un futur opus original et attachant
    ffred
    ffred

    1 695 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mai 2014
    En 2009, Cherien Dabis se révélait avec un très joli film : Amerrika. Elle revient aujourd'hui avec ce May in the summer où elle est devant et derrière la caméra (également scénariste et productrice). Un deuxième film moins fort et moins profond que le premier mais qui n'est pas dénué d'un certain charme. C'est aussi beaucoup plus léger, beaucoup plus...
    velocio
    velocio

    1 300 abonnés 3 134 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 juin 2014
    Cherien Dabis n'a pas perdu toutes les qualités qui avaient fait d'"Amerikka" un véritable petit bijou. "May In The Summer", toutefois, n'est pas au même niveau d'excellence qu'"Amerikka", même si la réalisatrice se révèle très bonne comédienne en interprétant le rôle principal, même si Hiam Abbass est, comme d'habitude, très convaincante.
    Thierry M
    Thierry M

    159 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mai 2014
    Bravo , du bon cinema , drole et emouvant , tres subtile.
    Ciné2909
    Ciné2909

    69 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 juillet 2014
    Pour son second film, la réalisatrice Cherien Dabis (qui tient aussi le premier rôle) aborde la question du mariage entre deux personnes de cultures différentes. Derrière des allures sérieuses, May in the summer cache en fait une comédie dramatique qui fait son effet. May est un personnage attachante et délicieuse mais c’est aussi le trio qu’elle forme avec Alia Shawkat & Nadine Malouf qui donne au film toute sa saveur. On trouvera juste à redire sur certains personnages secondaires qui apparaissent un peu trop superficiels (la sœur Yasmine ou encore la belle mère) sans ça on passe un bon moment malgré une histoire finalement assez banale.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 6 mai 2014
    A sa façon, la réalisatrice dit beaucoup d’un monde arabe plein de contradictions et de mutations, notamment sur la question de la place et du rôle des femmes. Mais à force de tout vouloir montrer, son scénario et son propos finissent par un peu trop s’effilocher. C’est correct mais pas transcendant…
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 mai 2014
    Cette chronique sentimentale et familiale parle du choc des cultures sur un ton qui sonne juste. Cherien Dabis aborde avec talent le sujet du choc émotionnel lié au développement personnel entre deux cultures, d'autant plus dur qu'ici l'ombre du retour à un pays disparu, la Palestine, ajoute de la densité au dit choc. Les situations, souvent drôles et tendres en les trois soeurs, viennent désamorcer le mal-être de May, une femme en quête d'elle-même. Ma est le roc sur lequel sa famille repose, et doit faire face a sa propre vulnérabilité pour se retrouver, se comprendre, et savoir ce qu'elle recherche et désire vraiment. Ce faisant, elle montre une grande ouverture, une tendresse pour son monde, et sa famille pas toujours facile à vivre. Ce film encourage à accepter ses failles et celles des autres pour renforcer notre boussole souvent perturbée par notre environnement. Il est un essai de montrer la vulnérabilité en tant que force. A vous d'aller voir si cet essai est réussi.
    Loïck G.
    Loïck G.

    335 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 mai 2014
    Alors que les sujets affleurent dans cette comédie qui annonçait bien des surprises, on en ressort très déçu. Le casting mené par une actrice réalisatrice qui m’avait particulièrement scotché dans Amerikka est lui aussi flatteur (Hiam Abbass, est toujours un gage). Mais rien n’y fait, on tourne en rond, dans cette région où la situation géopolitique aurait pu servir de ferment. On lui préfère des sentiments mièvres
    Pour en savoir plus
    Daniel C.
    Daniel C.

    145 abonnés 721 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 juin 2014
    J'ai aimé ce film pour la réplique "Y avait pas autant de Ninjas avant" et le "Les appelle pas comme ça" en retour. Cette phrase prononcée par une femme émancipée, qui porte un regard critique sur les femmes enveloppées dans leurs voiles présente avec l'impertinence tolérable de la bouche d'une de ses congénères, combien cette manière de se vêtir est violente lorsqu'on en est le spectateur. Alors, oui, je peux aussi me représenter que les tenues provocantes d'autres femmes puisse aussi faire violence.
    Je suis triste que l'émancipation des femmes soit ainsi remise en question par le simple aspect vestimentaire. Dans le métro parisien, j'ai souvent envie de dire "mais pourquoi vous cacher ? Pourquoi vous enlaidir?"
    Ce film, au travers d'une simple réplique, se fait mon porte-parole de ma perplexité face aux intégrismes (ici l'islam, mais cela vaut pour tous les insignes, dès lors qu'ils uniformisent).
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