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Votre avis sur Malavita ?
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Lu34s
Nouveau film pour Luc Besson qui revient à la réalisation après The Lady. Et l'on peut dire que Besson continue sa chute aux enfers puisque cette nouvelle production s'avère bien décevante, ce qui n'en devient plus du tout étonnant à la longue. Notre bon ami français met en scène ici trois grandes stars hollywoodiennes à savoir Robert de Niro, Michelle Pfeiffer et Tommy Lee Jones dans cette sorte de comédie mafieuse totalement à côté de la plaque. En effet, on suit la famille Blake qui s'installe en Normandie pour fuir la mafia et ainsi pouvoir vivre une vie normale. Une vie tellement banale qu'il ne se passe vraiment rien à part que la mère va faire les courses, les enfants vont à l'école et le père règle des problèmes de tuyauterie. De plus, le film accumule certaines incohérences assez dérangeantes tel que ces français qui parlent anglais (logique suprême) ainsi que des clichés ultra prévisibles. Le scénario est quasi inexistant et la fin très décevante. Malavita est donc une autre production et réalisation Besson foireuse avec aucun scénario malgré un bon casting qui en vaut la peine. On se demande quand même pourquoi Martin Scorsese en est le producteur exécutif. Nous tout ce qu'on veut c'est le Besson d'antan.
Oh punaise ! Je viens de voir mon premier Luc Besson au cinéma, et je dois dire que ça fait un choc. Bilan des courses ? Et ben ça ne s'arrange pas son cas. Il y a bien sûr un côté exotique à voir ces super-stars (Robert DeNiro, Tommy Lee Jones, Michelle Pfeiffer, tout ce beau monde a déjà un CV long comme le bras) se promener dans notre beau pays, qui plus est en Normandie, pas forcément la région la plus exploitée au cinéma. Mais de cette once de bonne idée (déjà vue dans "In Bruges"... et même traitée, il y a des réalisateurs qui tentent des trucs j'vous dis pas), Luc Besson n'en fait rien naturellement, il filme son décor provençal sans aucun signe d'attachement et échoue complètement à planter son décor (c'est qu'il prend son temps pourtant). Pour ce qui est de la populace locale, c'est que du français moyen (fallait s'en douter, les normands n'allaient pas être moins beaufs que les marseillais chez Besson), tout juste bon à se faire fracasser la tête par des américains, et ceux-ci sont dans leur bon droit, parce-que les américains, eh ben y sont cools, et les français, ben y sont juste chiants et cons. A noter que le français façon Besson constitue aussi un bon moyen pour augmenter artificiellement le killcount des méchants (qui sont décidément toujours aussi malpolis, pas fichus de dire bonjour avant de vous coller une balle entre les deux yeux). Non content d'être un petit jeu de massacre en famille s'il vous plaît (famille américaine blablabla), le film ne manque pas non plus de nous offrir sa petite amourette, ce coup-ci entre la fille de DeNiro et un prof. de maths pas très farouche, avec des larmes en plus (à l'écran hein, côté spectateurs c'est plutôt activité roupillon, car c'est looooonnnnng). Pour sauver l'honneur (de DeNiro), on a quand même droit à une référence cinéphilique (pas trop dure) qui fait presque mouche. Ça s'appelle "Malavita", je ne pense pas vous gâcher le film en vous disant que c'est le nom du chien de la petite famille. Chien du reste que l'on doit apercevoir 5 ou 6 fois dans le film et qui n'apporte rien à l'intrigue. Vu l'inconsistance de l'intrigue, pourquoi pas cela dit... ça aurait aussi bien pu s'appeler "steak haché" (y en a dans le film, ça marche aussi je vous dis) ou encore "le vent qui joue avec la porte des vécés" (y a aussi beaucoup de vent, mais pas de vécé, mince ça ne marche pas !). Bon soit, "Malavita" au départ c'est le nom du bouquin dont est censé être adapté le film. Ben ça m'a pas trop donné envie de le lire.
Luc Besson qui faisait avant des films de qualités (Le Cinquième Elément et Le Grand Bleu) se ramasse complètement avec Malavita. Le film raconte l'histoire de Fred Blake (Robert De Niro) qui s'installe en Normandie avec sa femme (Michelle Pfeiffer) et ses deux enfants afin d'échapper à la mafia New-yorkaise, eux même étant des repentis. Si l'intrigue n'est pas nouvelle, Luc Besson n'apporte rien de nouveau et se contente de nous balancer des clichés avec un paradoxe détestable : des français qui parlent anglais (chose inexcusable au cinéma depuis Inglourious Basterds). Les acteurs jouent bien, mais c'est la médiocrité du scénario qui fait que ce film est raté.
Affligeant, consternant, déprimant de nullité, aucun rythme... Je pourrais continuer des heures à démonter ce film qui se moque du spectateur, qui se moque du cinéma... C'est du foutage de gueule. C'est moche, c'est mal jouée, il ne se passe rien, ma musique est hideuse et trop forte. Besson a vraiment tapé fort. De Niro est ridicule, Pfeiffer inexistante, les deux gamins sont nuls, les personnages sont débiles.
Au secours. Pauvre Benacquista
Au secours. Pauvre Benacquista
Avec une aussi bonne brochette d'acteurs, on pouvait s'attendre à un film à la hauteur. Eh bien, c'est raté, Besson nous démontre tout ce qu'il faut orchestré pour faire fuir les spectateurs. Ainsi on découvre une histoire d'une platitude sans nom, qui est tirée et triturée dans tous les sens pour tenir les 1 h 50, une famille américaine en total inadéquation et des mafieux abrutis qui tirent sur tout ce qui bouge. Besson pousse le vice a truffé son film de clichés ringards sur la normandie, tout en présentant l'Amérique comme le nouvel eldorado . Il arrive même, à rendre De Niro mauvais. Les textes sont bâclés et on décroche rapidement de ce mauvais creuset, pour entrer dans un repos bien mérité, où les yeux usés par une Vost mal maîtrisée se ferment naturellement. Un bon gros navet, dont Besson à seul le secret.
Luc Besson me déçoit une nouvelle fois en tant que réalisateur. Ce Malavita, qui se veut une sorte d’hommage décalé aux films de mafia tourne à vide et est même gênant par moments. Presque rien ne fonctionne dans ce long-métrage…
Robert De Niro et Michelle Pfeiffer, en anciens mafiosos, qui n'ont pas perdu leurs vieux réflexes, lâchés avec leurs enfants, qui n'ont pas manqué d'acquérir bien sûr quelques-uns de ces vieux réflexes, en pleine Normandie, c'est vraiment peu habituel et ça annonce quelque chose d'assez jouissif.
On se dit donc très naïvement que ça a beau être Luc Besson qui est derrière la caméra, faute d'avoir quelque chose de grandiose on aura au moins un divertissement sans prise de tête qui fait passer un bon moment. Ce serait oublier le talent de Besson pour écrire des scénarios qui accumulent de manière spectaculaire les lourdeurs et les incohérences assaisonnés d'une réalisation bien bourrine.
Bref aucune intrigue, personnages absolument pas creusés qu'on finit très vite pas s'en désintéresser, comme pour tout le reste d'ailleurs.
Difficile aussi de passer à côté d'une vision des français, très stéréotypée pour ne pas dire très méprisante, et qui chose incroyable parlent pourtant tous très bien anglais (alors que les français font parties des plus mauvais pour ce qui est des langues étrangères !!!) ; vision qui sera pardonnable de la part d'un américain mais d'un français c'est très embarrassant.
J'ai encore sous-estimé la capacité de Luc Besson a réaliser des navets, et là encore j'ai eu tort.
Allez un petit point positif pour la route, Dianna Agron, que je ne connaissais pas jusqu'ici (oui, je n'ai jamais regardé "Glee" !!!), est très canon.
On se dit donc très naïvement que ça a beau être Luc Besson qui est derrière la caméra, faute d'avoir quelque chose de grandiose on aura au moins un divertissement sans prise de tête qui fait passer un bon moment. Ce serait oublier le talent de Besson pour écrire des scénarios qui accumulent de manière spectaculaire les lourdeurs et les incohérences assaisonnés d'une réalisation bien bourrine.
Bref aucune intrigue, personnages absolument pas creusés qu'on finit très vite pas s'en désintéresser, comme pour tout le reste d'ailleurs.
Difficile aussi de passer à côté d'une vision des français, très stéréotypée pour ne pas dire très méprisante, et qui chose incroyable parlent pourtant tous très bien anglais (alors que les français font parties des plus mauvais pour ce qui est des langues étrangères !!!) ; vision qui sera pardonnable de la part d'un américain mais d'un français c'est très embarrassant.
J'ai encore sous-estimé la capacité de Luc Besson a réaliser des navets, et là encore j'ai eu tort.
Allez un petit point positif pour la route, Dianna Agron, que je ne connaissais pas jusqu'ici (oui, je n'ai jamais regardé "Glee" !!!), est très canon.
darkvash
Bien longtemps que Luc Besson ne me fait plus rêver. Bien longtemps que De Niro ne me fait plus rêver. Michelle Pfeiffer ne m'a jamais fait rêver.
Réunir tout ce "beau" monde dans un film n'augurer pas du bon. Un scénario à la Besson, avec des flics incompetents, des français trés trés beauf, des situations tellement incroyables qu'elles en deviennent risibles et j'en passe et des meilleures...
Mr Besson continue dans sa médiocrité de films "Mac donald", et apparemment ça doit marcher puisqu'il en fait encore.
Perso il y a bien longtemps que je ne vais plus au cinéma pour ce "Monsieur", et je me dis que finalemment, quitte à regarder un navet, autant regarder un Vandamme qui même si ses films sont nuls, au moins il ne se prend pas au sérieux....
Réunir tout ce "beau" monde dans un film n'augurer pas du bon. Un scénario à la Besson, avec des flics incompetents, des français trés trés beauf, des situations tellement incroyables qu'elles en deviennent risibles et j'en passe et des meilleures...
Mr Besson continue dans sa médiocrité de films "Mac donald", et apparemment ça doit marcher puisqu'il en fait encore.
Perso il y a bien longtemps que je ne vais plus au cinéma pour ce "Monsieur", et je me dis que finalemment, quitte à regarder un navet, autant regarder un Vandamme qui même si ses films sont nuls, au moins il ne se prend pas au sérieux....
Dans l'ensemble, "Malavita" est un film bien plus grotesque que parodique.
Encore de l'argent bien mal dépenser et des moyens bien mal employés par Luc Besson.
Encore de l'argent bien mal dépenser et des moyens bien mal employés par Luc Besson.
J'ai adoré le livre autant que j'ai détesté le film. Luc Besson a trié le scénario original pour n'en garder que les scènes d'actions accompagnées de quelques clichés pesants - quand il n'a pas carrément modifié l'histoire (sans se soucier de gâcher totalement la psychologie des personnages). Du grand n'importe quoi et un beau gâchis.
Le bobo Luc Besson se permet de ridiculiser la France et les Français en les assimilant aux clichés les plus beaufs qui soient, le tout agrémenté d'un humour totalement convenu. Dommage pour les acteurs, qui malgré leur indéniable talent n'arrivent pas à émerger de cette bouillie boboïde. Le vrai coupable est Luc Besson, qui – après de véritables succès comme Subway, Le Grand Bleu, Nikita, Léon, Le Cinquième Élément ou Jeanne d'Arc –, a vu son talent complètement disparaître depuis le nouveau millénaire.
D'une nullité sans nom! avez-vous déjà vu l'ensemble d'un village de l'orne parler aussi bien anglais???
C'est cliché, nul et pas drôle! Enième comédie ratée où De Niro incarne un ex de la mafia! "Les affranchis" ou "Heat" ou "Casino" sont devenus des "MUST" et ce grâce en grande partie à lui, et s'il s'était arrêté là, il serait devenu une légende !!! Malavita, c'est une belle affiche, du marketing qui pue l'arnaque, et ce déjà même après avoir visionné la bande-annonce on comprend vite qu'on va avoir droit à de la soupe tiède aux dialogues attendus et à la trame linéaire. Je n'ai pas été surpris, je n'ai jamais ri, cette histoire ne tient pas debout, c'est tiré par les cheveux, çà n'a aucun sens, cela ne mène nulle part, aucune émotion ne s'en dégage, pas même l'envie de savoir ce qui va arriver à tous ces personnages stéréotypés et antipathiques. N'allez pas voir çà, c'est d'une bêtise abyssale.
Pff que dire..Gros ratage avec de l'humour anti français et pro mafia bien lourd comme Besson sait si bien faire..A éviter..
la cata !!! comment peut on porter ce film aux nues. c'est se foutre du monde!!! le titre ne vaut rien, l'histoire est archi nulle, la mise en scène inexistante et les acteurs (si grands soit-il) ridicules
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