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    Vol au-dessus d'un nid de coucou
    Note moyenne
    4,5
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    1 078 critiques spectateurs

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    Le cinéphile
    Le cinéphile

    689 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 janvier 2013
    Un film empli d'humanité. On s'attache aux personnages, Nicholson au top comme toujours, un grand classique a voir!!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 janvier 2013
    Jack Nicholson est vraiment impressionnant dedans ! Un jeu splendide qu'il crée avec l'infirmière.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    267 abonnés 1 639 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 septembre 2013
    Jack Nicholson en exalté magnifique, dionysiaque. Louise Fletcher en infirmière inflexible et castratrice. Will Sampson en chef indien, monolithe de dignité. Et une pléiade de vraies "gueules" du cinéma US, dans des rôles de doux-dingues vraiment attachants. Vol au-dessus d'un nid de coucou est un film marquant, bouleversant. Conclu sur un sentiment de révolte et de tristesse infinie. Au fil des années, la force émotionnelle demeure intacte. La charge contre les institutions psychiatriques américaines et, plus globalement, contre une société rigide et liberticide est toujours efficace. Il manque juste une identité plus forte en matière de réalisation pour toucher au chef-d'oeuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 janvier 2013
    Magnifique vraiment parfait. A voir et à Revoir. Jack Nicholson ma toujours fait peur, là il ma fait pleurer... Tous les personnages sont tous très attachant.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 mars 2013
    J'avais déjà posté un commentaire sur la page de ce film, mais je crois qu'il est temps de me lancer dans une critique en bonne et due forme. Un chef d'oeuvre ! Que dire de plus sur ce film, qui n'ennuie pas un seul instant, qui touche profondément. Ces personnages sont inoubliables : Randall Patrick McMurphy, Miss Ratched, Billy...

    Derrière l'intrigue, extrêmement bien ficelée, c'est la question de la folie qui est posée. Qui sont les véritables dérangés ? Pas les malades de cet hôpital en tout cas. C'est une formidable leçon de vie, de bonheur, nous est donnée ici ! Et comment oublier l'infirmière Ratched, enfermée dans ses aprioris, qui elle aussi finira par comprendre ( spoiler: la scène de l'étranglement, où elle manque de mourir des mains de McMurphy, m'a littéralement tenu en haleine
    ). Milos Forman est un grand, grand réalisateur (il le confirmera avec Amadeus).

    5/5, un must-see !
    MC4815162342
    MC4815162342

    397 abonnés 1 489 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 janvier 2015
    Vol au-dessus d'un nid de coucou, film mythique qui est un classique du septième art, que l'on aime ou pas cette oeuvre époustouflante perdurera tel que d'autres grand films, l'histoire de cette oeuvre était avant d'être sur pellicule portée par les pages d'un livre, mais le film s'en éloigne pas mal, le personnage principal change ainsi que le style, d'après le réalisateur le livre est plus dans l'imaginaire avec des choses cartoonesque alors que le film pour un souci de réalisme plonge dans un drame effrayant.

    Milos Forman, cinéaste Tchécoslovaque réalise ici son deuxième film américain, et je pense qu'il doit être fier d'avoir sorti une si pure merveille, le film nous fait suivre Randle McMurphy, un homme accusé de viol qui simule la folie à fin d'être interné en psychiatrie où il pense être plus tranquille, mais il paiera le prix pour avoir voulu tromper son monde, c'est un homme qui ne respecte pas les règles, il prône la liberté et se met ainsi à dos l'infirmière Mildred Ratched, une femme dure et très strict qui n’apprécie pas le petit jeu de McMurphy.
    Le film mélange les jolies moments où Randle se lie d'amitié avec quelques-uns des malades qui l'entoure et la cruauté du service psychiatrique qui ne fait rien pour que les malades évoluent et se soignent, on peut donc dire en quelque sorte que cette histoire est un beau drame, qui peut nous faire rire comme faire ressortir la haine que l'on a en nous, c'est bien simple on s'associe au bonheur et aux tragédies du personnage de Randle, on oublierait presque que c'est un criminel tellement il est attachant et contre ce système pourri. Et c'est d'autant plus facile de s'attacher à un personnage quoi qu'il est fait quand face à lui se trouve une sorte de monstre quasiment inhumain, et celle chargée d'incarner ce monstre n'est autre qu'une Louise Fletcher impeccable, le réalisateur et ses producteurs auraient préférés choisir une femme qui physiquement parait gentille, une sorte de sainte mais qui au fond se révélerait monstrueuse et inhumaine, et Louise a parfaitement réussi le job, malgré ses appréhensions elle a su s'imposer face au grand Nicholson. Car oui Jack Nicholson porte le rôle principal, j'ai beau souvent le répéter mais j'adore ce mec, en plus d'être un acteur à 3000% dévoué à son personnage et d'avoir un charisme dingue il est juste mortel, ouais mortel, ce mec est démentiel, une tronche qu'on reconnaîtrait entre mille, une présence et un talent inouï que j'adule sans le cacher. Une perfection d’interprétation, pas étonnant quand on le connait mais les rôles aussi durs et imposants que celui ci n'était pas récurant avant ce film pour lui.
    Un face à face réussi et captivant donc où les seconds rôles ne sont pas portés par des manches non plus, rien que Brad Dourif, ce bon vieux (Doc) Christopher Lloyd ou encore un Danny DeVito méconnaissable, je ne l'ai jamais vu ainsi, c'est pourquoi je l'avais même pas reconnu, sa manière de sourire et de jouer est radicalement différent des autres fois où je l'ai vu, tout ça pour dire que le casting est fabuleux, je citerais aussi l'indien Will Sampson (Chef Bromden) qui n'était pas acteur avant mais qui fut repéré par la production, pour un amateur il s'en sort à merveille, la fin où il prend toute sa force est renversante et sa relation avec Randle est très attachante.
    D'ailleurs d'autres personnes du casting étaient des amateurs, le directeur de l’hôpital dans le film est en fin de compte le vrai directeur de l’hôpital où ils ont tournés le film, il se situe à Salem, bon je le dis de suite, je sais pas mal d'anecdotes sur le film grâce au documentaire très instructif "Il était une fois ... Vol au dessus d'un nid de coucou", je l'ai découvert à l'occasion de mon second visionnage du film il y'a quelques jours, d'où cette critique bien plus creusée que la précédente. Je signale également que je l'ai vu en version originale, ce qui est un plus évident quand un acteur comme Nicholson est à l'écran.

    J'avais beau me souvenir à quelques trucs prêt du film mais quand une chaîne aussi intéressante qu'arte vous offre la possibilité de voir une telle perle en haute définition et en version originale il est difficile de refuser, et puis ça ne fait pas de mal de revoir un chef d'oeuvre, oui car au cas où vous ne l'auriez pas compris ce film est un chef d'oeuvre.
    L'oeuvre a tout de même mit du temps à arriver, Kirk Douglas fut intéressé pour faire du livre une pièce de théâtre et plus tard un film, c'est pour dire, mais des problèmes ayants surgis, il a du vendre les droits, c'est son fils, le célèbre Michael qui les rachetas, et il a bien fait, l'idée de Forman à la réalisation remonter également du temps de Kirk, et il fut un choix irréprochable, sa mise en scène est (vulgairement) au poil de cul, un travail soigné et clairement parfait, d'ailleurs beaucoup de gens du personnel de l’hôpital de Salem ont aidés pour les décors et plusieurs autres choses, même des malades ont aidés, c'est dire l’alchimie sur le tournage.

    En bref, Vol au-dessus d'un nid de coucou est un classique incontournable au sujet très fort et à l'ambiance très attachante, le tout sublimé par une très belle bande son et porté par un casting époustouflant, que dire de plus, que la fin est somptueuse ? Oui bah voilà je le dis, non vraiment je sais plus quoi dire, et puis le film parle de lui même, alors bougez vous d'aller le voir si c'est pas déjà fait, et si c'est déjà fait revoyez le !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 janvier 2013
    Une des meilleures prestations du génial Jack Nicholson. Sans oublier la magnifique Louise Fletcher en chef infirmière sadique. Un pur chef d'oeuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 janvier 2013
    C'est un chef d’œuvre, une perle du cinéma. Y a rien à dire de plus, vous DEVEZ le voir !!!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 janvier 2013
    Un film tout simplement magnifique, L'indien je pense à fait pleurer pas mal de personnes et Nicholson aussi !!! On s'attache absolument à tous les personnages, Un film nerveux, drôle, émouvant.., on est vraiment au coeur de la psychologie, mais qui n'est pas dur et qui se comprend, le scénario est impeccable. A voir et à Revoir, et pour les amateurs de ciné comme moi !! un belle apprentissage !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 22 décembre 2012
    Un film touchant traitant d'un sujet que l'on voit quasiment jamais dans le cinéma. Jack Nicholson est au mieux de sa forme pour interpréter se rôle. Film qui fait cogiter
    axel Q.
    axel Q.

    1 abonné 97 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 janvier 2013
    une oeuvre rare de nos jours... Nicholson au sommet. un chef d'oeuvre incontestable ...
    Jérôme E.
    Jérôme E.

    29 abonnés 99 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 décembre 2012
    Très bon film, ce que je retiens particulièrement c'est la prestation des acteurs qui est exceptionnelle, un Jack Nicholson toujours aussi fou fou, le traitement infligé sur les cas psychiatriques est bien illustré ici, un traitement fait de froideur, d'enfermement et d'une certaine injustice. Des traitements non seulement physiques, mais surtout psychologiques, qui en rajoutent un peu pour montrer l'instabilité des protagonistes. Malgré un peu de longueur, et des scènes un peu bizarres, ce film s'en sort très bien et le message passé est largement admissible.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 décembre 2012
    Magnifique. Je ne connaissais pas, je viens de regarder.
    Superbe Jack Nicholson. Une belle brochette de personnages. Le machiavélisme de l'asile incarnée en premier lieu par la supérieure au visage de "diable de cire" fait froid dans le dos.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 décembre 2012
    Milos Forman ne les a pas volé les 5 oscars! Un film prodige du septième art.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 622 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 décembre 2012
    Mc Murphy cherche a fuir la prison en se faisant passer pour malade mental. Envoyé en hôpital psychiatrique pour passer des tests d’évaluation, il se retrouve confronter à une infirmière despote avec les patients. Aimant être au centre de l’attention, il devient vite le centre névralgique du groupe de patient. Une guerre de pouvoir se livre alors entre l’infirmière et le patient Mc Murphy organisateur de la rebellion.
    Le récit est passablement pathétique, manipulateur et simpliste, prompt à s’attacher les faveurs du public. Les messages sont trop lisibles et gentiment contestataires d’autant que le fauteur de trouble tombe également victime du système : pathos à tous les étages pour nous arracher la larme sur « The end ». Une machine hollywoodienne bien huilée qui vaudra 5 Oscars au film dont 2 légitimes : Nicholson et Fletcher pour leur interprétation incarnée du rebelle et de l’infirmière castratrice.
    Revenons sur cette dernière ; l’immuable, glaciale et pourtant souriante Miss Ratched (Louise Fletcher) l’incarnation de toute tyrannie à visage apparemment doux, presque affable. Miss Ratched use de camisoles chimiques, de musique classique et surtout d’ordre pour maintenir la paix dans sa clinique. Au cours des réunions de thérapie collective, elle exacerbe les névroses de chacun pour mieux les tenir tranquilles sous sa coupe. Quand elle sent qu’elle perd la main mise sur ses ouailles, elle sévit, usant de n’importe quelle injustice pour les mettre au pas.
    De l’autre côté, Mc Murphy avec son désir d’être toujours au centre est un précurseur de la télé réalité et de la société du spectacle. Toujours en quête de célébrité et de reconnaissance des autres ; saoulé de cette reconnaissance, il finira même par laissé filer l’opportunité de se faire la malle. D’ailleurs il revêt des habits de couleur pour s’extraire de la masse informe et incolore, toute blanche, du corps hospitalier et de la clinique. Il est celui vers qui tous les regards convergent.
    On retiendra l’interprétation des 2 têtes d’affiche. Pour le reste Milos Forman cède trop à la facilité en nous mettant du bon côté de la barrière face à des injustices si flagrantes qu’elles écœureraient jusqu’au moindre tyran qui sommeille en chaque homme.
    J’avais adoré à 20 ans… à 40, les limites de ce film me saute cruellement aux yeux comme un produit mal dégrossi.
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