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    25 Novembre 1970 : Le jour où Mishima choisit son destin
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    5 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 27 mars 2018
    Un chef d'oeuvre,un hommage posthume as un héros japonais, a la fois écrivaint de talent, artiste et militant du bien, du beau , du vrai . Son sacrifice à des conséquences à long terme dans le renouveau du Japon. Que les fleurs de Sakura fleurissent as nouveau et quel Soleil de la victoire brille.
    Yetcha
    Yetcha

    873 abonnés 4 371 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 juin 2015
    Si l'idée d'un biopic sur Mishima est évidemment une bonne idée, la réalisation ici est loin d'être à la hauteur. L'intégration d'images d'archives part également d'une bonne intention, mais dans l'ensemble, on ressent surtout un manque cruel de moyen, des acdrages serrés pour cacher le manque de figurants ou même de décor sur certaines scènes est flagrant. Tenant plus du docu-fiction bas de gamme, ce film mérite surtout d'être vu pour découvrir ce personnage important du Japon qui voua sa vie et son oeuvre littéraire à redonner au Japon ses lettres de noblesse impérial et permettre à l'empereur de récupérer son statut de divinité. Bref, l'histoire d'un ultra nationaliste et impérialiste affirmé face aux mouvements marxistes, trotskistes, léninistes ainsi que d'autres voies communistes des années 60.
    Yves G.
    Yves G.

    1 448 abonnés 3 469 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 janvier 2014
    Il y a près de trente années, Paul Schrader mettait en scène les dernières heures de Yukio Mishima.
    Enivré par la mystique samouraï, scandalisé par les révoltes estudiantines de 1968, cet écrivain reconnu s'était acoquiné avec des groupuscules d'extrême droite pour fomenter un coup d’État. Son suicide par "seppuku" (seuls les ignares parlent de "hara-kiri") le 25 novembre 1970 avait causé un traumatisme national.

    On comprend mal l'ambition de Koji Wakamatsu, vieux routier du cinéma japonais - décédé juste après la sortie de ce film au Japon en 2012 - qui se présente comme la pâle recopie du chef d’œuvre, autrement plus lyrique et brillant, de Paul Schrader.
    Tout y est à l'identique ... en moins bien : les ambiguïtés homosexuelles du grand écrivain, ses idéaux de pureté, l'échec dérisoire de son projet, la monstruosité de son suicide.
    A la différence des critiques du Monde (qui lui donne ses trois étoiles) et des Inrocks, je n'ai pas saisi l'utilité de ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 21 décembre 2013
    Un film un peu cheap, qui manque de complexité et d'ouvertures. A déconseiller aux gens peu familiers de la vie et de l'oeuvre de Mishima qui en auront du coup une vision tronquée. Les acteurs sont plutôt convaincants même si le rôle de l'écrivain a été confié à un acteur au physique lamda alors que chacun sait que Mishima était culturiste. Je mets quand même une note correct pour la prestation des acteurs ainsi que pour la vive émotion que le récit suscite malgré son unilatéralité.
    Laurent M.
    Laurent M.

    9 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 décembre 2013
    Même avec toute la bonne volonté du monde et une prédisposition très favorable à Mishima, difficile d'aimer ce film. Il est vrai qu'il semble faire avec peu de moyens, mais quel manque de souffle!

    Premièrement, les acteurs semblent congelés (peut-être une caractéristique du cinéma japonais, je n'en sais trop rien) dans les rites, à moins que les personnages ne soient figés dans leur pensée au point de n'exprimer aucune émotion. Mishima (l'écrivain qui a quand même laissé le très sensible 'Confessions d'un Masque', rappelons-le) a l'air d'un robot et à part distiller une philosophie aveugle et exprimer, parfois, une colère éruptive, il ne manifeste pas grand chose de complexe, aux antipodes de la nuance des haïkus qui sont notamment cités à la fin du film.

    Ensuite, la pensée politique qui sous-tend l'action du groupe qui l'entoure est livrée à sa plus simpliste expression, râbâchée plusieurs fois. Les reconstitutions (notamment le discours à la tribune ou même le seppuku) sont maladroitement restituées et révèlent le manque de moyens (ou de créativité?). Même la photo semble trempée dans un formol vintage raté et à un moment donné, on arrive quand même à voir des bâtiments contemporains dans une action censée se passer entre 1964 et 1970.

    L'approche du coup de force et le seppuku marquent un point de tension perceptible (et évident) du film mais il s'agit bien du seul moment où l'on puisse dire qu'on se laisse emporter par l'émotion. Malheureusement, la mise en scène n'y est pour pas grand chose.

    Bref, grosse déception.
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