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Les Enfants du Siècle est un film lisse, une simple illustration. La relation à l'écran entre ces deux êtres méritait bien plus d'âme, d'éclat, de passion.
weihnachtsmann
« J’ai retrouvé les cigarettes que tu avais laissées derrière toi.
Je les ai fumées avec une tristesse et un bonheur étranges »
Quel beau film d’amour et surtout un superbe duo d’acteurs pénétrants et en souffrance d’amour totalement délirante.
On rentre aisément dans ce siècle avec les images magnifiques, des costumes superbes et une belle musique (parfois revisitée malheureusement).
Pauvre George Sand qui après le tourmenté Musset va rencontrer le non moins torturé Chopin.
Je les ai fumées avec une tristesse et un bonheur étranges »
Quel beau film d’amour et surtout un superbe duo d’acteurs pénétrants et en souffrance d’amour totalement délirante.
On rentre aisément dans ce siècle avec les images magnifiques, des costumes superbes et une belle musique (parfois revisitée malheureusement).
Pauvre George Sand qui après le tourmenté Musset va rencontrer le non moins torturé Chopin.
L'histoire d'une passion. Il faut reconnaître que leur histoire est très belle, et cela est du à leur sensibilité exarcerbée (surtout pour Alfred de Musset). Personnellement, j'ai trouvé le couple admirable, ensemble, mais séparément, je n'aime pas du tout leur caracrère. Benoit Magimel est méconnaissable, il est très juste dans ce rôle, et ses répliques ne sont pas récitées, contrairement à Juliette Binoche, que j'ai trouvé moins bonne. La réalisation est classique, la reconstitution d'époque est bonne, mais on s'ennuie un peu vers la fin, le film est trop long.
bsalvert
Un film qui dure une éternité, dans lequel les acteurs donnent l'impression de vivre leurs scènes pour eux et non pas pour la caméra.
Roub E.
Les amours tumultueuses de George Sand et d’Alfred de Musset voilà ce que propose de suivre en substance « les enfants du siècle ». Un film qui manque un peu de souffle et d’un côté plus littéraire pour raconter au mieux une histoire compliquée entre deux personnages faisant partie du patrimoine de la littérature française. Pourtant ses deux acteurs donnent énormément dans ce film, Benoit Magimel m’a même très agréablement surpris avec une prestation très enlevée et qui sonne pourtant très juste. Mais comme je le disais précédemment le film manque un peu de souffle pour décrire au mieux une relation si agitée. J’ai trouvé ça trop classique dans la forme, ce n’est pas raté mais c’est anecdotique.
Récit de la passion amoureuse et destructrice entre George Sand et Alfred de Musset, illuminé par la grâce de Juliette Binoche et la fouge de Benoit Magimel.
Avec "Les enfants du siècle", Diane Kurys filme la passion amoureuse et littèraire entre George Sand et Alfred de Musset avec, en tête d'affiche deux grand acteurs du cinèma français, Juliette Binoche et Benoît Magimel dans le rôle de ces amants tumultueux qui firent scandale à leur èpoque! On retrouve ègalement quelques seconds rôles qu'on prend toujours plaisir à revoir comme Robin Renucci, Patrick Chesnais ou Michel Robin! Avec un soin attentif pris aux costumes et aux dècors, Kurys signe un bon film d'èpoque avec des amants romantiques qui maintiennent l'intèrêt! L'occasion aussi de voir deux futurs grands comèdiennes: Ludivine Sagnier (en Hermine Musset) et surtout la lumineuse Isabelle Carrè qui incarne une radieuse Aimèe d'Alton...
Incroyable. Le casting est parfait. Les décors et les costumes sont magnifiques. La lumière est sublime. Mais on n'y croit jamais. Ou alors le romantisme me fait pouffer de rire. C'est un pur et innocent nanar à gros budget. à certain moment, je me demandais si j'étais pas sur un vieux sketch des Inconnus. La chute dans l'escalier. Les trous dans le canapé. Le pianiste sortant du séminaire. La musique qui en fait comiquement des tonnes, pour être encore plus cabotin que la coiffure de Magimel. Et cette déclamation finale théâtrale, sur ce regard caméra périmé. C'est beau. Et puis ce début incroyable, avec deux ou trois sauts à travers le temps, en même pas cinq minutes de mise en place préliminaire. Tout est aussi forcé que rushé. La suite est certes plus calme. Mais la réal pas moins perdu entre l'affecté et le grotesque. Et la mise en scène trop souvent triste et monocorde, comme un épisode de Navarro. Heureusement qu'avec deux doigts d'ironie et la bonne humeur qui va bien, on peut arriver à trouver ça aussi beau que rigolo. Ou trouver que Juliette Binoche peut vraiment être sacrément hypnotique. Un indulgent 2.5/5 ^^
Excellent film. C'est super bien interprété et on ne s'ennuie pas une seconde.
Fan inconsidérée du duo G. Sand & A. De Musset, ce film est, pour moi, un petit bijou. Passionné, subtilement interprété par B. Magimel & J. Binoche, tous deux d'une crédibilité sans faille dans leur rôle respectif, ce film est bouleversant & inoubliable. Intense.
Autant l'amour passionnel entre Alfred de Musset et George Sand est l'un, sinon le plus beau de la littérature romantique, autant sa représentation sur grand écran est loin de provoquer le même éblouissement. C'est lent et long, sans âme, et j'ai eu l'impression de voir l'un des téléfilms que l'on visionnait au collège en cours de français. Si le sujet n'était pas deux des grands noms de la littérature française, ce film n'aurait eu aucun écho (malgré la présence de têtes d'affiche du cinéma français). Pour ressentir ce qu'a pu être l'amour et la perte de cet amour, plongez vous directement dans la correspondance entre Musset et Sand et dans les poèmes "A George Sand". Parfois les mots sont plus puissants que les images.
Bien sûr, l’Alfred de Musset de Benoit Magimel frappe un peu (beaucoup). Quelle beauté, quelle fougue, quelle torture….Quel talent ! L’intrigue, un peu trop éparpillée, sert avec brio l’histoire d’amour entre ses deux monstres littéraires, épuisant un peu trop parfois par l’excès d’amour, par l’excès de décors sublimes, par l’excès de colère, par l’excès de costume, par l’excès de jalousie, par l’excès de personnages, par l’excès de fougue, par l’excès de ces départs qui ne servent qu’à revenir ! Mais on veut bien pardonner à Diane Kurys : les génies, on le sait, vivent dans l’excès.
Au début du film Alfred en commentant une pièce de George Sand observe que le personnage principal doit mourir. C'est peut-être un film historiquement exact ou non. Mais l'histoire ne convenait pas à un film car bien qu'elle soit sur l'histoire d'amour entre deux personnes elle a réussi à manquer remarquablement de passion. Aucun des deux personnages ne pouvait être considéré comme sympathique car Alfred était un enfant égoïste et George était juste ennuyeuse avec son insistance à revenir vers l'homme qui aimait l'étrangler à intervalles réguliers. Je pense que de nombreux adultes doivent être intimidés par le sujet littéraire et donner au film une passion imméritée. Ou les filles sont elles simplement plus honnêtes. Je ne sais pas à ce sujet. Mais Diane Kurys nous a infligé ce film infiniment obsessionnel autant que Musset inflige ses cruautés répétitives à Sand. J'étais simplement fatigué de regarder l'horrible danse du film. À mon avis Kurys est bien mieux représenté par Coup de foudre un film assez agréable avec un contenu que j'ai trouvé cohérent et significatif...
Très beau film, une bonne surprise.. Découvert dans le contexte scolaire, j'ai vraiment accroché à cette histoire torturée et pleine de passion
J'ai toujours aimé la relation entre Sand et Musset, la femme-homme et l'homme-femme si l'on considère que les femmes sont par nature plus sensibles ( mdr! ), mais là, le film manque un peu de force :oS
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