Ab Irato, sous l'empire de la colère : Critique presse
Ab Irato, sous l'empire de la colère
Note moyenne
2,7
3 titres de presse
Les Fiches du Cinéma
Télérama
Le Monde
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
3 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
L'enjeu d'"Abi Irato" est le traitement singulier d'un enlèvement, d'une exigence artistique sans concession, et dont la beauté formelle peut séduire autant qu'elle peut irriter.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Nicolas Didier
Ça commence comme un long métrage expérimental, avec une poignée de paumés qui errent dans les champs. Ensuite, le film vire au polar. (...) L'ombre de Samuel Beckett plane sur ce scénario déstabilisant, mais intrigant, signé Dominique Boccarossa.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Dominique Boccarossa s'ingénie à diluer la tension qu'exige ce genre de récit en évidant l'histoire, les dialogues et les personnages au bénéfice d'une prospection picturale du paysage et d'un étirement méditatif de la durée des plans. Pourquoi pas ? On n'en reste pas moins sceptique sur l'apport de ce détournement expérimental du genre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
L'enjeu d'"Abi Irato" est le traitement singulier d'un enlèvement, d'une exigence artistique sans concession, et dont la beauté formelle peut séduire autant qu'elle peut irriter.
Télérama
Ça commence comme un long métrage expérimental, avec une poignée de paumés qui errent dans les champs. Ensuite, le film vire au polar. (...) L'ombre de Samuel Beckett plane sur ce scénario déstabilisant, mais intrigant, signé Dominique Boccarossa.
Le Monde
Dominique Boccarossa s'ingénie à diluer la tension qu'exige ce genre de récit en évidant l'histoire, les dialogues et les personnages au bénéfice d'une prospection picturale du paysage et d'un étirement méditatif de la durée des plans. Pourquoi pas ? On n'en reste pas moins sceptique sur l'apport de ce détournement expérimental du genre.