Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Le mouvement, très beau et proprement stupéfiant du film, qui semble pourtant s’avancer à petits pas joueurs et à coups d’expérimentations volontiers déroutantes, consiste à renverser un mouvement de fuite et d’appel – partir – en un tourbillon des intérieurs, dont on sait qu’ils sont chez Resnais le prolongement vertigineux des têtes et des cœurs.
Critikat.com
par Pierre-Edouard Peillon
Comme dans "Vous n’avez encore rien vu", le hors-champ dans "Aimer, boire et chanter" suscite à maintes reprises un émerveillement chez les personnages, comme s’il s’agissait de prolonger le film au-delà de son cadre – au-delà de son plateau théâtral – et créer le spectacle d’un monde invisible.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Franck Nouchi
Resnais donne dans l'épure maximale. Et fait mouche comme rarement, sur des dialogues joliment ciselés par Jean-Marie Besset. Attention : film jubilatoire. La dernière pirouette d'un magicien du cinéma avant son adieu à la scène.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
(...) la vie de trois couples dans un vaudeville drôle, léger et réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marianne
par Danièle Heymann
Alain Resnais n'est plus là, mais son film, drôle et cruel, crépitant d'audaces formelles, tout vibrant de l'amour pour des acteurs fidèles, abat gaiement les frontières entre théâtre et cinéma (...).
Ouest France
par Pierre Fornerod
Entre jalousie et possession, on échappe à la routine convenue des sentiments pour retrouver dans un jeu de séduction, les vertus de la jeunesse.
20 Minutes
par Caroline Vié
Hommage au théatre, aux acteurs et, plus simplement, à la vie, cette comédie sur les chassés-croisés de couples joueurs donne des envies d'amours, de boissons et de chansons pour célébrer la mémoire d'Alain Resnais !
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Resnais détourne encore les codes du cinéma avec un entrain bourré d'énergie, d'autodérision, d'humour, et une bande de comédiens fidèles, pour un ultime tour de piste jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Jean Roy
Au soir de ses jours, Alain Resnais, aidé par ses collaborateurs qui vont de Dominique Bouilleret , à l'image, à Hervé de Luze, au montage, en passant par Mark Snow, à la musique, manie son nombre restreint de paramètres avec une virtuosité confondante.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
D’un argument de boulevard, Alain Resnais a composé une comédie subtile et drôle, merveille d’intelligence et d’esprit, servie par une distribution de rêve, avec des acteurs excitants dont le plaisir à jouer cette partition est visible et communicatif.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Christian Berger
Cette brillante fantaisie sera donc l'ultime opus d'Alain Resnais : comment mieux quitter la scène qu'avec un tel bijou d'humour, de créativité, de gravité aussi, et de désinvolture feinte ?
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Mélangeant vues aériennes, illustrations du dessinateur Blutch et décors en tissus déchirés où les comédiens semblent s’ébrouer, il (Resnais) les fait glisser, eux et leur jeu si précis, dans une zone indistincte où l’imagination du spectateur est en permanence sollicitée, où rien ne semble figé.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par Marilyne Letertre
Vif et malicieux, coloré et cartoonesque, "Aimer, boire et chanter" scintille d'élégance et d'intelligence. L'occasion pour les amateurs de voir Resnais renaître de ses cendres le temps d'une séance.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Philippe Rouyer
Alain Resnais (...) pousse toujours plus loin le jeu sur l'artifice et sur la désorientation du spectateur. Cet ultime pied de nez qui télescope la jeunesse et son devenir squelette crée une émotion d'une intensité particulière. Une émotion qui étreint tous les spectateurs, quel que soit leur âge.
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Comme à chaque fois, il élit une œuvre dont il n’a pas écrit une traître ligne et la métamorphose en film d’auteur, truffé de résonances intimes. Le couple est un théâtre, les herbes folles envahissent la garçonnière de Georges, les femmes gambergent, les hommes s’angoissent, l’amour tourne au mélo, la mort, au roman, et une taupe – nouvelle arrivée dans le bestiaire de Resnais – pointe le bout de son nez.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Samuel Douhaire
Le cinéaste, dans un des savoureux tours de passe-passe qu'il affectionne, ironise d'ailleurs sur sa passion de toujours pour les dispositifs théâtraux (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par François Leduc
Alain Resnais nous quitte, en nous laissant un film pétri d’inventivité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir le site de L'Express.
L'Obs
par Jérôme Garcin
(...) "Aimer, boire et chanter", film de studio un peu suranné, très surjoué et assez kitsch où la BD ajoute au théâtre, à susciter, tel l'agonisant George Riley, pourtant aimé de tous, autant d'enthousiasmes que d'exaspérations, de passion que d'ennui, de sourires que de larmes.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Les comédiens, vifs et legers, donnent a cette fantaisie un peu désuète de beaux éclats de bizarrerie.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Etrange de bout en bout, drôle ou émouvant, vif et amoureux de la vie jusqu'au bord du tombeau, cet ultime Resnais surprend avec ses artifices clinquants, décors, accessoires, mais aussi tirades d'acteurs, qui (...) trouvent une forme de vérité au carrefour du cinéma, de la radiophonie et du théâtre.
Libération
par Didier Péron
La rythmique des scènes est volontairement travaillée pour laisser un laps de temps incertain entre les mots d’auteur bien placés et le rire inaudible que les comédiens-personnages cherchent désespérément à provoquer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé 7 Jours
par Uriell Ceillier
Le dernier film d'Alain Resnais (...) le dispositif de sa mise en scène, entre théâtre et cinéma, s'essouffle. Le côté ludique s'estompe, malgré des acteurs excellents et des dialogues souvent drôles et mordants.
Première
par Damien Leblanc
Le réalisateur laisse ses acteurs se noyer dans un pur vaudeville, qui ne bénéficie cette fois d'aucune distance ludique. (...) Le programme épicurien du titre constitue alors un ultime mensonge, tant ce voyage au bout de l'ennui s'avère pénible.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Metro
par Mehdi Omaïs
Le spectateur, asphyxié par un minimalisme repoussant, se sentira exclu de ce rendez-vous intime. Reste une dernière séquence prémonitoire, touchante et qui boucle la boucle avec l'élégance du regretté maestro.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Cahiers du Cinéma
Le mouvement, très beau et proprement stupéfiant du film, qui semble pourtant s’avancer à petits pas joueurs et à coups d’expérimentations volontiers déroutantes, consiste à renverser un mouvement de fuite et d’appel – partir – en un tourbillon des intérieurs, dont on sait qu’ils sont chez Resnais le prolongement vertigineux des têtes et des cœurs.
Critikat.com
Comme dans "Vous n’avez encore rien vu", le hors-champ dans "Aimer, boire et chanter" suscite à maintes reprises un émerveillement chez les personnages, comme s’il s’agissait de prolonger le film au-delà de son cadre – au-delà de son plateau théâtral – et créer le spectacle d’un monde invisible.
Le Monde
Resnais donne dans l'épure maximale. Et fait mouche comme rarement, sur des dialogues joliment ciselés par Jean-Marie Besset. Attention : film jubilatoire. La dernière pirouette d'un magicien du cinéma avant son adieu à la scène.
Le Parisien
(...) la vie de trois couples dans un vaudeville drôle, léger et réjouissant.
Marianne
Alain Resnais n'est plus là, mais son film, drôle et cruel, crépitant d'audaces formelles, tout vibrant de l'amour pour des acteurs fidèles, abat gaiement les frontières entre théâtre et cinéma (...).
Ouest France
Entre jalousie et possession, on échappe à la routine convenue des sentiments pour retrouver dans un jeu de séduction, les vertus de la jeunesse.
20 Minutes
Hommage au théatre, aux acteurs et, plus simplement, à la vie, cette comédie sur les chassés-croisés de couples joueurs donne des envies d'amours, de boissons et de chansons pour célébrer la mémoire d'Alain Resnais !
Franceinfo Culture
Resnais détourne encore les codes du cinéma avec un entrain bourré d'énergie, d'autodérision, d'humour, et une bande de comédiens fidèles, pour un ultime tour de piste jubilatoire.
L'Humanité
Au soir de ses jours, Alain Resnais, aidé par ses collaborateurs qui vont de Dominique Bouilleret , à l'image, à Hervé de Luze, au montage, en passant par Mark Snow, à la musique, manie son nombre restreint de paramètres avec une virtuosité confondante.
La Croix
D’un argument de boulevard, Alain Resnais a composé une comédie subtile et drôle, merveille d’intelligence et d’esprit, servie par une distribution de rêve, avec des acteurs excitants dont le plaisir à jouer cette partition est visible et communicatif.
Les Fiches du Cinéma
Cette brillante fantaisie sera donc l'ultime opus d'Alain Resnais : comment mieux quitter la scène qu'avec un tel bijou d'humour, de créativité, de gravité aussi, et de désinvolture feinte ?
Les Inrockuptibles
Mélangeant vues aériennes, illustrations du dessinateur Blutch et décors en tissus déchirés où les comédiens semblent s’ébrouer, il (Resnais) les fait glisser, eux et leur jeu si précis, dans une zone indistincte où l’imagination du spectateur est en permanence sollicitée, où rien ne semble figé.
Metro
Vif et malicieux, coloré et cartoonesque, "Aimer, boire et chanter" scintille d'élégance et d'intelligence. L'occasion pour les amateurs de voir Resnais renaître de ses cendres le temps d'une séance.
Positif
Alain Resnais (...) pousse toujours plus loin le jeu sur l'artifice et sur la désorientation du spectateur. Cet ultime pied de nez qui télescope la jeunesse et son devenir squelette crée une émotion d'une intensité particulière. Une émotion qui étreint tous les spectateurs, quel que soit leur âge.
TéléCinéObs
Comme à chaque fois, il élit une œuvre dont il n’a pas écrit une traître ligne et la métamorphose en film d’auteur, truffé de résonances intimes. Le couple est un théâtre, les herbes folles envahissent la garçonnière de Georges, les femmes gambergent, les hommes s’angoissent, l’amour tourne au mélo, la mort, au roman, et une taupe – nouvelle arrivée dans le bestiaire de Resnais – pointe le bout de son nez.
Télérama
Le cinéaste, dans un des savoureux tours de passe-passe qu'il affectionne, ironise d'ailleurs sur sa passion de toujours pour les dispositifs théâtraux (...).
aVoir-aLire.com
Alain Resnais nous quitte, en nous laissant un film pétri d’inventivité.
L'Express
Voir le site de L'Express.
L'Obs
(...) "Aimer, boire et chanter", film de studio un peu suranné, très surjoué et assez kitsch où la BD ajoute au théâtre, à susciter, tel l'agonisant George Riley, pourtant aimé de tous, autant d'enthousiasmes que d'exaspérations, de passion que d'ennui, de sourires que de larmes.
Le Figaroscope
Les comédiens, vifs et legers, donnent a cette fantaisie un peu désuète de beaux éclats de bizarrerie.
Le Journal du Dimanche
Etrange de bout en bout, drôle ou émouvant, vif et amoureux de la vie jusqu'au bord du tombeau, cet ultime Resnais surprend avec ses artifices clinquants, décors, accessoires, mais aussi tirades d'acteurs, qui (...) trouvent une forme de vérité au carrefour du cinéma, de la radiophonie et du théâtre.
Libération
La rythmique des scènes est volontairement travaillée pour laisser un laps de temps incertain entre les mots d’auteur bien placés et le rire inaudible que les comédiens-personnages cherchent désespérément à provoquer.
Télé 7 Jours
Le dernier film d'Alain Resnais (...) le dispositif de sa mise en scène, entre théâtre et cinéma, s'essouffle. Le côté ludique s'estompe, malgré des acteurs excellents et des dialogues souvent drôles et mordants.
Première
Le réalisateur laisse ses acteurs se noyer dans un pur vaudeville, qui ne bénéficie cette fois d'aucune distance ludique. (...) Le programme épicurien du titre constitue alors un ultime mensonge, tant ce voyage au bout de l'ennui s'avère pénible.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Metro
Le spectateur, asphyxié par un minimalisme repoussant, se sentira exclu de ce rendez-vous intime. Reste une dernière séquence prémonitoire, touchante et qui boucle la boucle avec l'élégance du regretté maestro.