25 Novembre 1970 : Le jour où Mishima choisit son destin : Critique presse
25 Novembre 1970 : Le jour où Mishima choisit son destin
Note moyenne
3,1
17 titres de presse
Le Monde
Positif
Transfuge
Critikat.com
L'Humanité
Paris Match
aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Les Inrockuptibles
Première
Télérama
Libération
Studio Ciné Live
TF1 News
TéléCinéObs
Ecran Large
Les Fiches du Cinéma
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Le Monde
par Jean-François Rauger
La savante juxtaposition de plans d'archives et de reconstitutions de fictions reproduit l'opposition entre l'action (...) et l'impuissance. Ainsi se poursuit la réflexion commencée par united Red Army.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Adrien Gombeaud
A travers le destin d'un artiste et d'un pays déboussolé, Wakamatsu, cinéaste militant à l'automne de sa vie s'interroge avec son personnage (...) un dernier plan éblouissant répond à la question.
Transfuge
par Damien Aubel
Wakamatsu réalise un grand film, à la fluidité classique, aux couleurs étouffées (...)
Critikat.com
par Florian Guignandon
(...) à l’instar de United Red Army, sorti en 2005, le regard porté par le cinéaste dans ses derniers films sur cette période agitée que furent les années 1960-70 se révèle être d’une intelligence critique rare.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Remettant en scène cet épisode tragique après avoir montré la progression politique de l’écrivain et la constitution de son armée, Wakamatsu le restitue sans aucune fioriture, avec une intensité frontale.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Paris Match
par Yannick Vely
Un film extrêmement rigoureux, asséché de toute émotion ou empathie pour l’écrivain Yukio Mishima. Le film peut aussi s'apprécier comme une réappropriation de l'histoire japonaise, loin du lyrisme de l’œuvre de Paul Schrader.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Virgile Dumez
Avec peu de moyens, mais avec une belle conviction vissée au cœur, Koji Wakamatsu signe une œuvre politique majeure faisant un bilan peu reluisant de l’activisme des années 70, qu’il soit de droite ou de gauche. Implacable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Sans pour autant proposer une réconciliation avec les adversaires d’antan, Wakamatsu les associe à ses propres compagnons d’armes, jeunes gens idéalistes consumés par leur révolte.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Le 25 novembre 1970, Mishima, à la tête d’un groupe paramilitaire qu’il avait créé, le Tatenokaï, prend en otage le général en chef de l’armée de défense nippone et tente de soulever les recrues. Il échoue et décide de se suicider (...) C’est le processus menant à ce geste radical que décrit sèchement et crûment Wakamatsu – épisode déjà illustré, soit dit en passant, par Paul Schrader dans son film Mishima. Wakamatsu restitue à cet épisode son caractère fantasmatique d’une façon plus aiguë et clinique que Schrader.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Gérard Delorme
Le réalisateur s’attache à la démarche spirituelle et intellectuelle de ces extrémistes avec sérieux et une grande économie de moyens. On est quand même à mille lieues des enluminures baroques du "Mishima" de Paul Schrader
Télérama
par Jacques Morice
Le cinéaste montre froidement le caractère absurde de sa cause perdue, tout en ne cessant de s'interroger, accordant aussi à sa démarche une certaine grandeur, fût-elle noire et suicidaire. Son film, dans sa ferveur déchirante, ne manque pas de séduire, surtout grâce à la performance d'Arata Iura qui, de manière stupéfiante, donne corps à ce singulier destin.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Bruno Icher
Cet ultime volet déçoit, tant la manière n’oscille ici, malgré quelques beaux éclats, qu’entre l’outrance et la platitude.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
Même ceux qui tiennent Koji Wakamatsu pour l'un des cinéastes japonais les plus importants des dernières décennies ne trouveront guère qu'une poignée de scènes à sauver.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Un film terne, théâtral et solennel qui peine à rendre justice à son sujet, se complaît dans l’évocation du contexte politique des années 1960 et n’atteint jamais la puissance des grands films précédents de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Ecran Large
par Simon Riaux
25 mai 2012 : Le jour où j’ai fait l’erreur de visionner un horrible docu-fiction de deux heures.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Fiches du Cinéma
par Christian Berger
Ce quasi-ultime opus du prolifique et inégal nippon laisse pantois : difficile en effet de faire plus vide de toute idée de cinéma, plus ringard côté interprétation...
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Monde
La savante juxtaposition de plans d'archives et de reconstitutions de fictions reproduit l'opposition entre l'action (...) et l'impuissance. Ainsi se poursuit la réflexion commencée par united Red Army.
Positif
A travers le destin d'un artiste et d'un pays déboussolé, Wakamatsu, cinéaste militant à l'automne de sa vie s'interroge avec son personnage (...) un dernier plan éblouissant répond à la question.
Transfuge
Wakamatsu réalise un grand film, à la fluidité classique, aux couleurs étouffées (...)
Critikat.com
(...) à l’instar de United Red Army, sorti en 2005, le regard porté par le cinéaste dans ses derniers films sur cette période agitée que furent les années 1960-70 se révèle être d’une intelligence critique rare.
L'Humanité
Remettant en scène cet épisode tragique après avoir montré la progression politique de l’écrivain et la constitution de son armée, Wakamatsu le restitue sans aucune fioriture, avec une intensité frontale.
Paris Match
Un film extrêmement rigoureux, asséché de toute émotion ou empathie pour l’écrivain Yukio Mishima. Le film peut aussi s'apprécier comme une réappropriation de l'histoire japonaise, loin du lyrisme de l’œuvre de Paul Schrader.
aVoir-aLire.com
Avec peu de moyens, mais avec une belle conviction vissée au cœur, Koji Wakamatsu signe une œuvre politique majeure faisant un bilan peu reluisant de l’activisme des années 70, qu’il soit de droite ou de gauche. Implacable.
Cahiers du Cinéma
Sans pour autant proposer une réconciliation avec les adversaires d’antan, Wakamatsu les associe à ses propres compagnons d’armes, jeunes gens idéalistes consumés par leur révolte.
Les Inrockuptibles
Le 25 novembre 1970, Mishima, à la tête d’un groupe paramilitaire qu’il avait créé, le Tatenokaï, prend en otage le général en chef de l’armée de défense nippone et tente de soulever les recrues. Il échoue et décide de se suicider (...) C’est le processus menant à ce geste radical que décrit sèchement et crûment Wakamatsu – épisode déjà illustré, soit dit en passant, par Paul Schrader dans son film Mishima. Wakamatsu restitue à cet épisode son caractère fantasmatique d’une façon plus aiguë et clinique que Schrader.
Première
Le réalisateur s’attache à la démarche spirituelle et intellectuelle de ces extrémistes avec sérieux et une grande économie de moyens. On est quand même à mille lieues des enluminures baroques du "Mishima" de Paul Schrader
Télérama
Le cinéaste montre froidement le caractère absurde de sa cause perdue, tout en ne cessant de s'interroger, accordant aussi à sa démarche une certaine grandeur, fût-elle noire et suicidaire. Son film, dans sa ferveur déchirante, ne manque pas de séduire, surtout grâce à la performance d'Arata Iura qui, de manière stupéfiante, donne corps à ce singulier destin.
Libération
Cet ultime volet déçoit, tant la manière n’oscille ici, malgré quelques beaux éclats, qu’entre l’outrance et la platitude.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TF1 News
Même ceux qui tiennent Koji Wakamatsu pour l'un des cinéastes japonais les plus importants des dernières décennies ne trouveront guère qu'une poignée de scènes à sauver.
TéléCinéObs
Un film terne, théâtral et solennel qui peine à rendre justice à son sujet, se complaît dans l’évocation du contexte politique des années 1960 et n’atteint jamais la puissance des grands films précédents de son auteur.
Ecran Large
25 mai 2012 : Le jour où j’ai fait l’erreur de visionner un horrible docu-fiction de deux heures.
Les Fiches du Cinéma
Ce quasi-ultime opus du prolifique et inégal nippon laisse pantois : difficile en effet de faire plus vide de toute idée de cinéma, plus ringard côté interprétation...