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    Dans l'ombre de Mary - La promesse de Walt Disney
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    556 critiques spectateurs

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    Patricemarie
    Patricemarie

    43 abonnés 1 280 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 mars 2014
    C'est une double histoire (deux histoires superposées) vraie ! Pas très intéressant, d'autant que la mièvrerie Disney a encore frappé cette pauvre femme.
    Elle a tout de même dénoncé l'angélisme des films Disney, conduisant à des générations angéliques et manipulables. Le film la décrit évidemment comme une mal lunée traumatisée, rentrant dans le rang et finalement cautionnant cette vision Disney du monde.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 5 mars 2014
    Dans l'ombre de Mary se vante de nous raconter la genèse de la réalisation de Mary Poppins, certainement l'un des plus grand classiques des studios Disney. Cependant voilà, il est difficile de voir ce film autrement que comme une énorme propagande pour les studios. On se doute très bien que pour les raisons de cinégénie, les films inspirés d'un histoire vraie sont romancés, on prend des raccourcis, c'est souvent indispensable. Ici, on nous raconte l'histoire de la collaboration entre PL Travers, vieille fille acariâtre, coincée et imbuvable et de Walt Disney, le saint, l'avant-gardiste, et le protecteur, on nous raconte comment il s'est plié en quatre pour satisfaire les exigences de l'auteure. La vérité est quelque peu différente. Travers était pourtant une femme très en avance sur son temps, voyageuse, aventurière, bisexuelle et mère d'un garçon (qui est totalement évincé du film pour appuyer la froideur du personnage joué par Emma Thompson). Disney était réputé pour sa tyrannie, son racisme et son appartenance à la Franc Maçonnerie, il aurait harcelé l'auteure pendant près de 20 ans, et n'aurait jamais fait le moindre effort pour la contenter dans l'adaptation. De même, spoiler: la père de Mrs Travers est décédé de la grippe lorsqu'elle avait 7 ans, fait supprimé de l'histoire afin de pouvoir y insérer la démarche de deuil permise par la réalisation du film.

    Oui, j'ai ris et j'ai pleuré pendant le film (principalement grace à la géniale Emma Thompson), je me suis aussi sentie manipulée. Pendant deux heures on nous montre l'histoire qu'on aimerait voir, pour nous parler d'un film dont les musiques nous replonge toutes dans une nostalgie de l'enfance. Au final, c'est surtout l'histoire d'une femme avec une intégrité artistique qui cède face à la pression d'une puissante multinationale.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 6 mars 2014
    Dans l’ombre de Mary...Mary, c’est Mary Poppins. Le pitch ? La relation entre Walt Disney et l’auteure du célèbre livre, Pamela Travers. Une relation de vingt ans car cette dernière a mis longtemps avant de céder enfin les droits...elle refusait que Disney en fasse un film d’animation, qu’il utilise la couleur rouge, qu’il fasse appel à tel ou tel comédien, en un mot : une chieuse. Le film narre le voyage de Travers à Hollywood, et les négociations entre les deux parties pendant quelques semaines. On suppute que Pamela Travers cache un secret lié à l’enfance, que c’est LA raison pour laquelle elle bloque tant, mais nous savons que le film finira finalement par se faire, et qu’un spectateur normalement constitué aura tout capté à la seule vision de la bande annonce.
    J’ai quand même été voir le film...parce que j’aime Emma Thompson et qu’elle est une fois de plus parfaite. Tom Hanks en fait des caisses, et s’en sort plutôt bien dans le rôle de DIsney, mais ce sont les second rôles qui sont très réussis : Paul Giammati, Jason Schwartzman, Colin Farrell, qui sont formidables.
    Le film ? Plus classique tu meurs ! Un peu nunuche. Très américain. Ce n’est pas un chef d’oeuvre, mais ça se laisse voir sans effort.
    conrad7893
    conrad7893

    306 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 mars 2015
    spoiler: Un film qui nous raconte comment wall disney, après 20 ans d'essai, a réussi a faire accepter à l'auteur de Mary POPPINS , personne exigeante, têtue et bornée, d'adapter son célèbre roman dans ses studios en californie
    .
    Le duo d'acteurs fonctionne bien mais le film reste très simple et fragile .
    aurait pû être beaucoup mieux;
    Requiemovies
    Requiemovies

    211 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 février 2014
    Dans l’ombre de Mary-La promesse de Walt Disney (Saving Mr. Banks en V.O), titre éminemment long, résume presque à lui seul le film. Autant prévenir tout de suite le spectateur, au lieu de prendre lieu et place dans le royaume du rêve et de l’imaginaire, l’histoire qu’on compte lui narrer est plus proche du mensonge et de la manipulation.
    (...)
    Avant de poser un regard critique sur le film il convient un peu de détourer le contexte. Cela fait maintenant de nombreuses années que les studios surfent sur la vague des biopics et films historiques. A tout va, sans réel intérêt parfois, ce genre en soi est devenu une vraie filiale rentable pour les studios, à défaut de rendre un bel hommage. Dans les rares échappées de qualité, surnage de nombreux films sans intérêts sinon de ramener un public en salle sous le seul nom d’un personnage principal.
    (...)
    C’est en effet un réel problème. On peut bien sûr se permettre de réaliser une telle œuvre mais la première chose à faire serait d’en faire la promotion avec cet argument. Or, ici, par omission caractérisée, c’est un film embellit faisait fi des polémiques et du masque qui cachait la réelle personnalité du seigneur Walt. En même temps, ne pas s’offusquer quand ce biopic est produit par le studio même. Il sera d’ailleurs probablement difficile de voir un vrai biopic sur cet icône du film d’animation, honnête et réelle cette fois, en raison des droits d’adaptation conservés probablement à vie par la firme.
    Il faut donc faire avec et découvrir Dans l’ombre de Mary-La promesse de Walt Disney pour ce qu’il est, difficile certes en sachant tout cela. Quand bien même.
    Et bien, rien, il ne reste plus rien d’intéressant dans ce film. L’histoire étant partiellement sinon totalement fausse il ne reste plus rien à découvrir. La mise en œuvre et la production de cette adaptation est bâclée dans une mise en scène qui peine à prendre son envol. On reste attaché à une éternelle répétition de lieux (salle d’écriture, appartement de l’auteure…) sans vrai engagement. En plus de supporter une mise en scène soporifique il faudra s’accommoder de raccourcis sans finesse, d’une musique tire-larmes et d’un manque cruel d’objectivité. Dur.
    (...)
    Dans l’ombre de Mary est donc un film «pour public averti». Averti du mensonge qu’on lui délivrera sur près de 2 heures. Cela enlève un peu de magie au monde de Mickey mais le studio-producteur prend soin de nous donner uniquement ce qu’il voudrait qu’on retienne, pire réinvente la réalité dans un emballage identique à « tiré d’une histoire vraie ». Sur ce fait, et avant tout par la faiblesse du film autant par son rythme que dans sa mise en scène paresseuse, ne mérite pas le détour. On a d’ailleurs l’impression de nous mentir sciemment et d’enlever une part de la magie de l’Empire Disney. En résulte uniquement l’envie de revoir Mary Poppins, l’original, pour ce que le film nous avait offert à l’époque, du rêve, de la magie avec nostalgie. L’opposé d’une manipulation mercantile en somme.
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein

    137 abonnés 543 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 mars 2014
    Retour en fanfare dans le passé de Disney, qui raconte l'histoire de la créatrice de Mary Poppins, qui à refusé pendant vingt ans l'adaptation de son bouquin. Emma Thompson, parfois bouleversante, délivre une assez bonne interprétation. Elle sait se faire aimer du spectateur mais aussi l'énerver. Seul problème : la mise en scène, poussive et étouffante, des flash-back. Une dizaine en parcourt tout le film. Longs, répétitifs, et emmenés par un Colin Farrel endormant, ce sont eux qui font perdre à la réalisation son rythme effréné, balisant (presque) chaque scènes par une petite blague à l'humour noir. Sauf que voilà, à force de répétition, le rire s'essouffle pour devenir un sourire agacé sur le visage ensommeillé du spectateur.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 9 avril 2014
    Un film de Disney qui présente Disney comme un homme généreux, talentueux, désintéressé, honnête, etc... Bref, un film "publicitaire" sans grand relief.
    Truman.
    Truman.

    234 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 mars 2014
    Un pur produit de cinéma à l'Américaine faussement triste ou joyeux, moralisateur et ringard dans un amas de niaiserie et de lourdeur .
    Dès le début je l'ai mal sentis, le personnage de P.L. Travers est une catastrophe monumental qui m'a dégouté du film .

    Pour vous situer c'est le genre de personnage que l'on montre au début bien méchant et au fil des minutes elle devient gentille, on est vraiment censé s'attacher à ce personnage ? Non car moi je l'ai trouvé insupportable de bout en bout .
    J'y ai vu une vieille aigri, frustrée, mal baisée qui passe ses nerfs sur tout le monde, un personnage aussi antipathique ne mérite pas la moindre attention du spectateur, c'est juste atroce et gerbant !

    Voilà le gros point négatif qui m'a plombé le film, un personnage que je n'ai pas pu saquer une seule seconde, c'est dommage car j'ai trouvé l'histoire intéressante, la réalisation correct malgré un trop plein de luminosité façon publicité Danette et des acteurs maquillés comme des camions volés .
    Le maquillage est assez ridicule, un des frères Sherman semble être un travesti, Tom Hank semble sortir d'une séance de lifting et a une tête d'handicapé, c'est marrant au moins .
    Et l'enfance de la vieille on s'en fout un peu c'est vraiment un prétexte pour montrer Colin Farrell et balancer un faux coté sentimentale a deux ronds qui n’est jamais touchant .

    Donc si l'histoire vous intéresse, que vous aimez Disney et Tom Hank lancez vous, sinon je vous conseille plutôt de faire un tour dans une maison de retraite ou les vieux ne sont pas torchés depuis une bonne semaine et ça aura le même effet, ils vous gueuleront dessus alors que vous n'y êtes pour rien et vous aurez envie de les éclater !
    lionelb30
    lionelb30

    448 abonnés 2 609 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 mars 2014
    Une premiere partie assez lente , pas tres passionnante et tres academique mais compensee par une seconde plus enlevee et emouvante qui revele le pourquoi des personnages de mary poppins.
    Jean-philippe N.
    Jean-philippe N.

    109 abonnés 925 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 janvier 2014
    Un film plutôt bien réalisé et interprété par des acteurs et actrices confirmés, à la gloire de l'un des plus grands visionnaire US du XXème siècle et de sa muse old-school d'origine Australienne, une vieille fille psychorigide, névrosée et probablement lesbienne, sur ce qu'il convient d'appeler le divertissement de masse. Outre l'intérêt discutable - en dehors du désir mercantile de canonisation du créateur de l'un des plus grands empires capitaliste planétaire par certains de ses ayants-droit actuels - de faire un film sur un film aussi célèbre soit il, et peut-être à cause de cela, on peut se demander ce que serait devenu le monde d'aujourd'hui sans cette vision ayant conditionnée des centaines de millions d'individus, principalement des filles, mais pas que, à travers l'éducation, la normalisation et le gommage ethnique des mythes ainsi que la libéralisation de la (pop)culture. On dira ce qu'on voudra, mais faire croire à des générations entières d'enfants que les fées, le père noël, le mariage et "l'amour jusqu'à la fin des temps" (avec un(e) partenaire unique) et autres happy-end à la con sont choses normales dans leur prime jeunesse, les mèneront irrémédiablement à de terribles désillusions conditionnant elles-mêmes l'éducation de leurs progénitures. Ne serait ce pas ce que l'on appelle la décadence? Pour exprimer le fond de ma pensée et être parfaitement clair, "Saving Mr Banks" est un pur produit de propagande pro-pensée unique US quoique, pour une fois, non militariste...
    dougray
    dougray

    244 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 avril 2015
    Alors que la mode du biopic sévit à Hollywood depuis de nombreuses années (en assurant, souvent, un oscar à son réalisateur et à son interprète principal…), il parait invraisemblable qu’aucun producteur n’ait encore mis en chantier un film sur Walt Disney. Dès lors, la perspective de voir, sur grand écran, un pan (même minime) de la vie du grand homme qui a tant fait rêver les enfants apparaît comme une mince consolation… mais comme une consolation quand même ! Car, on a beau avoir écrit un tas de chose sur ce brave Walt (dont il ne sort pas toujours grandi), il reste une icône synonyme de bonheur et d’insouciance qui fait un bien fou. Et quel choix surprenant de s’attaquer à un moment méconnu de la carrière de Disney, à savoir la pré-production difficile du film d’animation Mary Poppins. On découvre, ainsi, qu’avant d’être un film, Mary Poppins est un livre écrit par Pamela L. Travers, une femme d’une terrifiante froideur qui a refusé pendant des années de céder les droits de son œuvre à Disney, qu’elle considérait comme un pitre qui dénaturerait des personnages. Les scènes d’affrontements verbaux entre Travers et Disney font partie des scènes les plus amusantes du film, tout comme le dégoût de l’auteure pour l’univers de Mickey et ses amis (voir la réplique visant Winnie l’Ourson). Les adorateurs de Mary Poppins (dont je ne fais pas vraiment partie) seront, en outre, ravis des nombreuses références faites au film, que ce soit l’évolution du scénario au gré des exigences de Travers, les discussions houleuses autour des images d’animation ou la composition de la musique par les frères Sherman. Mais, plus que la genèse de Mary Poppins, c’est surtout la tragique histoire familiale de la rigide Pamela L. Travers qui est au centre du film. Il faut dire qu’elle a vu, très jeune, des choses qu’un enfant ne devrait jamais voir spoiler: (la déchéance de son père alcoolique puis sa mort à petit feu, la tentative de suicide de sa mère…)
    et s’est visiblement inspiré de bon nombre de ses souvenirs spoiler: (et de l’arrivée providentielle d’une tante aux allures de Mary Poppins)
    pour écrire ses livres. On comprend, ainsi, que "Mary Poppins" n’est pas tant un film sur une nounou anglaise qui vient aider des enfants qu’une spoiler: déchirante déclaration d’amour d’une fille à son père qu’elle idolâtre et qu’elle a vu sombrer.
    Certaines scènes ne manqueront, d’ailleurs, pas de secouer spoiler: les pères de petites filles
    … même si, malheureusement, le film rate un peu le coche de l’œuvre bouleversante qu’il aurait pu (aurait dû !) être avec une telle histoire. La faute en incombe essentiellement au réalisateur Jonh Lee Hancock, qui se contente d’une mise en scène très académique… alors que l’intrigue est une succession d’aller-retour temporel entre la jeunesse de l’auteure et les négociations avec Disney, procédé propice à l'imagination mais qu’il peine visiblement à maîtriser. Le film souffre, en outre, d’un rythme bien peu efficace et d’une durée déraisonnable (plus de 2 heures !) accentuée par une fin qui parait rajoutée à la dernière minute. On peut, également, reprocher au scénario de se montrer un peu trop léger sur les changements d’avis de Pamela L. Travers qui, bien qu’elle soit partie pour tout refuser (y compris le principe même d’une adaptation par Disney), finit par accepter des trucs pourtant inenvisageables pour elle (à commencer par les chansons !). Ces défauts viennent considérablement entamer le plaisir et, surtout, le potentiel formidable du pitch. Heureusement, il reste les acteurs principaux (les seconds rôles, comme Paul Giamatti, Bradley Whitford ou Jason Schwartzman, ne déméritant pas mais n’ayant pas grand-chose à se mettre sous la dent) avec une Emma Thompson, impeccable de sévérité, un Colin Farrell inattendu en père aimant mais alcoolique, Ruth Wilson très bien en mère au bout du rouleau et, bien évidemment, le formidable Tom Hanks qui apporte toute son humanité au personnage de Walt Disney. A ce titre, bien que l’icône soit, dans l’ensemble préservé (l’adaptation de "Mary Poppins" est une promesse faite à ses filles, le côté self-made man parti de rien est mis en avant, il est présenté comme un patron parfait…), Walt Disney est, également présenté sous un jour moins reluisant (menteur, manipulateur, lâche…) même si ses défauts sont limités à l’extrême et toujours justifiés par un motif plus ou moins valable. Il reste, ainsi, le personnage sympathique du film face à la revêche Pamela L. Travers (dont le comportement est justifié par son passé). Bref, "Dans l’ombre de Mary" avait tout pour être un excellent film… s’il avait été confié aux soins d’un réalisateur un peu plus ambitieux ou, tout simplement, un peu plus adroit. Dommage…
    Franck L
    Franck L

    46 abonnés 1 171 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 mars 2014
    Un peu lent mais histoire touchante. Ne pas regarder si on aime l'action. Très bien joué...
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 395 abonnés 4 246 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2016
    Dans l’ombre de Mary raconte la genèse du Mary Poppins de Walt Disney. C’est donc avec curiosité qu’on découvre la difficile collaboration qu’ont eu le papa de Mickey et l’auteur du livre Pamela Lyndon Travers. On apprend donc avant tout ce qui se cache derrière la fameuse nounou qui vole. Mais à trop vouloir entrer dans les codes de Disney, John Lee Hancock n’arrive pas à choisir le bon ton. On se retrouve alors dans un mélo extrêmement plaintif qui cherche absolument à nous faire verser notre larme. Le spectateur n’est pas dupe, à trop se sentir manipuler il fuira devant ces instances et n’aura qu’une hâte, que le film se termine pour aller voir le vrai Mary Poppins. Quant aux personnages, ni Tom Hanks, ni Collin Farrell n’arrivent à fédérer. On retiendra seulement une plutôt bonne prestation d’Emma Thompson en écrivaine impassible et un Paul Giamatti en chauffeur réellement sincère. Dans l’ombre de Mary – La Promesse de Walt Disney est un drame abusif qui a seulement le mérite de nous apprendre quelques éléments sur le véritable chef d’œuvre de Disney.
    D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    302 abonnés 2 854 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 février 2015
    Le portrait d'une femme libre et indépendante, au caractère fort. Pour le reste, pas grand chose à retenir d'une histoire qui ne méritait peut-être pas un film. A moins d'être un inconditionnel du film de Disney. Je reprocherais à ce film de rester à la surface, en ne présentant qu'une partie superficielle de la personnalité des personnages. Et ce malgré l'interprétation de Walt Disney par Tom Hanks. Le plus intéressant finalement, c'est de voir la façon dont une œuvre est mise en forme, et tous les enjeux financiers autour. J'ai surtout retenu la création des musiques, qui donne lieu à des scènes relativement cocasses.
    Arlette et les mécanos
    Arlette et les mécanos

    72 abonnés 560 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 juin 2014
    Que de critiques élogieuses pour un film si classique dans son traitement, si banal, bien américain. Un produit bien fait, bien lisse telle la copie du premier de la classe. Un sujet qui ne valait pas ces presque 2 heures de film raison pour laquelle sans doute une place surdimensionné est donné aux flash back qui, en outre, n'expliquent en rien la nature psycho-rigide de P.L Travers. Ce biopic reste néanmoins de meilleur facture que le déplorable, que l’affligeant Hitchcock.
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