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    La Forêt d'émeraude
    Note moyenne
    3,7
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    139 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 avril 2009
    J'ai découvert ce film par hasard étant petite et aujourd'hui je l'ai trouvé en DVD!
    C'est peut être un vieux film mais il est superbe!
    Histoire tragique et mouvementée, de supers acteurs (surtout Powers Boothe), et beaucoup, beaucoup de réalisme !
    A voir pour tous ceux qui aiment l'aventure!
    Flotibo
    Flotibo

    52 abonnés 1 441 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2009
    John Boorman signe là un très bon film d'aventures en plein cœur de la foret amazonienne. Il nous raconte l'histoire d'un père qui part à la recherche de son fils enlevé par des indiens des années auparavant. Le scénario est prenant et la photographie du film est sublime avec des paysages somptueux. Les acteurs sont par contre pas inoubliables, tout comme une fin très décevante. Avec en prime une jolie réflexion louable sur le respect de la forêt amazonienne et de ses habitants.
    THE-CHECKER
    THE-CHECKER

    111 abonnés 713 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 février 2009
    Un film précurseur dans son genre qui au delà de son propos louable,souffre ça et là d'un construction scénaristique un peu trop expéditive à mon gout.
    dahbou
    dahbou

    204 abonnés 2 186 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 décembre 2008
    Quand on cite les meilleurs films de John Boorman on oublie souvent l'excellent "La forêt d'émeraude" qu'il faudrait réhabiliter. Porté par un message écolo assez fort un brin naïf pour les plus cyniques d'entre nous, le film est surtout un vrai western amazonien tirant le meilleur partie de son cadre à savoir ses splendides décors naturels ( l'Amazonie quoi !!) et son folklore ( Indien, Spiritisme, Chamanisme...) surligné par le talent visuel de Boorman toujours aussi bluffant. Le film repose aussi sur ses acteurs plus vrai que nature avec en tête d'affiche l'excellent Powers Booth habitué de Walter Hill. Bref un petit chef d'oeuvre à voir !!
    icemaker1982
    icemaker1982

    2 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 décembre 2008
    Un film d'aventure magnifique, intelligent, poétique, mais trop méconnu.
    Les images sont superbes.
    basbi
    basbi

    38 abonnés 1 201 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 décembre 2008
    Un film très touchant.
    ygor parizel
    ygor parizel

    240 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 février 2013
    Un film d'aventures de très bonne facture. Pour commencer durant tout la longueur on voit le choc entre deux mondes, un scénario qui aborde beaucoup de thèmes intéressants, plusieurs scènes sont vraiment très bien filmées.
    Redzing
    Redzing

    1 113 abonnés 4 469 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 décembre 2008
    Evocation de la déforestation destructrice en Amazonie mais également de l'incompréhension inévitable entre les différentes cultures, "The Emerald Forest" est un Boorman certes un peu caricatural et naïf par moment, cependant il demeure attachant de par sa touche poétique indéniable. Superbe sur le plan visuel et musicalement efficace, ce film est donc une petite réussite à voir dans la filmographie du réalisateur britannique, et dont le fond assez cruel défend bien sa cause.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 21 décembre 2008
    Parfois naif et un peu caricatural, ce film dégage néanmoins une beauté écrasante et porte une message universel faisant de Boorman un véritable avant gardiste de la lutte pour la protection de notre environnement. Sans idéaliser trop idéaliser l'eden indien, il en montre les limites et les vices, même si ceux-ci prennent racine dans le monde "civilisé". La fin peut toutefois nous paraitre un peu trop fabuleuse, ou trop candide, au vu de l'intensité du message.
    bobmorane63
    bobmorane63

    189 abonnés 1 964 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 novembre 2008
    Film méconnu pour la nouvelle génération qui passait souvent autrefois à la télévision avec succés ( ce film a rassemblé aussi 2,5 millions de spectateurs dans les salles obscures lors de sa sortie) mais tombé dans l'oubli. Je me suis procuré le DVD car ce film m'avait marqué tout petit mais je ne me souvenais que vaguement de l'histoire. C'est un film réalisé par John Boorman, grand metteur en scène auquel on doit "Délivrance" ou "Excalibur", traitant une histoire vraie d'un fait qui s'est déroulé dans les années 70 ou un père de famille architecte voit son fils Tommy disparaitre dans une foret prés d'un chantier en Amazonie enlevé par des Indigènes. Pendant 10 ans, ce pére consacre sa vie pour retrouver son petit garçon, mais souvent en vain. Lors d'une expédition et aprés l'attaque d'une tribu Indienne, le père se voit aider par un blond déguisé en Indien qui n'est qu'autre que son fils, mais qui a 10 ans de plus, une tribu d'adoption, une femme, autant de choses qui peuvent retenir le jeune homme à sa nouvelle famille. Bref, un film remarquable qui demande reflexion sur une histoire vraie, mais aussi un sujet de société et d'écologie sur la destruction de la foret Amazonniène et la fin de vie d'une tribu d'Indien fonctionnant avec ses coutumes et sa spiritualié comme nous le montre les scènes de trance ou en sniffant une pipe Indienne, l'homme se réincarne en un animal et voit l'avenir, superbement mis en images. Un film qui demande plus de reconnaissance de la part des chaines de télévision Française. Powers Boothe ("Sin city"), tout comme le gamin, sont excellents. A voir
    Freaks101
    Freaks101

    147 abonnés 619 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 août 2012
    Souvent quant on évoque John Boorman, « La forêt d’émeraude » n’est pas le premier film qui nous vient à l’esprit, les cinéphiles lui préférant « Excalibur » ou « Delivrance ». Pourtant il s’agit bien d’un de ses meilleurs long métrage. A la fois film d’aventure et fable écolo « La forêt d’émeraude » bénéficie d’une photographie sublime de Philippe Rousselot, d’un montage fluide et harmonieux entre deux histoires parallèles et complémentaires, celle du père et du fils, le tout au service d’une vision rousseauiste de la nature qui oppose civilisation moderne et vie primitive. Le constat alarmiste du film reste hélas d’actualité, la déforestation ayant repris de plus belle.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 août 2008
    Il y a bien quelques clichés, un bon zeste de naïveté et quelques plans d'aigles franchement démodés qui parsèment cette forêt d'émeraude.

    Mais comment en vouloir à Boorman ?
    On sent bien que son sujet le préoccupe.
    Boorman a des choses à dire, un message à transmettre et ça tombe bien le cinéma est aussi fait pour cela.
    Dès lors, Boorman sait qu'il va se confronter aux clichés, aux stéréotypes, il sait que sa forêt d'émeraude sera taxée d'œuvre naïve, il sait tout cela.
    Et pourtant il fonce.
    Boorman a choisi son camp, tant pis pour la naïveté, le manque de crédibilité et le reste...

    Il préfère laisser la forêt s'emparer du cadre, il préfère s'attarder sur la faune, la flore... le vert.
    Avec Boorman, la forêt se fait personnage, elle véhicule l'action, la réflexion, elle dissimule même en son cœur une histoire.
    L'histoire d'un fils perdu et retrouvé, et reperdu à nouveau.
    Une histoire que Boorman n'oublie jamais de nous raconter.
    Une histoire qu'il raconte avec talent, en assumant ses choix et en faisant preuve de retenue là ou d'autres auraient abondamment versé dans un sentimentalisme outrancier.

    Pour tout cela, John Boorman et sa forêt d'émeraude mérite amplement cette reconnaissance qui semble lui échapper injustement.
    FRANCOMAT
    FRANCOMAT

    6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juin 2008
    lors de sa sortie j'avais beaucoup aimé ce très beau film,je l'ai revu récement avec autant de plaisir.
    thème original,beauté des images(parfois cruelles)un bon jeu d'acteur
    à voir!!!
    Alain Z
    Alain Z

    77 abonnés 336 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 juin 2008
    1er film vu au cinéma et qui reste gravé dans ma mémoire comme l'un des plus beau et dépaysant film d'aventure jamais vu. Boorman est à son apogée et nous livre une histoire d'aventure exceptionnel tiré d'une histoire vrai.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    238 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 mai 2008
    Le vert. Belle couleur quand on y songe, évoquant les étendues blêmes du souvenir d’un jardin chez Bergman, les effilements sensibles de Monet jusqu’au vert ciselé de Tamara de Lempicka. Le vert traine avec lui les odeurs enfantines des prés sauvages, le grouillement immaîtrisable d’une nature grandiose. John Boorman, cinéaste de la Nature, consacre alors tout un film à cette couleur, à ce vert-Nature. «The Emerald Forest» (USA, 1985) se peint d’un vert omniprésent, sinon caché toujours sous-entendu. La toile de fond est cette Amazonie délétère, meurtrie par la déforestation compulsive. Le chef de chantier, maître commandant de cette ignominie industrielle, voit son fils enlevé par des indiens d’Amérique : les Invisibles. S’ensuit une ellipse de dix ans où le père, sans relâche, a cherché son fils disparu. Enfin le père et le fils, que le temps et le vert ont éloigné, se retrouvent. L’omniprésence d’une si belle couleur ne suffit pas au film pour éviter l’abysse de la naïveté. Présenté comme un film pour enfant, «The Emeral Forest» n’en est pas un. La lutte sanguinaire de deux tribus indiennes, les blessures ouvertes déversant des flots de sang ne conviennent pas à l’innocence du spectateur puéril. En revanche, il s’agit certainement d’un film enfantin. Par ce sens, il dispose de quelque chose de foncièrement naïf. L’image d’Epinal qu’incarnent les tribus indiennes dénote d’une certaine méconnaissance de leur société. Nourries des clichés, les tribus sont les jardins d’Eden en marge d’un monde corrompu. Cette indien (le fils enlevé) qui sous les délires d’une drogue verte se sent incarné en aigle témoigne de la crédulité de l’imagerie du film. Le vert sous la main de Boorman devient un fétiche esthétique avec lequel il se plait à peinturlurer l’image de sa surface à ses profondeurs. L’amas de pantins grotesques qui jouent à incarner la solennité du cas écologique finit de rendre le ton du vert plus dans le registre de la nausée que dans celui de la prairie.
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