Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
weihnachtsmann
1 198 abonnés
5 222 critiques
Suivre son activité
2,0
Publiée le 8 janvier 2022
Honnêtement, ça tourne en rond cette histoire….J’ai l’impression que cette présence aurait été plus intéressante que cet enfermement ridicule. Supprimant le dialogue. Instaurant le non-dit et la colère. C’était le but recherché certainement mais rien n’a avancé à part les travaux des champs je suppose.
4 782 abonnés
18 103 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 29 septembre 2020
Suffit-il d'être dans le présent pour faire partie du présent ?. C'est la leçon que Lucie seize ans apprendra tout au long du film se déliant de son père Hugo qui est strictement lié au sol. Un homme discipliné écarté de la civilisation décorant sa vie de la beauté naturelle de la campagne française. Hugo est un homme fort mais brisé récemment trompé et laissé par sa femme. Ève Deboise profite du confort d'un décor isolé et de l'intrigue aussi comme une pièce de théâtre (probablement que le film a été un pièce de théâtre auparavant) se concentrant sur les personnages bénéficiant d'une réelle aide de la maîtrise d'Olivier Rabourdin (Hugo) et de Florence Thomassin (Sonia ) en particulier ldu jeu d'acteur d'Olivier Rabourdin qui est bien au-dessus du niveau de ce film. Pauline Etienne (Lucie) instaure une aura chaleureuse naturelle et fluide qui contribue bien à l'intimité de l'histoire. La réalisatrice et la productrice étant des femmes ils mettent en scène une perspective féminine de l'existence et posent je crois des questions pointues à une certaine compréhension de la vie. Paradis Perdu est un petit film qui vaut la peine d'être vu...
Pas de mot pour décrire un tel ovni !! Moi perso j'ai détesté comme rarement ! C'est amateur, spécial, lent et ennuyeux ! Un vrai moment de solitude !! 1h20 ça peut être interminable parfois !
BRINDILLE. A la recherche du jardin d'Eden. Un dimanche à la campagne, avec rat des champs et rat des villes. Un premier film simpliste, limité dans les dialogues et les situations.
14 040 abonnés
12 481 critiques
Suivre son activité
2,0
Publiée le 14 juin 2014
Dans ce premier film, Eve Deboise expose l'ambivalence des sentiments d'un homme pour sa fille unique qu'il èlève seul depuis sa disparition de la mère! Pour incarner à la fois la douceur de l'amour paternel et la violence de l'homme jaloux, la rèalisatrice fait appel à Olivier Rabourdin, surtout connu du grand public pour son interprètation de prêtre catholique dans "Des hommes et des dieux" de Xavier Beauvois! Face à lui, on retrouve la lumineuse Pauline Etienne qui a pris quelques kilos pour les besoins du tournage et qui se glisse avec beaucoup de naturel dans la peau de cette jeune fille sensuelle, avec au bout un attisant numèro de masturbation! Les deux portent le secret de leur tourment! Ce sont les lieux qui les rèvèlent! A chaque ètat d'âme, son lieu! Pèpinière isolèe du côtè de Cèret et du Boulou (deux villes des Pyrènnèes Orientales que je connais parfaitement bien pour y avoir travaillè) exprime une vèritè que les corps se refusent à dire entre secrets et chantages! Deboise ne voulait surtout pas que le personnage de Lucie soit une « Lolita » mais il y a une plènitude dans le visage de Pauline Etienne, une lumière qui se dègage de sa peau qui rèpondait à l'envie de la rèalisatrice pour faire quelque chose de charnel! Marquè par une mise en scène très sensorielle, ce premier long flirte avec l'univers du conte, en particulier à travers le personnage du père, un ogre touchant selon Eve Deboise qui n'est pas sans rappeler le « Barbe Bleue » de Charles Perrault! Malheureusement, la recette tourne court! Les bonnes intentions ne font pas l'ombre d'un doute! il ne manque que l'essentiel: un scènario inventif! Heureusement, la grâce de Pauline Etienne sauve quelques scènes d'un drame familial dèsespèrement clouè au sol...et à l’intèrieur d’une minuscule cabane (pauvre Florence Thomassin). On n'apprend ègalement dans ce film èpurè, qu'avec de l'huile d'olive mèlangèe à du citron, on peut obtenir avec un peu de patience des coudes parfaits! Au moins, on aura appris quelque chose...
Le film est bon, c'est un drame qui des fois prend des allures de thriller et qui passe très bien. La presse et le spectateur peuvent dire ce qu'ils veulent, (par rapport au titre, au message, à Eve Deboise ou à l'ennuie) "Paradis Perdu" passe vraiment bien. C'est un bon film d'auteur ou l'on retrouve de bons acteurs, une histoire correcte et ou l'on passe un bon moment. D'accord, le film à quelques défauts mais ici le positif l'emporte clairement sur le négatif. Bref, j'ai l'impression que la critique a été trop dure alors que c'est un film de qualité, donc avant de juger prenez la peine de le regarder une fois, deux fois ou plus car il en vaut largement la peine.
C'est bien dommage car le début du film m'as beaucoup plu la fin en l’occurrence et trop simpliste. Il y manque quelque chose. C'est un film assez psychologique quand on y comprend le sens.
Très mauvais film. Il ne prouve que l’incompréhension des femmes à vivre sur cette terre, leur égoïsme, leur vanité, leur futilité et leur peu de vertu. Voilà ce qui fait qu'un paradis est perdu. On aurait pu croire ou espérer que la réalisatrice veuille nous faire passer ce message mais la fin ne fait que confirmer que c'est tout le contraire. L'affiche le montre bien pourtant qu'il manque une personne. En revanche les acteurs sont bon.
Voilà un petit film d'auteur qui fait surtout penser à un autre... Avec un joli casting et une histoire intéressante (un père étourdi et perdu dans ses sentiments envers sa fille) Eve Deboise s'est promise bien des choses mais qui ne se reflète pas dans son film. Premièrement elle a voulu une jeune actrice un peu ronde, la charmante Pauline Etienne est très loin d'être ronde... Un détail sans doute... La réalisatrice voulait montrer un père et sa fille qui vivent quasi reclus, propice à dse sentiments embrouillés du père pour sa fille, là idem on ne voit rien dans le film qui permet de dire que le père puisse être incestueux. Au contraire il semble perdu surtout parce que sa femme l'a quitté, rien de plus banal. Un cahier des charges que la réalisatrice elle-même s'est imposé mais qui n'est jamais probant. Le sujet n'est donc jamais traité. Dommage car les acteurs sont magnifiques, l'ambiance bucolique et hors du temps est bien rendu. Mais au final ça ne mène nulle part, la fin ajoute au flou scénaristique. Dans le genre, et sur un thème semblable il vaut beaucoup mieux revoir "The ballad of Jack and Rose" (2005) de Rebecca Miller avec Daniel Day Lewis, la réalisatrice ne cite pas ce film comme inspiration mais pourtant la référence saute aux yeux.
En voyant la situation général des décors on devine tous de suite le type de film et le travaille catastrophique d’Ève duboise.
Cette fois ci on change tellement du lot en incarnant une adolescente (je suis ironique, c'est tellement commun comme thème) mais encore mieux, cette adolescente nommé Lucie vie en pleine nature dans un cadre ennuyeux, pas exceptionnelle, ni très fin, mais jolie au regard (je n'ai rien à reproché à l'environnement, ça aurait fait de très jolies photo !) Lucie vie avec son père (une sorte de chimère qui croise l'ours et homme) sans doute trop pesant dans le film.
Mais quand à ça mère qui revient complètement transformer en toxico, c'est la que ça commence à partir en couille et petit bonus les hormones de Lucie commence à la travailler et la seconde partie du film vas se transformer en BAD PORN.
Bref, le premier long métrages d’Ève duboise devrait être le dernier... un film qui enchaîne les drames comme une mauvaise chorographie et la transformation de la petite Lucie en femme reste mal dessiné. Il faut croire que la crise est partout même chez les film.
Pas mal du tout ! Ce film a une vraie personnalité si je puis dire et offre cette fraîcheur typique d'un premier long métrage. Un film de femme, ça se sent qui présente une sorte de similitude avec les premiers films de Sandrine Veysset ( " Y aura-t-il de la neige à Noël ;" ). Les acteurs sont justes et sobres. J'aime beaucoup Florence Thomassin abonnée aux films assez particuliers et de qualité. Scénariste, Eve Deboise a réussi son passage à la réalisation.
Il s'agirait presque d'un thriller à cause de l'intensité dramatique créée par Olivier Rabourdin dans son rôle de tortionnaire. Il se passe donc beaucoup de choses même dans les endroits calmes comme ce trou paumé où ils habitent.