Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
[La] réussite [du réalisateur], au-delà de son humour permanent mêlé d'autodérision, c'est sa manière maligne et décomplexée d'inclure dans les pérégrinations de ce héros cartésien (...), les problèmes d'un réalisateur en train de tourner un film.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Jérôme Garcin
Mine de rien, ce film osé, drôle, émouvant, en dit beaucoup sur la société égyptienne, les relations complexes entre coptes et musulmans, et le pouvoir magique, presque religieux, du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Hoyeau
[Namir Abdel Messeeh] livre un premier long métrage plein d'autodérision et de profondeur sur sa famille, la foi des coptes et la puissance du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Marie-noelle Tranchant
Une jolie comédie autour d'une communauté souvent ignorée, qui parle du visible et de l'invisible, du cinéma et de la croyance.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Blasphème ? Non, miracle ! Du cinéma comme art de la croyance, des démunis appelés à sauver le monde, de la révolution qui vient. Mais plus un mot, place au spectacle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Hésitant entre récit autobiographique, évocation de la communauté copte et enquête décalée, Messeeh ne trouve qu'en cours de route son sujet, en mettant en scène un faux miracle – mai vrai beau moment de cinéma !
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
L'impréparation chronique et les ratages fournissent l'essentiel du récit (...) on peut même prédire que, grâce à cette fantaisie et cette faculté d'adaptation permanentes, Namir Abdel Messeeh va devenir un des réalisateurs de comédie avec lesquels il faudra compter.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Anne Lec'hvien
A la croisée du documentaire et de l'autofiction, entre "Lost in La Mancha" et Woody Allen, le film fait son chemin, léger, improbable et singulièrement drôle.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Pierre Eisenreich
On peut dire que "La vierge, les coptes et moi..." est un drôle de documentaire, pour son sens comique, mais surtout pour son audace!
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Une comédie savoureuse dont l'humour faussement naïf évite tout didactisme et transcende le sérieux du sujet sans jamais l'édulcorer.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Malgré la sympathie dégagée par l'ensemble, la sinuosité de la trajectoire et la frustration quant à la partie strictement religieuse font s'interroger sur un désir de cinéma encore trop fluctuant pour s'inscrire dans la lignée des orfèvres de la mise en abyme égotiste (Kiarostami, Cavalier, Moretti).
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Critikat.com
par Benoît Smith
Le narcissisme affiché dans le film a tout pour devenir rapidement pénible. Cependant, Abdel Messeeh le rend pertinent en n'occultant pas, en contrepoint, les témoignages extérieurs parfois violents face à son attitude, bridant ainsi la tentation de la complaisance.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Télérama
par Mathilde Blottière
Souvent cocasse (...) cette mise en abyme offre aussi une réflexion, brouillonne et poétique, sur le cinéma comme art de l'apparition.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Première
par Christophe Narbonne
C'est assez comique, mais à force de jouer sur plusieurs tableaux (...) le film perd de son impact.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
L'Humanité
[La] réussite [du réalisateur], au-delà de son humour permanent mêlé d'autodérision, c'est sa manière maligne et décomplexée d'inclure dans les pérégrinations de ce héros cartésien (...), les problèmes d'un réalisateur en train de tourner un film.
L'Obs
Mine de rien, ce film osé, drôle, émouvant, en dit beaucoup sur la société égyptienne, les relations complexes entre coptes et musulmans, et le pouvoir magique, presque religieux, du cinéma.
La Croix
[Namir Abdel Messeeh] livre un premier long métrage plein d'autodérision et de profondeur sur sa famille, la foi des coptes et la puissance du cinéma.
Le Figaroscope
Une jolie comédie autour d'une communauté souvent ignorée, qui parle du visible et de l'invisible, du cinéma et de la croyance.
Le Monde
Blasphème ? Non, miracle ! Du cinéma comme art de la croyance, des démunis appelés à sauver le monde, de la révolution qui vient. Mais plus un mot, place au spectacle.
Les Fiches du Cinéma
Hésitant entre récit autobiographique, évocation de la communauté copte et enquête décalée, Messeeh ne trouve qu'en cours de route son sujet, en mettant en scène un faux miracle – mai vrai beau moment de cinéma !
Les Inrockuptibles
L'impréparation chronique et les ratages fournissent l'essentiel du récit (...) on peut même prédire que, grâce à cette fantaisie et cette faculté d'adaptation permanentes, Namir Abdel Messeeh va devenir un des réalisateurs de comédie avec lesquels il faudra compter.
Libération
A la croisée du documentaire et de l'autofiction, entre "Lost in La Mancha" et Woody Allen, le film fait son chemin, léger, improbable et singulièrement drôle.
Positif
On peut dire que "La vierge, les coptes et moi..." est un drôle de documentaire, pour son sens comique, mais surtout pour son audace!
TéléCinéObs
Une comédie savoureuse dont l'humour faussement naïf évite tout didactisme et transcende le sérieux du sujet sans jamais l'édulcorer.
Cahiers du Cinéma
Malgré la sympathie dégagée par l'ensemble, la sinuosité de la trajectoire et la frustration quant à la partie strictement religieuse font s'interroger sur un désir de cinéma encore trop fluctuant pour s'inscrire dans la lignée des orfèvres de la mise en abyme égotiste (Kiarostami, Cavalier, Moretti).
Critikat.com
Le narcissisme affiché dans le film a tout pour devenir rapidement pénible. Cependant, Abdel Messeeh le rend pertinent en n'occultant pas, en contrepoint, les témoignages extérieurs parfois violents face à son attitude, bridant ainsi la tentation de la complaisance.
Télérama
Souvent cocasse (...) cette mise en abyme offre aussi une réflexion, brouillonne et poétique, sur le cinéma comme art de l'apparition.
Première
C'est assez comique, mais à force de jouer sur plusieurs tableaux (...) le film perd de son impact.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.