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Le couple Hadjithomas-Joreige, à coup sûr le plus inventif et aventureux du cinéma libanais, se lance dans une enquête palpitante sur cette expérience oubliée. (...) Un peu délirant mais assez réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Un demi-siècle plus tard, miracle du cinéma, cette lampe magique dont Pagnol disait qu'elle "rallume les génies éteints", Joana Hadjithomas et Khalil Joreige (...) ressuscitent "The Lebanese Rocket Society" dans un incroyable film-enquête.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Au fil d'une enquête inattendue et finalement passionnante, ce documentaire riche en archives exhume cette epoque où le Liban pouvait encore se projeter dans l'avenir, et même rêver de changer le monde.
Seul compte ici le mouvement de l'art, la propulsion poétique, l'effort de s'arracher d'une attraction terrestre encombrée de charniers et d'utopies assassinées. En route.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Grâce aux questionnements et à l'investissement de ses auteurs, cette histoire - oubliée - de la conquête spatiale libanaise devient celle d'une reconquête : d'une mémoire, d'un imaginaire, d'un espoir.
Ce film ne tombe pas par hasard à l’heure des révolutions arabes. A sa modeste échelle, il révolutionne le passé du Liban et réactive la possibilité de projets communs pour un pays si prompt à se déchirer.
Depuis leur présent, les cinéastes et artistes Khalil Joreige et Joanna Hadjithomas interrogent un passé glorieux et méconnu de leur histoire, celui de la conquête spatiale libanaise et imaginent comment la fec du monde aurait pu en être changée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le film ressuscite en creux une époque où le pays possédait une forme de confiance et d’ambition en un avenir. (...) Il est d’autant plus dommage que les auteurs (...) aient basculé à un moment du film dans un exercice de célébration forcément nostalgique et redondant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
(...) Les cinéastes (...) ont curieusement manqué d'audace. (...). Il faut attendre la deuxième partie pour que le film quitte sa linéarité et dépasse l'originalité historique de son sujet dont il ne restait à ce jour dans la mémoire collective qu'une image colorée imprimée sur un timbre-poste.
La critique complète est disponible sur le site Positif
En dépit d'une voix off envahissante, le film se regarde comme une enquête assez vertigineuse et souvent marrante sur la façon dont les rêves des 60s se sont égarés dans les limbes du temps.
La critique complète est disponible sur le site Première
On ne peut que regretter la fin futuriste sous forme d'animation, qui apporte une certaine naïveté à un film fort sur le rôle de l'art et la nécessité de faire bouger les frontières.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Archives, prises de vues réelles et animation alimentent une curieuse machine à remonter le temps. La forme kaléidoscopique ne convainc pas toujours mais la narration ménage un vrai suspense.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Alors que la première heure de ce documentaire enthousiasme par sa rigueur historique, la suite tombe dans le travers d’un nationalisme libanais déplacé. On aurait préféré rester la tête dans les étoiles.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Riche et surprenant, "The Lebanese Rocket Society" est un documentaire à plusieurs étages, comme les fusées.
L'Humanité
Le couple Hadjithomas-Joreige, à coup sûr le plus inventif et aventureux du cinéma libanais, se lance dans une enquête palpitante sur cette expérience oubliée. (...) Un peu délirant mais assez réjouissant.
L'Obs
Un demi-siècle plus tard, miracle du cinéma, cette lampe magique dont Pagnol disait qu'elle "rallume les génies éteints", Joana Hadjithomas et Khalil Joreige (...) ressuscitent "The Lebanese Rocket Society" dans un incroyable film-enquête.
Le Journal du Dimanche
Au fil d'une enquête inattendue et finalement passionnante, ce documentaire riche en archives exhume cette epoque où le Liban pouvait encore se projeter dans l'avenir, et même rêver de changer le monde.
Le Monde
Seul compte ici le mouvement de l'art, la propulsion poétique, l'effort de s'arracher d'une attraction terrestre encombrée de charniers et d'utopies assassinées. En route.
Le Point
Voir la critique sur le site du Point.
Les Fiches du Cinéma
Grâce aux questionnements et à l'investissement de ses auteurs, cette histoire - oubliée - de la conquête spatiale libanaise devient celle d'une reconquête : d'une mémoire, d'un imaginaire, d'un espoir.
Les Inrockuptibles
Ce film ne tombe pas par hasard à l’heure des révolutions arabes. A sa modeste échelle, il révolutionne le passé du Liban et réactive la possibilité de projets communs pour un pays si prompt à se déchirer.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Transfuge
"The Lebanese Rocket Society" maintient brillamment la tension entre l'aventure collective et la réflexion contemplative sur la trace et le vestige.
Critikat.com
Depuis leur présent, les cinéastes et artistes Khalil Joreige et Joanna Hadjithomas interrogent un passé glorieux et méconnu de leur histoire, celui de la conquête spatiale libanaise et imaginent comment la fec du monde aurait pu en être changée.
Elle
Ce travail d'enquête génial est le prétexte pour montrer un pays riche, inventif, doté d'un sens de la dérision incommensurable.
L'Express
Voir le site de L'Express
Libération
Le film ressuscite en creux une époque où le pays possédait une forme de confiance et d’ambition en un avenir. (...) Il est d’autant plus dommage que les auteurs (...) aient basculé à un moment du film dans un exercice de célébration forcément nostalgique et redondant.
Positif
(...) Les cinéastes (...) ont curieusement manqué d'audace. (...). Il faut attendre la deuxième partie pour que le film quitte sa linéarité et dépasse l'originalité historique de son sujet dont il ne restait à ce jour dans la mémoire collective qu'une image colorée imprimée sur un timbre-poste.
Première
En dépit d'une voix off envahissante, le film se regarde comme une enquête assez vertigineuse et souvent marrante sur la façon dont les rêves des 60s se sont égarés dans les limbes du temps.
TéléCinéObs
On ne peut que regretter la fin futuriste sous forme d'animation, qui apporte une certaine naïveté à un film fort sur le rôle de l'art et la nécessité de faire bouger les frontières.
Télérama
Archives, prises de vues réelles et animation alimentent une curieuse machine à remonter le temps. La forme kaléidoscopique ne convainc pas toujours mais la narration ménage un vrai suspense.
aVoir-aLire.com
Alors que la première heure de ce documentaire enthousiasme par sa rigueur historique, la suite tombe dans le travers d’un nationalisme libanais déplacé. On aurait préféré rester la tête dans les étoiles.