Je sens le beat qui monte en moi : Critique presse
Je sens le beat qui monte en moi
Note moyenne
3,8
10 titres de presse
Les Inrockuptibles
Critikat.com
Le Monde
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Libération
Positif
Première
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Thomas Blondau
Sur l'air d'une comédie amoureuse balancée en danses chamaniques, le film tire son concept jusqu'au gag (...) jouant aussi sur le possible érotique de ces corps soumis à de brusques syncopes dans une belle étreinte finale.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Critikat.com
par Arnaud Hée
Sous sa légèreté apparente, le burlesque, utilisé à bon escient, a toujours des choses très émouvantes et sérieuses à nous transmettre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Isabelle Regnier
"Je sens le beat..." injecte du burlesque dans une structure de comédie romantique. Ils (avec Le Quepa sur la vilni) ont un socle commun : un art du dérèglement (...), un rapport affiné à la musique pop, un sens graphique fort, une trame souterraine qui dérive de l'hyper-contrôle au lâcher prise...
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Si peu de mots, tant de grâce. Si peu de psychologie, tant de présence. Le film doit évidemment beaucoup à ses interprètes principaux (...) Il n'en doit pas moins à Yann Le Quellec qui, l'air de rien, montre que la meilleure manière pour la musique de prendre corps au cinéma consiste à y prendre les corps. La littéralité, parfois, confine au génie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Sélim Ammouche
Entre conte surréaliste et ballet burlesque, "Je sens le beat qui monte en moi" offre un moment de sensibilité sincère, soutenu par une bande-son parfaite.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Deux moyens pour le prix d’un long, c’est une bonne affaire qui rappelle que le bon cinéma ne se réduit pas au format standard de 1 h 30.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par La Rédaction
"Je sens le beat qui monte en moi" (...) dessine une exquise carte du tendre autour du personnage magnifique d'une jeune femme réservée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Elise Domenach
Sur les thèmes du désir et du corps possédé, Yann Le Quellec a écrit un joli premier film court (31mn) aux sons pop et tons rétro, desservi par un titre grivois.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Renan Cros
(...) Yann Le Quellec impose un univers singulier, à mi-chemin du quotidien enchanté de Jacques Demy et de l'humour absurde de certaines comédies populaires françaises des 70's.
Télérama
par Jérémie Couston
Bonne idée de départ pour ce court métrage burlesque d'une demi-heure. Mais on aurait aimé que Yann Le Quellec se montre à la fois plus fou et moins conceptuel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
Sur l'air d'une comédie amoureuse balancée en danses chamaniques, le film tire son concept jusqu'au gag (...) jouant aussi sur le possible érotique de ces corps soumis à de brusques syncopes dans une belle étreinte finale.
Critikat.com
Sous sa légèreté apparente, le burlesque, utilisé à bon escient, a toujours des choses très émouvantes et sérieuses à nous transmettre.
Le Monde
"Je sens le beat..." injecte du burlesque dans une structure de comédie romantique. Ils (avec Le Quepa sur la vilni) ont un socle commun : un art du dérèglement (...), un rapport affiné à la musique pop, un sens graphique fort, une trame souterraine qui dérive de l'hyper-contrôle au lâcher prise...
Le Monde
Si peu de mots, tant de grâce. Si peu de psychologie, tant de présence. Le film doit évidemment beaucoup à ses interprètes principaux (...) Il n'en doit pas moins à Yann Le Quellec qui, l'air de rien, montre que la meilleure manière pour la musique de prendre corps au cinéma consiste à y prendre les corps. La littéralité, parfois, confine au génie.
Les Fiches du Cinéma
Entre conte surréaliste et ballet burlesque, "Je sens le beat qui monte en moi" offre un moment de sensibilité sincère, soutenu par une bande-son parfaite.
Les Inrockuptibles
Deux moyens pour le prix d’un long, c’est une bonne affaire qui rappelle que le bon cinéma ne se réduit pas au format standard de 1 h 30.
Libération
"Je sens le beat qui monte en moi" (...) dessine une exquise carte du tendre autour du personnage magnifique d'une jeune femme réservée.
Positif
Sur les thèmes du désir et du corps possédé, Yann Le Quellec a écrit un joli premier film court (31mn) aux sons pop et tons rétro, desservi par un titre grivois.
Première
(...) Yann Le Quellec impose un univers singulier, à mi-chemin du quotidien enchanté de Jacques Demy et de l'humour absurde de certaines comédies populaires françaises des 70's.
Télérama
Bonne idée de départ pour ce court métrage burlesque d'une demi-heure. Mais on aurait aimé que Yann Le Quellec se montre à la fois plus fou et moins conceptuel.