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    Je suis une légende
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    3,8
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    33 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 12 décembre 2024
    Le survival post apo nimbé de toute la peur induite par la force nucléaire une fois de plus traitée non sans une certaine classe.
    Roub E.
    Roub E.

    995 abonnés 5 024 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 février 2024
    La première adaptation du roman de Matheson est bien plus fidèle à l histoire d origine que la dernière en date avec Will Smith. Si le film a vieilli par beaucoup d aspects, les affrontement entre le docteur et les vampires peuvent aujourd’hui prêter à sourire, l interprétation paraît aujourd hui vieillotte, la trame et le sous texte du film eux sont toujours intéressants .
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 juin 2023
    Il faut juger par rapport à l'époque et faire fi de tout ce qui est ridicule: effets spéciaux qui se résument à un gros plan éclairé sur le visage expressif de Vincent Price, des vampires qui ressemblent à des morts vivants idiots et maladroits et mise en scène très théâtrale. On a même droit à la gousse d'ail et au pieu dans le coeur!
    Malgré cela c'est un excellent film qui ne vaudrait que pour les dernières minutes où la portée philosophique est sublime!
    chrischambers86
    chrischambers86

    14 040 abonnés 12 481 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 mai 2022
    La première et la plus satisfaisante adaptation du roman de Richard Matheson, parue dix ans auparavant! Bien que basè dans une ville amèricaine, le film est tournè en Italie avec une intro qui annonce vite la couleur : un monde mort, vide et silencieux! Des rues qui le sont tout autant! Et un dernier homme sur Terre qui se nomme Robert Morgan alias Vincent Price! Sa performance est certainement la principale raison de regarder "The Last Man on Earth" (1964). Un budget moyen et typique de l'èpoque, un grand sentiment de vide et de dèsolation, un rythme lent et le dèsespoir d'un grand acteur de l'èpouvante! Le film d'Ubaldo Ragona et Sidney Salkow mèrite pleinement le statut de classique culte même si une oeuvre mythique comme "Night of the Living Dead", ayant apparemment inspirè Romero, lui est supèrieure en terme d'ambiance oppressante, de trouvailles et de peur! Cela reste nèanmoins meilleur que "The Omega Man" (1970) et le surcotè "I am legend" (2007) avec Will Smith...
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 768 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 juin 2021
    Le jeu des acteurs n'était pas le problème de l'histoire c'est la motivation des personnages qui étaient le problème. Ce que Morgan le dernier homme sur Terre fait jour après jour tout au long des années ne se produirait jamais dans la vraie vie si sa situation était réelle. Price fixe intensément la caméra et ondule son front de temps en temps. Puis il va acheter de l'ail et il raconte au public qu'il est seul sur terre depuis trois ans. Mais qu'il entre dans un congélateur de l'épicerie locale rempli de viande vieille de trois ans sans avoir un seul haut-le-cœur est ridicule. Et personne de normal ne resterait au même endroit et ne ferait rien qui ne puisse pas révéler sa position aux vampires zombies c'est tout simplement risible...
    konika0
    konika0

    29 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 septembre 2020
    Price chez les zombies.
    De nos jours, on connaît forcément l’adaptation de ce roman par Francis Lawrence avec Will Smith, à tel point qu’on a oublié que d’autres versions existent et notamment celle-ci qui est la toute première. L’histoire pour rappel : Un virus ravage l’humanité et transforme tout le monde en zombies vampires neuneus nyctalopes. Un scientifique se retrouve seul survivant et lutte chaque nuit pour sa survie, entre déprime et débrouille. Je n’ai pas lu le roman donc il ne s’agit pas ici d’évoquer l’adaptation. De même, ce film étant très différent de celui de Lawrence, on évitera la comparaison. Le film met un petit moment à s’installer et on oscille entre flash-backs sur le déroulement de la catastrophe et retour au présent. Certaines scènes de ces flash-backs sont particulièrement fortes comme la cité qui se vide de ses habitants progressivement ou l’apparition d’immenses charniers à la périphérie de la ville. Du côté du présent, il faut bien admettre que les espèces de zombies impressionnent peu et on comprend que notre héros se réfugie dans l’alcool pour tromper l’ennui. En revanche, l’ambiance est elle tout à fait délicieuse. On met en marche le pick-up, on se sert un petit dark whisky et on contemple le décor de bricolage de cet intérieur surréaliste de maison de banlieue. Et puisqu’on parle du décor, c’est la véritable réussite du film. Les plans extérieurs sont réellement fabuleux par leur mise en scène baroque d’une part et par l’immensité du décor d’autre part. L’essentiel de ses plans ont été tournés à Rome, dans le quartier EUR commandé par Mussolini. Au delà de l’aspect glauque de cette information, ce décor est somptueux et donne tout son relief à la mise en scène extérieure. Splendide et hors du monde. Le regret dans tout ça viendra, une fois n’est pas coutume de Vincent Price. Qu’on soit clair, j’adore ce type mais là, ça ne va pas. Il n’est pas l’homme de la situation et semble toujours subir l’action qu’on lui donne à jouer (les scènes d’action en particulier). Le reste de ce casting international n’est pas beaucoup plus convaincant. En bref, un chouette film de SF qui, s’il n’est pas pleinement réussi, parviendra à inspirer à Romero sa Nuit des Morts-Vivants et glissera un petit hommage final au Freaks de Browning. De belles références en somme.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    164 abonnés 2 382 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 juillet 2020
    The Last Man on Earth est l'adaptation du roman de richard Matheson "Je suis une légende ", le titre français reprenant celui du roman. Cette version de 1964, italo-américaine, est la première version cinématographique, à laquelle succédera "Le Survivant (The Omega Man)" avec Charlton Heston en 1971 et le célèbre remake de 2007 " Je suis une légende (I am legend, 2007) de Francis Lawrence avec Will Smith. Un bon film de SF des années 60 en noir et blanc, qui aurait pu faire un bon épisode de la quatrième dimension. Une atmosphère particulière, assez minimaliste, avec un jeu d'acteur parfois déroutant, entre le sur-jeu théâtralisé et le sous-jeu. Des zombies dont on se demande si ils sont bien si dangereux que cela, une voix-off dont Vincent Price semble mimer le contenu et un doublage en VF au rendu assez étrange.
    Un scénario intéressant avec un dénouement fidèle au roman.
    Ce film méritait bien la version plus actualisée et augmentée de plus de moyens, de spectacle et d'action de 2007.
    The Last Man on Earth a incontestablement servi de source d'inspiration à de nombreux films du genre, qu'il s'agisse des films de zombies italiens ou de films plus récents comme "I am Omega" de 2007.
    Une première version de "Je suis une légende" à voir et à connaitre pour les amateurs du genre.
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    149 abonnés 3 107 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 avril 2020
    Première adaptation du roman Je suis une légende de Matheson de 1954 c'est à priori la plus fidèle quoiqu'elle ne le soit pas complètement mais au moins elle suis la logique du livre et l'on comprend pourquoi il est appelé une légende. En 1964 l'histoire donc n'est pas trop changé et assez bien interprétée par Vincent Price. Le film est en trois parties ce qui est bien pour la compréhension. Ce qui est dommage est que quitte à changer un peu la fin elle aurait pu être différente. C'est bien de la S.F. et non de l'horreur comme le seront la plupart des films qui suivront cette thématique. spoiler: Le virus a contaminé rapidement le monde appelé virus européen à un moment. Le héros est immunisé à son avis du fait qu'il avait été mordu par une chauve souris vampire affaiblie, cela ne s'invente pas.
    Henrico
    Henrico

    168 abonnés 1 337 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 janvier 2020
    Comparer les trois adaptations à l’écran du roman de Richard Matheson est d’autant plus intéressant que l’on peut voir dans chacun des trois films une préoccupation propre à une époque. Pour cela, il faut recentrer l’analyse sur le personnage féminin, qui sans être central, est essentiel, d’un point de vue dramatique. Quand Matheson publie « I am Legend », en 1954, on est en pleine guerre froide, et l’adaptation, assez fidèle du tandem Sidney Salkcow, Ubaldo Ragona, en semble encore bien imbibée. Le personnage de Ruth, espèce d’agent infiltré, a pour mission de séduire le héros et de le tuer. Cette mission reflète bien la peur collective d’une bonne partie des Américains contre les « Comies ». En effet, selon la croyance populaire aux Etats Unis à l'époque, plusieurs agents soviétiques, avaient été parfaitement conditionnés, pour se fondre à l'Ouest, partout, dans ses institutions, les arts ou les médias, et comme Ruth dans nos foyers, et ce, pour éliminer des cibles importantes. Cette phobie "rouge" a donné lieu à de nombreuses errances, mais on sait depuis plus d'une vingtaine d'année, après l'effondrement du bloc communiste, et l'ouverture des archives du KGB, que cette peur était loin d'être infondée. Même, avec des scènes un peu incongrues, cette adaptation est d’une grande qualité, portée surtout par l’exceptionnel talent de Vincent Price. La deuxième adaptation, en 71, « The Omega Man » de Boris Sagal, reflète énormément les soubresauts de la société Américaine face aux revendications des Afro-Américains en termes de droits civiques. La présence de l’actrice Afro-Américaine Rosalind Cash n’est pas fortuite. Les scènes d’amour entre Charlton Heston et elle, étaient un peu faite pour créer l’émoi social et médiatique, le « buzz », dirions-nous aujourd’hui. Un peu à l’instar des réalisateurs qui ont fait tourner à l'époque Sydney Poitiers. Sauf que Sagal n’est, hélas, pas Norman Jewison, et la musique qu’il choisit, les scènes d’action, ainsi que les monologues qu’il met en scène, sont hyper lourds. Tout cela fait que cette version est assez pénible, et a bien plus vieilli que « The Last Man… » , pourtant en noir et blanc. La Troisième adaptation, en 2008 de Francis Laurence, « I Am Legend » reflète d’autres préoccupations. Notamment la polémique concernant l’afflux toujours plus massif, sur le sol Américain, d’immigrés venus non plus seulement du Mexique, mais aussi d’autres pays d’Amérique Latine. Le choix d’Alice Braga, cette actrice Brésilienne, mais au look et à l’accent latino, n’est évidemment pas fortuit. Prenant totalement le contrepied de Matheson, Laurence choisit un scénario, où le personnage amène le danger, mais va surtout avoir une fonction salvatrice collective. Ne peut-on pas voir dans ces choix un message sous-jacent de Laurence ? Un message que porte Hollywood, depuis deux ou trois décennies : « l’immigration n’est certainement pas une fatalité, mais sûrement une chance ». Il n’est pas anodin non plus que les scènes d’action soient ultra spectaculaires, et qu’on ait choisi un acteur issu du spectacle, du showbiz, un ex « comedian », pour incarner Neville. Si Will Smith est peu crédible en scientifique, et que ses habituels cabotinages, à juste raison, en crispent beaucoup, l’acteur, dans roulant à tombeau ouvert, dans sa Mustang rutilante, reflète à merveille l’obsession de ce début de siècle qui veut que tout soit spectacle.
    mister
    mister

    20 abonnés 202 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 septembre 2019
    Avant "Le survivant" (Omega man 1971) avec Charlton Eston et "La nuit des morts vivants" de Romero (1968), il y a eu "The last man on the earth" (1964) avec Vincent Price. Vincent Price est un acteur de theatre dont le jeu est en emphase et largement surané, même si l'acteur ne manque pas de charisme. Cela donne un film assez désuet dont le manque de budget est criant dans les scènes d'actions, les décors et le nombre très réduit de prises : beaucoup de dialogues sont mal interprétés, des scènes mal joués (la jeune fille aveugle), des acteurs très approximatifs qui récitent leur texte plutôt qu'ils ne jouent leur rôle. Il y a un côté pathétique qui empêche même de d'esquisser un sourire. Pourtant ce film reste attachant grâce à son acteur principal, qui arrive à exprimer suffisamment d'humanité pour provoquer la compassion. Reste la scène finale emblèmatique dans l'église, qui devait faire référence au sacrifice du Christ offrant son sang pour laver les péchers et les stigmates des hommes qui ne l'avaient pas compris. Là encore, c'est à moitié réussi à cause du jeu trop théatral de Vincent Price, dans une scène qui aurait demandé plus d'humilité et d'émotion.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    202 abonnés 2 523 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 mars 2019
    De la filmographie d'horreur de Vincent Price, The Last Man on Earth (ou plutôt Je suis une légende, je ne sais pas pourquoi Allociné a souhaité répertorier ce film avec le titre en version originale) n'est pas le film qui m'aura le plus marqué.
    Le film adapte une nouvelle très connue de Richard Matheson et on sent que le film est limité par la technologie de son époque.
    Déjà, le caractère noir et blanc du film rend difficile la perception du jour et de la nuit (ce qui est problématique pour un film sur des vampires). Du coup, difficile d'être sensible à l'aube ou au crépuscule qui arrive. Ça n'empêche pas d'ailleurs d'observer que certains plans de nuit ont été tourné en plein jour.
    Les créatures ne sont pas particulièrement intimidantes : les maquillages sont désuets, ils marmonnent quelques mots mais agissent de manière complètement idiote, marchent très lentement, … comment dans les mauvais films de zombies. Et le choix de vouloir faire de ces créatures un intermédiaire entre les zombies et les vampires (du fait de leur aversion pour l'ail et le piolet ou par la présence de chauves-souris dans l'intrigue) me semble maladroit.
    Vincent Price est excellent dans le rôle principal. Il porte sur ses épaules le film (l'expression n'est pas volée, puisque pendant les ¾ du film, c'est le seul personnage que l'on voit).
    Le film est tout de même peu dynamique (et ce, malgré une durée de film très courte). Même la scène finale de fusillade n'est pas très palpitante. La fin est très étrange spoiler: (le héros abattu par d'autres humains), j'ignore si c'est celle du livre
    . Le film a dans son ensemble assez mal vieilli.
    Cyril J.
    Cyril J.

    27 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 novembre 2017
    Si la troisième version de 2007 avec Will Smith est sans doute la plus connue, voici la toute première, tirée du roman de 1954 de Richard Matheson, réalisée en 1963 au générique, et non pas 64 comme il est écrit partout.
    Plus fidèle au scenario original, on assiste à la vie sordide et pathétique d’un savant, névropathe progressif de se retrouver totalement seul et unique survivant dans sa mégalopole depuis 3 ans, puisqu’apparemment immunisé contre cette pandémie ayant tué ou transformé les humains en créatures infectées semi-vampires, dangereuses, contagieuses, errantes et noctambules. Entre les flashbacks révélant les étapes progressives de la catastrophe, on assiste à ses chasses, fuites, approvisionnements, souvenirs, rires et larmes solitaires, et à ses illusoires victoires de chaque jour, jusqu’à l’arrivée encore plus redoutable d’un groupe d’humains mutés qui nous font presque regretter les zombies.
    Cette version cinéma, avec ses épisodes sans fluidité, ses jeux trop théâtraux et ses effets spéciaux périmés, perd malheureusement en attention et en crédibilité, sans pour autant que ce ne soit dû au rythme et aux moyens d’une époque. Cette aventure de science-fiction qui a donné le ton a bien des livres et des films depuis 65 ans y dénonce avant tout l’indécrottable ADN de la médiocrité humaine, responsable de tout, suicidaire, violente et désespérément présente jusque dans ses espoirs.
    Riddler Crow
    Riddler Crow

    10 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 août 2017
    Adaptation du roman "Je Suis Une Légende" de Richard Matheson. Le film a aussi inspiré de nombreux films d'épouvantes/horreurs et continue encore aujourd'hui. La science qui créée un virus,les vampires qui font un peu penser à des zombies un film précurseur dans beaucoup de domaines. Pas besoin de sang ou de gore pour être effrayant ou faire sursauter,la suggestions,l'ambiance et les éclairages même si c'est en noir et blanc peuvent faire frissonner. Une très bonne interprétation de l'acteur principal j'avoue ne pas comprendre pourquoi Matheson n'a pas approuvé le choix de Vincent Price qui en plus de bien jouer est un très bon narrateur et porte le film sur ses épaules quasiment à lui tout seul. Nous découvrons la solitude du personnage,son envie de trouver quelqu’un,trouver un remède à ce mal qui affecte l'humanité,ses blessures,sa tristesse,sa folie jusqu'à devenir une légende. A travers cette histoire et les vampires/zombies nous assistons aux peurs de l'humanité sur l'évolution,la recherche détourné,ne plus être au sommet de la chaine alimentaire et sur la folie destructrice.
    cylon86
    cylon86

    2 557 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 septembre 2015
    Première adaptation au cinéma du roman de Richard Matheson, ''Je suis une légende'' version 1964 a pris un sérieux coup de vieux. A voir aujourd'hui, le film n'est ni plus ni moins qu'une sympathique série B fauchée à laquelle on s'attache surtout parce que Vincent Price y tient le rôle principal. L'acteur est en effet toujours aussi charismatique et tient une bonne partie du film sur ses épaules car malgré un sujet passionnant et de superbes décors, l'ensemble a un peu de mal à tenir sur la longueur, la construction dramatique du récit étant relativement maladroite. Une bonne partie des effets de mise en scène, notamment dans les scènes d'action, fait désormais relativement sourire et l'utilisation abusive de la voix-off au début de l'histoire n'est pas totalement convaincante. A défaut d'être brillante, cette adaptation ne manque cependant pas de charme, n'étant d'ailleurs pas sans faire penser à ce que fera Romero dans sa ''Nuit des Morts-vivants''.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 juin 2015
    L'adaptation du roman "Je suis une Légende" peut-être la plus émouvante, même avec un début un peu lent, le film nous raconte une des meilleures histoires sur le thème de la solitude. Le héros joué par Vincent Price, seul survivant de la peste, doit lutter pour ne pas sombrer dans la folie. L'acteur était tout trouvé pour ce rôle où il doit alterner entre la normalité et son aspect inquiétant. La présence des flash-backs permet un rythme plus soutenu de l'histoire et accentue sa teneur dramatique. Ces derniers ont été bien moins présent dans l'adaptation de 2009. Ce qu'il y a de mieux comparé au film plus récent, c'est bien la présence des mutants en plus des zombies.
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