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    Pas son genre
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    RENEE D.
    RENEE D.

    17 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 juin 2014
    J'ai adoré du début à la fin.J'ai été touchée par cette histoire. On sait que leur relation n'est pas possible mais on espère quand même. Excellents acteurs.
    icniv
    icniv

    15 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 mai 2014
    qui est le vrai philosophe ? Une actrice exceptionnelle, un acteur subtil, une histoire simple, un grand film. Dommage que la fin soit la fin alors que c'est là que ça commence à devenir intéressant, à devenir de l'amour.
    A voir.
    Sophie B.
    Sophie B.

    26 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mai 2014
    Une comédie romantique drôle et intelligente à l'image de Jennifer Émilie et craquante comme Clément Loic...
    Finderic
    Finderic

    10 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 août 2021
    Lucas Belvaud réussit l'énorme défi d'intéresser, d'émouvoir et de faire réfléchir à un sujet qui s'annonçait pourtant ultra-previsible : un jeune intello parisien qui s'éprend de la jolie coiffeuse d'Arras... C'est la première fois qu'un "mélo" me captive et me touche. Cela grâce à l'énorme qualité de jeu de Loïc Corbery et plus encore d'Emilie Dequenne (qui mérite un prix d'interprétation pour ce rôle). Grâce à la justesse de ton de Belvaud, pour filmer les relations sociales, tant à Arras qu'à Paris. Et à la très grande qualité de la mise en scène et la finesse de son approche du sentiment amoureux. Excellent film !
    allegrion
    allegrion

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 mai 2014
    J'attends la fin de l'année 2014 avant de trancher définitivement, mais ce film est peut-être le pire de l'année. L'intrigue, que je trouve pour ma part charmante, est mise en pièce par une Émilie Dequenne candide et ingénue à outrance, comme si, sous prétexte qu'elle a grandi et vécu à Arras, son horizon intellectuel et émotionnel s'en trouvait réduit. En face, Loïc Corbery (DE LA COMÉDIE-FRANÇAISE, s'il vous plaît) joue une partition monochrome pour dissimuler la profonde hypocrisie de son personnage.

    Ce film, qui se veut une critique à l'encontre d'un élitisme parisien, ne fait que ressasser des clichés éculés avec des comédiens aux intentions peu justes, voire totalement farfelues. Avec en guest star spoiler: les larmes de Kathy, la collègue de Jennifer, qui interviennent dans un final à pleurer (de rire, j'étais vraiment plié en deux)
    .

    Le personnage de Clément a fichtrement raison quand il explique pourquoi il ne peut vivre qu'à Paris, celui de Jennifer est plus juste encore sur le fait que les femmes savent mieux que les hommes décrire ce que vivent les femmes. Lucas Belvaux, si vous lisez ces lignes, apprenez spoiler: qu'aucune femme ayant lu les romans d'Anna Gavalda ne s'aventurera à appeler « chaton » et à dire « je t'aime » et « tu es l'homme de ma vie » à un homme qui n'en a cure ou n'a pas daigné répondre à son premier « je t'aime ». Et comment une femme qui cherche un père pour son fils pourrait-elle se contenter de se faire sauter dans une miteuse chambre d'hôtel ?


    J'ai beaucoup ri pendant ce film, toujours au détriment des personnages et des comédiens. C'était à la fois épouvantable et hilarant. Mais plus jamais ça, s'il vous plaît.
    Valerie N
    Valerie N

    12 abonnés 208 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mai 2014
    Bouleversant ! je suis sortie de la séance l'estomac noué, "mal aux tripes" tellement j'étais dans la peau de Jennifer. Le réalisateur fait un tour de force en nous plongeant dans la tête des personnages. On est Jennifer, on souffre pour elle. Emilie Dequenne est impressionnante, fantastique actrice, j'espère qu'elle nommée aux césars, comme le film et l'acteur Loic Corbery dont on se demande toujours ce qu'il a dans la tête.
    Les dialogues sont vraiment très bien écrits et certains échanges verbaux autour de la philosophie sont des moments de pure poésie.
    Eslenya
    Eslenya

    10 abonnés 212 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mai 2014
    Un joli film servi par deux excellents acteurs. Un film à la fois vrai et frais dont rien ne laisse présager la fin.
    Un bon moment de cinéma.
    djacno T.
    djacno T.

    36 abonnés 858 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 mai 2014
    Un film entre ringardise et bobo-attitude qui ennuie profondément. Les acteurs surjouent. L'ensemble manque de sincérité et de crédibilité.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 15 septembre 2014
    Pourtant très bon public en général, j'ai trouvé ce film insupportable... la punition du dimanche soir... des clichés qui s'accumulent, des lenteurs invivables... ok, elle chante, mais toutes les chansons en entier?? vraiment ? fallait gagner des minutes ? on ne croit pas une seconde à l'histoire, on se demande où ca peut bien aller, jusqu'au moment où on se rend compte que ça ne va nulle part...
    Peut-etre avec beaucoup d'alcool, ça peut passer, et encore..... oubliez!
    Christophe L
    Christophe L

    8 abonnés 378 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mai 2014
    Il y a plein de bonnes choses dans le tout nouveau film de Lucas Belvaux qui s'attaque à la passion et la déception amoureuse. Comment faire cohabiter deux êtres alors que rien ne les rassemble, à part l'amour ? Emilie Duquesne est impressionnante. Les passages musicaux sont bluffants et sa joie de vivre très communicative. Loïc Corbery de la comédie française tient parfaitement, à l'inverse, la démesure de sa nonchalance. On a bien compris ce que le réalisateur cherchait à démontrer, voir un peu trop. Le thème reste quelque peu sur-exploité et certains passages auraient mérité plus de finesse...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 avril 2014
    Allez d'urgence voir ce film... C'est un film émouvant et drôle, même très drôle à certains moments et touchant... Bref, il n'y a pas assez d'adjectif pour le décrire. Tout ce que je sais c'est que c'est un chef-d’œuvre et que vous ne serez pas déçu! Bon film!
    FaRem
    FaRem

    8 371 abonnés 9 342 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 septembre 2014
    Après "38 Témoins" un film que je n'avais absolument pas aimé Lucas Belvaux revient avec un film qui m'a laissé craindre le pire pendant 15/20 minutes et pourtant c'est tout l'inverse qui s'est produit. J'ai vraiment adoré ce film tout en simplicité avec l'histoire d'amour entre ces deux personnes que tout oppose avec la coiffeuse qui aime les choses simples et le professeur de philosophie un peu bobo sur les bords mais sans jamais tomber dans le cliché pour l'un comme pour l'autre, hormis ces différences sociales il y a une autre chose qui les différencie, leur vision de l'amour et c'est surtout sur ça que va se concentrer l'histoire. Ce film arrive à nous faire rire, à nous toucher et même à nous surprendre jusqu’à la dernière minute et c'est un gros point positif dans ce genre de film. Si j'ai beaucoup aimé ce film c'est aussi en grande partie grâce à Emilie Dequenne qui est tout simplement superbe je veux pas revoir à la baisse la prestation de son partenaire mais elle illumine l'écran et c'est la seule à nous faire partager des émotions.
    ffred
    ffred

    1 655 abonnés 4 004 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 mai 2014
    Après quelques films très noirs, Lucas Belvaux (Rapt, 38 témoins) se tourne vers la comédie romantique. Enfin, c'est ce que laisse entendre la bande-annonce. Le philosophe parisien rencontre la petite coiffeuse d'Arras. En grattant un petit peu, ce télescopage de deux mondes, ceux de Kant et de Jennifer Aniston, rencontre de deux êtres que tout oppose, va très rapidement s’avérer être presque aussi...
    vidalger
    vidalger

    311 abonnés 1 240 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 juin 2014
    Après "38 témoins" qui ne nous avait pas vraiment convaincu, Lucas Belvaux nous donne dans "Pas
    son genre" une petite leçon de cinéma. Bien aidé par un scénario très proche du roman adapté, et surtout par un couple d'acteurs époustouflants de naturel, il nous plonge dans ce qu'on devine être rapidement la chronique d'un drame annoncé. Émilie Dequenne, éblouissante en amoureuse blessée par la vie et qui veut encore croire au grand amour, confirme de film en film qu'elle a une réelle intelligence des rôles qu'elle interprète. La description d'une petite ville de province avec tantôt les yeux d'un Parisien intellectuel passablement coincé et tantôt ceux d'une coiffeuse provinciale aux distractions plus populaires, ne revêt pas l'aspect caricatural et méprisant qu'on aurait pu craindre. Les images de Belvaux sont marquées d'un classicisme de bon aloi mais on aurait apprécié un peu plus d'originalité dans le mouvement de la caméra ou les enchaînements afin de ne pas confondre certaines scènes avec des échantillons de "plus belle la vie". Bande-son superbe.
    Ewen Blake
    Ewen Blake

    147 abonnés 1 183 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 juin 2016
    Même s'il s'agit d'une histoire d'amour, qualifier le film de Lucas Belvaux de comédie romantique semble bien saugrenue quand tout son propos (et le simple fait d'en avoir un le distingue de biens d'autres comrom) l'oppose aux modèle du genre, Pretty woman et autres contes Disney qui nous font croire que l'amour est plus fort que tout. Dans Pas son genre, l'amour est un jeu qui se joue à deux et à la fin c'est le déterminisme social qui gagne.
    Je n'avais pas vu un aussi bon film sur les couples séparés par leur milieux depuis La Vie d'Adèle. Mais l'incompatibilité socioculturelle se double ici d'un décalage sentimental car ce couple est différent jusque dans sa façon d'aimer. Clément d'abord est difficile à cerner : son amour de la littérature est tel qu'il vit autant sa vie dans ses lectures que dans la vie réelle. Il est prisonnier de son éducation et de ce qu’il est mais il a également de vrais lacunes affectives, des difficultés à sociabiliser et au-delà de son indéniable lâcheté, est incapable de verbaliser ses sentiments et de s’engager car aimant uniquement dans le présent. Pour autant il s’intéresse sincèrement à Jennifer, l'écoute sans la mépriser. Il serait injuste de n'en faire qu'un salop profitant de Jennifer mais pour autant il n'envisage jamais faire sa vie avec elle, à aucun moment il ne lui dit je t'aime, ou n'accepte de rencontrer son fils ce qui serait une étape supplémentaire dans son engagement. Son refus de la présenter devant sa collègue est symptomatique de l'ambivalence de son comportement et de sa lâcheté. Et c'est sa tragédie car il a tout de l'homme bien.
    Si pendant la séance je me suis davantage reconnu dans Clément, de façon surprenante, je développais plus d'empathie pour Jennifer. Car Jennifer incarne une vraie, belle femme. Normale mais tellement positive : elle aime son job, sort avec ses amis, sait aimer. La bonne idée de Philippe Vilain c'est qu'elle est à la fois simple avec pour principale ambition d’être heureuse mais qu'elle n'est pas conne pour autant (en témoigne son choix final). Elle est de plus entière et s’offre totalement dans sa relation même si celle-ci semble vouée à l’échec dès le départ. Elle n'attend pas le bonheur, elle le construit. Bien davantage que Clément (qui est presque spectateur / analyste de son propre couple) elle est moteur dans la relation et s'efforce de fixer leur amour par exemple en essayant de lui faire rencontrer son fils. Elle tente également de se faire désirer, de susciter une réaction chez ce philosophe dont les ailes de géant l'empêche d'éprouver des sentiments, d'aimer tout simplement. Elle est généreuse et aime les choses pleinement, entièrement et c'est cet engagement qui confère une certaine noblesse à ses choix. De la même façon sa façon de toujours se montrer maquillée, coiffée, jolie. Cela pourrait paraître de la coquetterie, une perte de temps voir une marque de superficialité ou de narcissisme mais pas chez elle. C’est plutôt une forme de respect d’autrui, par politesse, pour donner une belle image d’elle-même. Si on veut aller plus loin on peut aussi se dire que se teindre en blonde décolorée c'est une volonté de plaire, de fabriquer une image destinée à plaire aux désirs supposés des hommes.

    Ce que j'ai aimé dans ce film sur les différences sociales c'est que je n'ai pas eu l'impression de regarder des clichés même si les marqueurs sociaux sont nombreux. Les noms des personnages (Jennifer vs Clément), leurs villes respectives (Paris vs Arras), leurs goûts musicaux (Opera vs karaoke), leurs vêtements ou leurs lectures sont des stéréotypes certes mais finalement assez fidèle à leurs réalités respectives. Ils correspondent à leur milieu sans être caricaturaux. J'ai également beaucoup aimé le traitement de la culture dans ce film. Aujourd'hui (et c'est à mon avis nouveau et inquiétant) on affiche fièrement son inculture, pire on la revendique si bien qu'elle devient une source de célébrité (cf. la chroniqueuse au shampoing). Ce qui était un des rares moyens de transcender les classes sociales (avec le sport) devient un autre moyen de cliver les gens, les diviser. Certaines classes sociales s'auto excluent ainsi de certains loisirs (Opéra, musée, roman...) parce que cela n'est "pas pour eux". Les films d'auteurs, les intellos ou les Bobo sont maintenant des termes péjoratifs pour une partie de la population. Et c'est affreux parce que de facto cela signifie que les classes sociales supérieures se sont appropriées tout un pan de l'art qui par définition devrait être accessible à tous. Je crois que l'on peut s'élever par l'art, la culture et pas seulement par le pognon car c'est ce qui célèbre la vie nous fait vibrer et finalement nous rend humain. Je m'égare et avec un niveau littéraire qui ne fait pas honneur au thème que je défend mais toujours est il que Jen, elle, sans avoir honte de son inculture (et c'est tant mieux) s'intéresse aux goûts de Clément aux nouveaux horizons et possibilités qu'il lui rend accessible et desquels elle s'approprie certains éléments. Les barrières sont néanmoins hautes et l'on voit qu'elle n'a tout simplement pas les bases suffisantes, les clefs de lecture nécessaires à la pleine compréhension (mais qui peut s'en prévaloir ?) de certaines œuvres. Ainsi sur Zola où elle ne s’intéresse qu'à la qualité de l'histoire et non à ce que l'histoire raconte de l'époque, des personnages. (Le réalisateur fait d'ailleurs une habile mise en abîme puisque Zola raconte dans Le Bonheur des Dames l'amour du Directeur pour une... de ses vendeuse sans le sou). C'est cette volonté d'apprendre qui la rend si touchante et cette scène au bar, si cruelle. L'autre élément qui ne peut que susciter l'empathie c'est qu'on sent qu'elle prend du recul sur sa vie et ses choix passés. Elle s'aperçoit que ce qui rend leur amour impossible c'est qu'ils n'arriveront jamais à se rencontrer intellectuellement. Tous deux sont pourtant intelligents, amoureux, libres de contraintes extérieures et indépendants financièrement. Mais une fois encore le fossé culturel, la fracture sociale est trop haute. J'ai donc trouvé ce film très intelligent dans la construction des ses personnages mais aussi lors de certaines scènes particulièrement astucieuses. Ainsi les scènes d'amour ne sont tournés que sur les visages. J'ai trouvé cela intéressant car éviter de filmer les corps et se focaliser sur les têtes c'est traduire par la mise en scène, le choix de caméra, le rapport sexuel comme un choix réfléchit plutôt qu'une pulsion hormonale. Et c'est brillant car là encore c'est montrer la maturité de Jennifer qui d'ailleurs préviens Clément que "les aventures" ne l’intéresse plus. J'ai aussi aimé l'idée de traduire (même si c'est peu subtile) l'état émotionnel du moment de Jennifer à travers ses interprétations au karaoké. Les scènes sont d'autant plus réussis que les performances sont convaincantes. En bref, un film qui traite très bien son sujet et est tout aussi réussi (et c'est rare) que le livre dont il est tiré.
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