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Nicolas N.
29 abonnés
745 critiques
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3,5
Publiée le 25 avril 2024
Ah, "Les Rayures du Zèbre", un film belge qui ne manque pas de caractère ! J'ai bien aimé cette comédie, elle a vraiment ce petit quelque chose qui la rend attachante. Avec une note de 3,5/5, soit 7/10, c'est un film qui se distingue agréablement.
Benoît Poelvoorde et Marc Zinga forment un duo plutôt sympa à l'écran. Leur dynamique apporte beaucoup d'humour et de légèreté à l'histoire. Et puis, ces blagues bien belges, ça donne vraiment une saveur particulière au film !
L'intrigue autour du recruteur de foot prêt à tout pour dénicher la pépite tant recherchée est plutôt bien ficelée. On se laisse emporter par les péripéties de ce personnage un peu loufoque, prêt à tous les coups tordus pour atteindre son objectif.
En résumé, "Les Rayures du Zèbre" est une bonne comédie qui sait faire rire tout en nous offrant une belle dose d'émotion. Avec sa note de 3,5/5, soit 7/10, c'est un film à recommander pour passer un bon moment devant l'écran !
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J'ai un avis très mitigé. Ce film qui est d apparence comique cache des tragédies humaines, mais presqu ' une heure on s ennuie un peu, la deuxième partie est plus prenante et ameliore le ressenti du film. Benoît joue toujours à merveille, mais c'est plus un telefilm ou film documentaire. Pas mal
Poelvoord n'a plus la cote et enchaine les nanards, en voici un de plus , un que l'on oubliera de suite aprés l'avoir vu. Ce film n'apporte rien , pas drole, sans émotions , il est surtout mal réalisé. La bande son "Africaine" met un peu de baume à ce court metrage (1h 15) sans importance. Il n'est pas nul non plus, les acteurs tirent leu épingle du jeu mais c'est l'histoire et sa réalisation qui laisse de marbre.
Trop mauvais malgré la présence de Benoit Poelvoorde dans son style caractéristique qui amène un plus mais qui n'arrive pas à sauver le film d'une histoire banale.
ATTENTION non ce film n'est pas une comédie. je pensais qu'on était dans la mm veine que le crocodile du bostwana. Et non fatale erreur. On a très très peu ri et pour cause c'est un drame social ! Certainement un traitement très intéressant de la "traite" des joueurs africains. Mais comme on c’était préparé en famille a une bonne comédie , ben ...grosse déception. Donc ne pas le voir sous cet angle devrait améliorer peut être son approche.
Qu’on se rassure tout de suite, pas besoin d’être un grand passionné du ballon rond pour apprécier Les rayures du zèbre. Ici on s’intéresse surtout aux coulisses et notamment au rôle prépondérant du recruteur incarné par Benoit Poelvoorde ayant son terrain de chasse en Afrique connu pour être un vivier de jeunes footballeurs talentueux. C’est l’occasion de découvrir un monde cruel où les joueurs sont surtout considérés comme de vulgaires marchandises avec tout de même quelques notes d’humour. Pas grand-chose à retenir de ce film ; un portrait acerbe mais quand même pas appuyé suffisamment pour marquer l’esprit des spectateurs si bien qu’on finira par l’oublier assez vite.
Un petit film sur le monde du football, et sur les réseaux de recrutement en Afrique. Voilà qui m'intéressait fortement. Ici nous est conté le destin de Koné Yaya, jeune footballeur ivoirien de quartier, repéré par un recruteur belge a la bosse bien roulée interprété par Benoît Poelvoorde. L'histoire nous est conté avec un certain sérieux, mais de façon somme toute assez banale et au finale de façon très lisse, surement pour toucher un public plus large. En effet, la réalité est un peu plus complexe que cela, même si les grandes lignes sont bien respectées. L'ascension de notre jeune héros est à mon goût un peu trop fulgurante, et certains points abordés auraient mérités d'être plus étayés pour apporter plus de crédibilité (comme sa négociation avec un autre agent pour jouer en Macédoine, car les "agents vautours" prêts à envoyer de jeunes africains rêveurs dans les contrées les plus reculées d'Europe est une réalité). Pas mal de stéréotypes aussi dans ce film (mais pourrait-on réellement s'en passer?). Les pseudos histoires de coeur avec les jeunes femmes africaines aussi sont à mon goût un peu de trop, mais là aussi, on touche quelque peu du doigt une certaine réalité)... Au final, un film correct, assez court, mais un poil superficiel, avec une épilogue assez désarmante quant à la condition de ces jeunes africains qui arrivent en Europe un peu déboussolés, entre rêve de richesse et de gloire, et dureté d'adaptation.
tout juste digne d'un téléfilm, mais somme toute plutôt sympathique. Benoit Poelvoorde retrouve ses racines et son accent belges, et ça, c'est un vrai "plus" produit. les clichés sont nombreux, mais ma foi justes, d'après ce qu'on voit dans les reportages sur la Côte d'Ivoire. la scène de la voiture m'a bien fait rire (je sais, j'suis méchant)
Voici un film qui réjouira tous les blancs qui ont vécu en Afrique. Les relations entre les petits blancs et les africains sont très bien POELVOORDE dans le rôle de manager de sportifs de 3ème catégorie sait nous faire rire sans tomber dans l'excès qui le caractérise parfois. Un bon moment de cinéma que je vous conseille de découvrir rapidement car le peu de succès du film risque de le faire disparaître rapidement des écrans.
Très bon film sur les nouveaux négriers, les recruteurs d'espoirs footballeurs africains. Le néo-colonialisme dans toutes ses basses oeuvres, L'échange inégal nord-sud, et des acteurs au meiux de leur forme. Humour noir garanti, et émotion aussi devant tant de gâchis !
Les rayures du zèbre, cette comédie dramatique simplissime manque un peu d'envergure. Scénario sobre, réalisation sobre, le tout porté à "bout de bras" par un Benoit Poelvoorde brillantissime comme à l'accoutumé... Le pitch est néanmoins sympathique, coloré et mériterait un peu plus de percussion et de rythme dans la réalisation de ce film au demeurant agréable à voir.
A deux semaines d'intervalle sont sortis deux films aux sujets très proches. "Le crocodile du Botswanga" - dont j'ai déjà parlé ici - se moquait des turpitudes d'une dictature africaine post-coloniale. "Les rayures du zèbre" évoque celles du foot business. Le premier est une farce, efficace mais parfois un peu grasse. Le second une comédie moins drôle mais plus subtile. Benoît Poelvoorde y joue le rôle de José, un entraîneur en fin de carrière recyclé dans le recrutement de jeunes talents africains. Il passe une semaine par mois en Côte d'Ivoire à la rechercher de la perle rare. Sitôt atterri à Abidjan, il adopte les travers des petits blancs, queutard et raciste. Il repère Yaya, un génie du ballon rond.
Le rôle est taillé sur mesure pour Poelvoorde qui s'y glisse avec délectation. Il n'est jamais aussi bon que dans la beauferie et la provocation : son explication des motifs de l'insuccès du Sénégal à la Coupe du monde de 2002 est hilarante. Pour le meilleur et pour le pire, la comédie de Benoît Mariage bifurque ensuite vers le réalisme social en suivant Yaya en Wallonie. Sous la neige, le jeune Ivoirien se frotte aux footballeurs belges. C'était le sujet d'un film français passé inaperçu : "Comme un lion" de Samuel Colardey. On sent que ses espoirs seront déçus, que la fin sera tragique. Le drame survient au moment où on l'attend le moins. Le rire se fige.
Loin de bégayer, "Le crocodile du Botswanga" et "Les rayures du zèbre" méritent d'être vus tous les deux. Car l'un et l'autre portent un regard très juste sur la relation compliquée qu'entretiennent l'Europe et ses anciennes colonies.
Bonne comédie de Benoît Mariage avec un Poelvoorde qui semble s'epanouir en agent de joueurs. Comme le réalisateur le dit, le foot est secondaire, il est un fil conducteur pour décrire les difficultés que rencontrent chacun des personnages. Yaya, joueur de 19 ans tape dans l'oeil de José, recruteur de talents ayant pour terrain de jeu la Côté d'Ivoire. Inspiré de ce qui se passe dans le milieu footballistique ( et de l'agent qui a découvert Aruna Dindane), le film s'attache aux relations entre le joueur et son "coach" comme il l'appelle mais aussi aux difficultés (malheureusement raccourcies ici) de faire engager un joueur dans un club professionnel. Le film se termine un peu en eau de boudin mais globalement, on passe un bon moment.
Film très mauvais, alors que pourtant il y a Benoit Poelvoorde... Ça dois être l'un ou le pire film où il a jouer, ce film est un ennui total. Il ne se passe RIEN.spoiler: A croire le l'élément déclencheur est quand Yaya meurt ?