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    Le Chanteur de jazz
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    3,4
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    GodMonsters
    GodMonsters

    1 297 abonnés 2 645 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 octobre 2010
    Un film référentiel, vu que c'est le premier long-métrage parlant !! C'est très impressionnant si on se place bien dans le contexte historique. Sinon, visuellement c'est soignée, mais c'est surtout Al Jolson qui donne tout l'intérêt. A voir !!
    Caine78
    Caine78

    6 703 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2010
    Un film surtout célèbre parce qu'il est sensé être le premier film parlant. Mais il est vrai qu'en le revoyant aujourd'hui, il parait fortement daté, et son seul semble désespérément être qu'il est le premier film parlant. Toutefois, c'est plutot agréable mais il est vrai que le charme est bien passé.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    688 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 janvier 2023
    La réussite qui fit passer The Jazz Singer à la postérité est essentiellement technique, projetant le cinéma dans l’âge du parlant grâce à ses séquences chantées et à la tirade de Jakie ; pour autant, ni le scénario ni la mise en scène ne surprennent, appliquant à la lettre pour le premier la dialectique de l’affranchissement d’un fils, qui quitte le domicile familial pour voler de ses propres ailes, et de la repentance puisqu’il revient à New York, retrouve les siens et accepte de chanter le Kol Nidre, pour la seconde une illustration propre mais sans fulgurances – exception faite, peut-être, du montage cut sur des actions simultanées que nous retrouverons, par exemple, dans le cinéma de Damien Chazelle.
    Le film investit le milieu juif, qu’il confronte à l’industrie du spectacle pour mieux aboutir à un statu quo facile ; ce faisant, il témoigne d’une réalité culturelle qui veut que « dans l’Amérique des années 1930, le chantre allait devenir un intermédiaire spirituel entre monde religieux et monde du spectacle. L’immigration de masse s’était accompagnée du phénomène du vedettariat lié aux chantres de talent, que les synagogues en concurrence cherchaient à s’attacher par contrats et faveurs » (Véronique Perrin-Eleftériou, « The Jazz Singer, vecteur de la mémoire judéo-américaine ? », 2004). Or, Jakie ne se comporte pas autrement qu’en showman quand il anime la nuit du Pardon, appliquant une gestuelle spectaculaire tout droit venue de ses numéros musicaux, à la différence de son père ascétique et rigoriste ; attitude qui ne semble déranger aucun fidèle... Il n’est pas anodin, d’ailleurs, que trois exemplaires du talit soient achetés en cadeau audit père de famille : ce dernier portera celui que lui offre son fils renié qui « reviendra à la vie » lors de sa participation au Kol Nidre, en échange de son propre souffle vital.
    The Jazz Singer s’empare ainsi d’une matière juive, religieuse et plastique, confrontée à une modernité placée sous le signe de la libération des corps et des pratiques : il adopte une tonalité mélodramatique, appuyée sur l’attachement à la figure maternelle qui définissait le divertissement yiddish de l’époque. La répartition des chansons n’est pas non plus laissée au hasard : le premier chant est religieux, assuré par le père, tout comme le dernier, assuré par le fils ; la musique sacrée encadre l’œuvre, comme repentance certaine du jazz qui conduit Jakie à se peindre le visage en noir comme « ombre de lui-même » (selon les dires de Moisha Yudelson).
    Broadway, dans tout cela, apparaît tel un prétexte commercial qui tente le fils égaré mais qui n’aura raison ni de sa foi ni de sa dévotion aux siens. Il est associé, par bijoux interposés, à une activité illicite et dangereuse. Dès lors, le dilemme représenté n’en est pas un : nous savons pertinemment que le personnage se raccordera à ses origines ; il se résout en un claquement de doigts qui préfère le happy end à la réflexion sur les points de contact de deux mondes. Reste un divertissement efficace et techniquement innovant.
    Grouchy
    Grouchy

    123 abonnés 1 033 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 décembre 2009
    Nommé comme le premier film parlant de l'Histoire du septième art, le Chanteur de Jazz est, pour tout cinéphile qui se respecte, une référence à voir. Un beau mélange de muet et de parlant qui ne nous émmerveille plus aujourd'hui mais qui nous force à essayer de percevoir la claque qu'il a été à ce moment. Avec une histoire bien triste sur la question de la passion et des traditions, Al Jolson est très bon dans le rôle, sans ajouter qu'il fut joueur de jazz dans la vie réelle.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 23 février 2012
    Considéré comme le premier film parlant (plus chantant que parlant mais soit), Le Chanteur de jazz est un de ces films rendus cultes grâce à son caractère révolutionnaire. Un début timide pour le parlant, il faut dire que le film reste plus muet, avec intertitres et tout ce qui va avec. Mais le mixte entre les deux donne plutôt bien. Al Jolson est nickel, un chanteur pour incarner un chanteur, on aurait pu rêver mieux ! L'histoire semble de nos jours légèrement sirupeuse et désuète mais ça reste frais et sympa. C'est pas toujours facile de se remettre dans le contexte de l'époque pour pouvoir bien se rendre compte de la portée d'un film, pourtant ici on y parviendrait presque... Agréable et tendre moment, on ne perd pas son temps à le voir.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 16 février 2011
    Alternance entre d'assez bons passages et des mauvais. Un film avec du charme mais, au final, plutôt moyen.
    G 0 5 T
    G 0 5 T

    2 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 décembre 2021
    Un excellent film qui ma fait chanté et danser durant tout le long-métrage.
    Je pense que le film est largement sous côté par rapport a sa vrai valeur.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 149 abonnés 5 133 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 juillet 2015
    Un film magnifique d'une grande beauté. Les liens familiaux, le monde du spectacle et l'amour d'une mère qui donne lieu à des moments très émouvants. Une très belle histoire également
    Redzing
    Redzing

    1 115 abonnés 4 469 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 septembre 2010
    "The Jazz Singer" a pris un sacré coup de vieux, tant au niveau du montage et de la réalisation qu'au niveau du sujet. Car ce mélodrame autour d'un homme tiraillé entre le show business et son éducation religieuse se révèle assez sirupeux. Reste que la prestation de Al Johnson, véritable chanteur, demeure à voir, et que le film, connu comme le premier film parlant du cinéma, a un intérêt historique pour les cinéphiles.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 8 octobre 2013
    Considéré comme le premier long-métrage parlant de l'Histoire du Cinéma (chose qui n'est pas "vraie" à proprement parler puisque la plupart des scènes sonores couvrent uniquement les chansons durant métrage et que la seule scène parlante du film tient son existence d'une improvisation d'Al Jolson durant la partie de piano), "The Jazz Singer" tient son succès au fil du temps grâce à cette réputation. Même si le réalisateur Alan Crosland avait déjà tâté de l'enregistrement sonore avec son "Don Juan", le procédé Vitaphone ne fut que pleinement découvert avec "The Jazz Singer", sortant au passage la Warner de la faillite. A l'époque, les gens s'arrachaient les places pour aller voir ce "premier" film sonore. Mais passé le côté révolutionnaire de l'époque, qu'en est-il de ce "Jazz Singer" aujourd'hui? Rien de bien transcendant hélas. Le film se contente de raconter la simple histoire d'un gamin vivant dans une famille juif assez extrême dans leurs propos religieux, et qui finit par prendre la fuite de son domicile, suite à une altercation avec son paternel (le monsieur n'est pas content de voir son gosse chanter du jazz dans les lieux publics) pour espérer devenir chanteur de Jazz. Des années plus tard, après avoir réussi sa carrière, il revient au domicile pour espérer obtenir les louanges de sa famille. Fausse bonne idée, le père est toujours rancunier. Tout le film reposera là-dessus, sur une dualité entre la motivation de l'art en lui-même, et la famille (en passant par la religion). Le côté pathologique, soyons clair, est complètement désuet de nos jours et peut paraître ridicule. De plus, l'intrigue tient sur un papier WC tellement elle est simple. Non, ce qui sauve ce film du néant et qui le rend sympathique, c'est cette vision que l'on se fait aujourd'hui de toutes les séquences de chants ou le procédé Vitaphone fait des merveilles. La mise en scène et la qualité des musiques apporte un réel intérêt au film, de même que dans l'analyse du point de vue historique. "The Jazz Singer", si le fond de son scénario est mauvais, est tout de même regardable avec un œil analyseur sur ces séquences "parlantes" (plus chantantes que parlantes, enfin...). Cependant, même si il est intéressant d'analyser le film, cela ne suffit pas à en faire un chef d'oeuvre. Un film qui se situe dans la bonne grosse moyenne.
    Napoléon
    Napoléon

    142 abonnés 1 564 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 mai 2023
    Un film ultra vieillissant qui ne vaut le coup que pour son intérêt historique et son très bon Jolson délivrant de belles prestations musicales.
    Julien D
    Julien D

    1 198 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juin 2013
    Un film dont le dilemme moral s’axe sur le choix entre deux styles de musiques ne pouvait se faire sans l’invention du cinéma parlant, et c’est grâce à cette innovation révolutionnaire que Le chanteur de jazz est à jamais entré dans l’histoire du 7ème art. La musique est bel et bien le pilier scénaristique de cette histoire qui renvoie son personnage, interprété avec beaucoup de finesse par Al Jolson, face à l’opposition entre ses traditions familiales inculqués par un père juif orthodoxe et une ambition personnelle le poussant vers les lumières du music-hall. Malheureusement, hormis ses scènes chantées entrainantes, le rythme du récit est terriblement inégal et les dialogues sont pour la plupart insipides. La qualité des images n’était certainement pas non plus ce qui pouvait se faire de mieux à l’époque. C’est donc uniquement sur son aspect technique et aucunement artistique que la toute première comédie musicale sur grand écran mérite d’être apprécié en tant que référence.
    7eme critique
    7eme critique

    532 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mars 2017
    "The jazz singer" est un petit pas pour l'homme, un grand pas pour le cinéma !
    Ce film est à retenir pour son aspect révolutionnaire, puisqu'il est le premier film parlant de l'histoire du cinéma, que pour son scénario peu passionnant proposant une simple histoire de famille juive où s'affronteront projet professionnel et devoir héréditaire.
    Ce premier film parlant proposera une scène de dialogue, cinq scènes de jazz et une scène de chant religieux. La majeure partie du film restant muette, "The jazz singer" appartiendra donc bien à cette catégorie, mais aussi à celle des incontournables du septième art grâce à son avancée exceptionnelle.
    Matthieu F.
    Matthieu F.

    23 abonnés 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 décembre 2013
    Le "Chanteur de Jazz" est aujourd'hui réputé comme étant le premier film parlant de l'histoire du cinéma. Outre ce lourd statut (à moitié mérité, puisqu'on y voit uniquement que quelques scènes chantées), le film présente de nombreuses qualités.
    L'histoire est celle de Jakie Rabinowitz, fils d'un chantre juif, qui décide de quitter la famille pour devenir un chanteur de théâtre et cabaret. Des années plus tard et ayant une carrière florissante, Jakie Rabinowitz retournera dans son New York d'origine et sera confronté à un choix typiquement cornélien : chanter dans la comédie musicale où il est embauché et connaître une belle carrière, ou changer de programme en devenant chantre pour aider son père dans la guérison (malade depuis son retour). Les conséquences de son choix ne seront pas celles attendues (loin du happy end).
    Le film surprend tout de même avec de très belles scènes malgré une simplicité du scénario plutôt visible. Je le conseille au moins pour son titre de "premier film parlant" de l'histoire.
    Yohan Marques
    Yohan Marques

    23 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 décembre 2011
    Avec "Le chanteur de jazz", le cinéma va connaitre sa première grande révolution. Considéré unanimement comme le premier long métrage parlant, on n'y trouve pourtant que quelques séquences musicales, encadrées par de rares dialogues. Il n'empêche, le public de l'époque s'est précipité en masse, sauvant ainsi in extremis la peau de la Warner, qui traversait alors de graves problèmes financiers. Il n'est pas un hasard que le premier film parlant soit également et surtout un film chantant, Hollywood tissant alors un lien avec Broadway, un mariage d'amour, mais également d'intérêt et de raison, qui donnera naissance à quelques uns des plus beaux fleurons du cinéma américain. Même si l'entrée du parlant se fait somme toute par la petite porte, au travers d'un film attachant mais candide et à la mise en scène finalement trés fonctionnelle (Qui se souvient encore du nom de son metteur en scène, Alan Crosland ?), cette petite chose va trés vite faire l'effet d'un tsunami, faisant entrer le cinéma dans une nouvelle ère, emportant sur son passage des artistes jusqu'ici adulés mais qui ne se remettront jamais de cette révolution... Hollywood, ton univers impitoyable...
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