La franchise Transformers devient vraiment un spectacle affligeant... L'intrigue, à laquelle une ridicule mythologie a été greffée, est illisible. La faute à un trop grand nombre de personnages secondaires et insignifiants. On sait bien que le scénario n'est pas le principal attrait de la franchise, mais il y a tout de même un minimum ! S'il n'y avait la présence de Sir Anthony Hopkins, le film n'aurait vraiment aucun intérêt...
Transformers the last knight est le 5ème opus de la saga est que dire de ce nouvel élément qui est un réchauffé. Voilà celà fait depuis 10 ans que l'on suit les aventures d'Optimus Prime et de ses confrères tel que Bumblebee face aux decepticons. Ainsi 10 ans après on a l'impression que le temps c'est figé depuis "la face cachée de la lune" car on nous ressort exactement le même schéma où l'on voit apparaître une nouvelle fois à l'écran cybertron qui est là pour retrouver sa puissance en détruisant la terre tout en ce rapprochant de cette dernière afin de prendre sa place et de retrouver sa splendeur d'antan. Cela ne vous rappel rien ? Car moi oui, puisque cette trame était déjà présente dans "la face cachée de la lune" qui permettait de mettre fin à la trilogie est donc à la guerre entre la terre et cybertron. Alors pourquoi ressortir cette même histoire ? et bien à vrai dire je n'en sait rien car à partir de ce moment on sent le réchauffé à plein nez. Mais cela ne s'arrête pas là car dans la scène de fin je suis désolé mais s'il vous plaît faite une fin alternative car il n'y a plus rien de nouveau, on voit Optimus Prime défoncer en 2 temps 3 mouvements Megatron pour la énième fois avec le fameux speech: "d'antan nous étions frères". Alors je ne suis pas chiant mais de là à reprendre exactement le même dialogue mais avec des mots différents pour camoufler le tout, je pense qu'il n'y a plus d'idée derrière et qu'on arrive au bout du tunnel. Toutefois malgré ce scénario qui partait d'une bonne volonté avec le parallèle entre le roi Arthur et l'histoire des transformers qui est juste génial sur le papier ne soit pas plus aboutit et que les 6 pauvres minutes mises au milieu du film sur l'explication du pourquoi ? du comment ? ne soit en réalité qu'un brouillon où j'ai eu l'impression de voir une explication non pas sur le film mais sur le titre. Je trouve ainsi dommage que les "origines" de l'histoire des transformers avec la planète terre ne soit pas plus approfondie. De plus je crois que c'est un retour à la mode mais le fait de placer des enfants partout et surtout n'importe où sur chaque scène ridiculise le film encore plus car là je ne comprend pas comment une fille de 14 ans fait pour entrer dans un avions militaires et participer au combat sans arme. Alors oui c'est touchant il y a un enfant donc on va être touché par sa jeunesse et surtout sa faiblesse mais en réalité à quoi ça sert ? Puisque je n'ai éprouvé aucun sentiment envers cette jeune actrice. Alors oui malgre ces petites notes de désagrément, le film reste convenable en terme d'effet visuel puisque la 3D et les effets spéciaux ainsi que le cadrage sont tout simplement hallucinant. De plus les scènes de combats sont hyper fluide et la musique vient agrémenté cet opus. Mais une nouvelle fois c est tout car les acteurs jouent, c'est tout, on ne ressent aucun sentiment et l'expérience d'Anthony Hopkins a bien du mal à réévaluer l'interprétation globale qui reste moyenne. Pour finir les méchants sont mous et d'une lenteur, c'est impressionnant j'ai eu l'impression de voir un film d action sans méchant tellement ils sont inexistants aux yeux du specatateurs. Bref pour conclure un film qui marque la fin de cette saga mais de manière catastrophique.
Je n'attendais pas grand chose de ce dernier Tranformers mis à part les effets spéciaux car de ce côté là nous en prenons plein les yeux, c'est beaux, bien fait. La note que je met à ce film est à 80% grâce aux effets visuels, car entre histoire qui ne veut rien dire (mis à part le côté légende du prince Arthur) et encore... Grimlock faisant le bon chien chien à obéir à l'acteur...les transformers ne sont pas sensés être les "acteurs" de premier plan et non obéir aux humains....bref trop convenu, trop de blagues lourdes et de clichés....
Je m attendais à mieux ! Énormément de longueurs, les effets spéciaux sont spectaculaires mais le scénario reste cependant très pauvre, une histoire qui frise un peu le ridicule.
Je pèse mes mots en rédigeant ce critique; Côté effets spéciaux, c'est top mais pas le plus top des tops. Scénario, il y a des scènes improbables et incompréhensibles qui rallongent le film, au lieu de 1h30 à 2h et plus, de même pour les personnages. Prenons l'exemple du mec qui se dit physicien ou scientifique, avec les lunettes, il joue le rôle de quoi exactement??? Il y a trop d'incohérence dans ce film. De plus les vannes chronique que je trouve déplacé, ET OHHH! on est face à une fin du monde ASKIP. Ce film n'inspire rien pour moi, personnellement, moi qui se ressource auprès de ces grands producteurs et réalisateurs. D'où ma note très mauvaise. Merci quand même.
Trop de blagues, histoire qui ne tiens pas debout, on marche sur la tête par rapport aux anciens, faire une suite pour faire une suite, cela ne sert à rien. Le seul point positif de ce film est la beautée des images
Bon ok c'est un film pop-corn, mais ils auraient pu faire un effort sur le montage. Aucuns liens entre les scènes, des acteurs fatigués et un nombre important d'erreurs de scénario...spoiler: ex : le robot majordome qui part en torpille et 15' après il ne veut pas plonger de peur d'insquinter ses rouages.
Il est temps que cette saga se termine ! Je suis en effet content qu'après le futur "Bumblebee", il n'y ai plus de suites prévues à la saga car elle commence franchement à s'épuiser. Ce cinquième opus de la saga "Transformers", toujours réalisé par Michael Bay et sorti en 2017 est un peu mieux que le quatrième film mais reste quand même pas terrible. Une menace de destruction terrestre arrive, Optimus Prime est parti mais une légende s'inscrivant dans l'histoire du roi Arthur est là pour potentiellement sauver tout le monde. Très grossièrement résumé, le scénario ressemble à ça et il n'est honnêtement pas trop mal, enfin je m'attendais à bien pire, surtout après celui du quatrième film. On a effectivement ici une sorte d'enquête très sympa à suivre et une légende qui tient la route même si tout cela ne tient au fond pas vraiment debout. Mais c'est toujours mieux que rien et le milieu du film est vraiment très sympa. Le milieu oui, parce-que le début ne sert pratiquement à rien (surtout toutes les scènes avec Izabella, personnage agaçant qui ne sert pratiquement à rien) et la fin est beaucoup trop longue, comme d'habitude. D'ailleurs, c'est encore une fois ici ce qui pèche, c'est que le film est beaucoup trop long, surtout pour une histoire comme celle-ci, et que cela en devient très ennuyant. Il est toujours rythmé par de très beaux combats mais si ce système arrive à tenir pendant trois films, au bout d'un moment, il en devient très lassant et ce qu'il se passe ici, au bout d'un moment, le spectateur en attend plus que des cris ridicules lors de scènes de combats, des voitures qui se changent en robots et des explosions de partout. Par contre, du côté visuel, le film en met toujours autant plein la vue et c'est un très bon spectacle mais il ne doit pas y avoir que ça. De plus, le film est encore plus cliché que le quatrième (il fallait quand même le faire !), surtout dans ses personnages qui sont totalement vides et dans l'enjeu dramatique totalement raté du film, notamment dans la relation ultra-clichée entre Cade et Vivian. L'humour est toujours aussi présent mais même de côté-là, c'est raté, les blagues sont nulles et sont plus agaçantes qu'autre chose. Pour ce qui est des acteurs, nous avons surtout Anthony Hopkins qui est marquant car sinon, le reste du casting est très facilement oubliable. "Transformers : The Last Knight" est un film d'action complètement oubliable et qui nous montre surtout qu'il est grand temps que la franchise s'arrête.
Un navet comme on en fait peu! On passe un bon moment du film à se demander qui attaque qui, qui est de quel côté; l'histoire est décousue et sans intérêt. On se perd dans les trop nombreuses intrigues. Des clichés pesants et des blagues salaces à n'en plus finir Oo... Quand à Merlin du moyen Age qui parle comme un lambda de la banlieue... Navrant :/
À moins d'être animé par une folle passion pour une énième reprise des combats des Autobots contre leurs collègues belliqueux aux noms se terminant invariablement en "-on", il faut vraiment s'armer de la plus grande des motivations pour s'infliger les 2h30 de "The Last Knight", d'autant plus que, pour fêter les dix ans de la franchise, Michael Bay a apparemment décidé d'en devenir le fossoyeur. Bien loin du plaisir régressif sympathique qu'a pu représenter un jour le premier film, ce cinquième épisode se donne pour curieux but d'exploser à peu près toutes les jauges de consternation auxquelles nous avait habitué les précédents volets. Et il faut reconnaître qu'il y parvient avec une certaine maestria !
Après un cube et des piliers, voilà donc qu'un combo bâton magique/griffes métalliques géantes menace de sceller le sort de notre bonne vieille Terre ! Confié autrefois à Merlin par les Transformers de la Table Ronde, ce bâton est aujourd'hui convoité par une méchante déesse de Cybertron qui, aidée d'un Optimus Prime désormais rebooté pour être acquis à sa cause, va tenter de recréer son monde chez les pauvres humains que nous sommes...
Oui, c'est déjà beaucoup, hein ? Et, si vous n'êtes pas encore fatigués par une imagination scénaristique aussi débordante, "The Last Knight" a encore pas mal d'atouts dans sa manche pour vous achever. Mark Wahlberg en réincarnation du Roi Arthur, une sous-sosie de Megan Fox, Anthony Hopkins qui narre tout plein de trucs improbables d'un air possédé, une adolescente rebelle dont on ne comprendra jamais l'utilité, des têtes connues histoire d'assurer un semblant de continuité (les habitués John Turturro et Josh Duhamel avec les dollars de leurs salaires plein les yeux) et, bien entendu, un nombre exponentiel de Transformers qu'on peine à reconnaître à quelques exceptions près... Tout ce petit monde va courir après le bâton magique (le nombre de fois où sont prononcées les répliques "Je veux le bâton !" et "Où est le bâââton ?" nous rappelle en permanence cet enjeu ô combien crucial) au milieu de séquences s'enfonçant toujours plus loin dans la gêne. Sur ce point, la palme du ridicule reviendra aux passages comico-romantiques d'une pauvreté aussi sidérante que répétitive qu'aucun épisode de la franchise n'avait encore atteint (et ils avaient pourtant fait déjà très fort !). Et puis, encore plus que les précédents, comment s'attacher à des personnages humains qui, d'une part, ne serviront toujours à rien in fine dans des affrontements qui les dépassent et qui, de l'autre, ont bénéficié de l'aide constante des Transformers à chaque exploit historique jusqu'à les faire passer pour une belle bande de chèvres incapables de la moindre victoire par leur propre fait ? En plus d'être très brouillon avec le semblant de mythologie du reste de la saga, "The Last Knight" finira en fait par ne développer absolument rien de neuf, autant sur les robots au coeur de son histoire que sur ses protagonistes humains, si bien que la bataille finale représentera un calvaire total rendu interminable par ses enjeux transparents.
Comme d'habitude, on aimerait saluer le savoir-faire visuel de Michael Bay à emballer certaines images qui collent à la rétine mais "The Last Knight" touche tellement le fond sur tous ses autres aspects que cela ne suffit même plus à une certaine indulgence. Au moins, avec son sempiternel discours final en voix-off, Optimus Prime prend la plus sage des décisions : nous laisser tranquille. On ne peut que le remercier, c'est le passage du film qui nous rassure le plus pour l'avenir.
Alors qu’on se plaint que la durée limitée des films ne permet que rarement aux scripts prometteurs de s’épanouir pleinement, voilà que l’inénarrable Michael Bay nous étale sur près de trois heures - et pour la cinquième fois consécutive! - un truc viscéralement dépourvu du moindre scénario, sauf à considérer que cette énième prise de bec entre Autobots et Decepticons en tient lieu. Après tout, puisque chaque nouvel épisode de la franchise engrange des bénéfices faramineux, Bay n’a aucune raison de s’arrêter en si bon chemin ni de modifier sa manière de faire : les spectateurs veulent des vannes beaufs, des grosses bagnoles chromées, des clones vulgos de Megan Fox, des couilles de decepticon/grue de chantier (je n’y peux rien, ça me hante depuis le deuxième volet) et de la ferraille pliée, déchiquetée, écrabouillée au milieu des explosions et des incendies ? Il va leur en refourguer sans le moindre état d’âme : x’est clairement ce qu’il sait faire de mieux. Au fond, avec ce cinquième opus, je ne suis ni plus ni moins partagé qu’avec les quatre précédents : d’un côté, j’ai toujours autant de mal à supporter cette action illisible, composée d’une succession supersonique de plans de quelques secondes à vous tuer un épileptique séance tenante, alors qu’à d’autres moments, ce plein-la-vue technologique impressionne suffisamment pour qu’on regrette qu’il soit au service d’une base aussi médiocre. D’autre part, n’est-ce pas un luxe que de pouvoir se lever en plein milieu du film, se servir un verre, se préparer un sandwich et passer au petit coin, avant de revenir se rasseoir devant l’écran sans avoir l’impression d’avoir raté grand chose ? Les Transformers trahissent d’ailleurs à cette occasion leur statut originel de jouet en plastique : si vous observez un enfant avec ses jouets, vous n’êtes pas obligés d’être attentifs en toutes circonstances à l’histoire qu’il invente pour les besoins du jeu : ce dernier n’a que faire de la cohérence, il évolue dans une sphère qui lui est propre, où rien n’est vrai et tout est possible. A sa manière, c’est bien ce que Bay fait avec les blockbusters lobotomisés qu’il aligne avec une belle constance depuis dix ans, et dans lesquels il convoque cette fois un lord anglais et son majordome robot schizophrène, Stonehenge, Merlin et les chevaliers de la Table ronde. Je ne vous expliquerai pas comment il parvient à relier ces éléments à un schéma primitif de guerre galactique entre robots géants, il aurait tout aussi bien pu inclure un pirate unijambiste, des mimes et des pokemons et de toute façon, ça n’a strictement aucune espèce d’importance !
J’ai assisté à un navet, il y a eu moins pire que le précédent Transformers, le scénario suivant est nul, de la fantaisie de pacotille, de piètres acteurs et des effets spéciaux de mouchoir.
Arrêtons les frais. Cette franchise part dans le grand n'importe quoi. Y a plus de direction d'acteurs. Y a -t- il des acteurs d'ailleurs?? Même les effets spéciaux ne suivent plus. Tiens j'ose une comparaison: ce cinquième opus me fait penser à Rocky V. Voilà tout est dit!
Transformers : The Last Knight... celui qui a écrit cette critique n'éprouvera aucune difficulté à annoncer que ce film est tout bonnement.... castastrophique. Épileptique. Exagéré. Quasiment dénué d'un moindre sens. Tout simplement le pire film de la saga tout entière. La même formule sur-recyclé en largement pire. Même les scènes d'action, l'argument mise en avant dans les Transformers, sont totalement baclées par un montage... L'Âge de l'Extinction avait déja éxécuté tout espoir d'une amélioration même minime... mais cet opus à détruit tout... Mais le film centré sur Bumblebee va pointer le bout de son nez en décembre et pourra peut-être à terme réconcilier une franchise vagabonde...