Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
5,0
Publiée le 29 juin 2017
Un film plein de mouvement qui ne laisse aucun moment de flottement ayant été déçus par le 4 celui la redresse clairement pour moi le meilleur de toute la saga .
Ce film est génial, c'est rythmé, cohérent et Fun. Michael Bay rend avant tout avec The Last Knight un vibrant hommage à sa saga, qui fête ses 10 ans avec The Last Knight. Merci Michael 😥
Etant un grand fan des 4 premier épisodes, il faut l'avouer cette suite est un échec cuisant, scénario inexistant, acteur en mousse sans ames ni profondeur, Optimus plus décevant que jamais, aucun moments mythiques, un massacre à l'effet spéciaux...le Transformers de trop. RIP
Mauvais. Nul. Scénario pauvre et prévisible. Dialogues mauvais, réalisation mauvaise. Que du mauvais. Un grand paragraphe n'en vaut pas la peine, il serait plus élaboré que le film. Et dire qu'il y aura une suite...
Michael bay fait encore du bon boulot dans se nouvel opus les effets spéciaux sont magnifique comme les précédent et j'ai adorer cette petite histoire de chevalier
Jusqu'au milieu du film, le scénario est bon, on ne s'y perd pas. Mais ensuite, ça devient un peu trop n'importe quoi, à partir dans tous les sens, et surtout ... c'est long !
même pour les fans de la saga comme moi je déconseille. l'histoire est la copie du troisième. film trop long et dans l'overdose de combat qui se ressemblent tous à force. de nouveaux personnages intéressants mais invisibles. optimus prime et bumble Bee laissez de côté. un méchant peu intéressant. aucun lien avec le film 4 et le reste de la série. mark Wahlberg super mais sa mission est complètement incompréhensible
seul point positif des effets spéciaux à couper le souffle ! sympa à regarder mais trop long
Les TRANSFORMERS reviennent au cinéma avec un 5e épisodes. Et comme le précédent opus, Michael Bay, livre du « mauvais Michael Bay ».
Cinq films et cinq fois la même recette. Les origines des TRANSFORMERS sont une nouvelle fois contées de façons différentes. Après l’histoire du Fallen, antagoniste du 2e opus opposé aux humains au XVIIe millénaire av J.-C, l'arche, commandée par le. Sentinel prime, écrasé sur la Lune dans les années 1960 dans le 3e opus, THE LAST KNIGHT s’ouvre sur une introduction médiévale avec une réinvention du mythe Arthurien. Une direction que le film cherche absolument à justifier pour créer un lien avec les origines des robots aliens. D’où l’on peut se poser cette question ; Michael Bay n’en fait-il pas un peu trop à vouloir nous livrer le plus d'informations possibles ? Le studio Paramount Pictures avait annoncé la mise en place d’un pôle scénaristique pour les futurs films de la saga TRANSFORMERS. Malheureusement, c’est mal parti. Bien qu’un blockbuster soit d’une part un divertissement d’explosion et d’effet spéciaux à de millions de dollars de budgets, la cohérence scénaristique reste un élément important. Ici, Michael Bay va beaucoup trop loin. Là où L’ÂGE DE L’EXTINCTION bénéficiait d’une narration visuelle réussi par les prouesses technologies, il n’en est rien dans cet épisode. L’ambiance chaotique et la menace omniprésente de l’ennemie se retrouve gâché par des dialogues à la ramasse proche de l’absorbe tenu à un semblant d’improvisation vulgaire. Le scénariste lui-même semble prendre conscience de la bêtise de certains enjeux que pose l’intrigue et se perd totalement dans ce qu’il veut apporter. Unique en son genre, Michael Bay rend livre un nouvel épisode sans saveur au bout de l’ennuie.
il est long est plutôt chiant ... le 1 ou le 3 sont 10 fois mieux. je m'attendais à mieux le scénario est bien mais le film n'est pas captivant c'est dommage il aurait pu être bien mieux
Je pensais pas que Mickael Bay pourrait faire mieux que TRANSFORMERS : L'ÂGE DE L'EXTINCTION, mais avec ce cinquième opus Bay signe un blockbuster démentiel, avantagé par une prouesse visuelle spectaculaire. La c'est sur... c'est le meilleur volet de la saga. Aucune limite. Aucun répit. De l'action non-stop, servi par une mise en scène rythmée et impressionnante, un casting cinq étoile et des effets spéciaux époustouflants, le meilleur du genre. Un final explosif et sensationnel... En apothéose. A la fois déroutant et ingénieux, ce Transformers se distingue complètement de ces prédécesseurs par son histoire et son originalité. Avec en plus, une scène post-générique énigmatique, mais qui donne très envie de voir la suite. Un réussite totale ! 5/5 *****
Transformers 10 ans après c'est ... moins bien! Bon, les points positifs sont bien sûr les effets spéciaux qui ne sont ni paresseux ni en manque comme j'ai pu le lire. L'histoire est plutôt originale et ça fait du bien car au bout du 5 eme ça peut être lassant. Voilà pour les points positifs. Ou on peut rajouter la musique qui est cool et qui nous casse pas les oreilles à tout bout de champs. Pour le reste... on a l'impression que seul Anthony Hopkins est réellement impliqué dans le projet. Tout le monde a l'air de s'en foutre plus ou moins. Le peronnage de Josh Duhamel est carrément inutile. Mark Walberg est amusant, l'alchimie avec les robots passe bien. Comme d'habitude les protagonistes arrivent à se changer courir prendre un ou 2 hélicoptères et casser du decepticon le tout dans la même scène. Bon ok c'est du grand spectacle, passons aussi sur les raccourcis scénaristique. La fin, comme à l'accoutumée est une longue séquence d'une demi heure de fusillade et destruction. On y comprend rien tout va très vite, ça se démoli dans tout les sens et au moment où tout semble perdu et beh..... non je vais rien vous dire, allez plutôt le voir car le film reste sympa a regarder mais vu qu'il ne fonctionne pas aussi bien que les autres et que Michael Bay veut passer à autre chose, c'est peut être le dernier épisode de la saga. Qui sait ?
On touche le fond ! Aucun épisode de la saga n’a été aussi inintéressant. La forme et le fond ne sont traités que superficiellement. Michael Bay maitrise pourtant son visuel, mais ne coordonne pas le tout comme il le faudrait. On pourrait accepter ce constat si l’on s’accordait à voir une œuvre décomplexée et assumée. On le retrouvait dans les précédents films, bien entendu, mais rien n’est raccord dans ce dernier opus…
On part dans les tous sens, on en demande trop et on se prend le revers de l’excès. L’organisation des séquences d’action, marque de fabrique « Bay Approved », n’est pas mesurée à sa juste valeur. On perd le ton et le charme qu’a eu le premier film. Et la chute continuait dès lors. L’intrigue attaque sur l’éternel conflit entre l’Homme et les Transformers. La menace extraterrestre est une réalité qui entre dans les mœurs de la saga. On l’exploite depuis le début et on exploite des horizons à peu près différents à chaque épisode.
Côté scénario, loin d’être le plus faible et loin d’être le plus fort, on ne trouve à aucun moment la justesse pour contextualiser et démarrer le récit. L’introduction est d’une banalité qui vient attirer un tas d’incohérences par la suite. L’arc historique se prend tout de même au sérieux de la fantaisie, posant le mythe du Roi Arthur et les chevaliers de la table ronde comme origin story. On réduit ainsi l’homme à son simple supplice, incapable de subsister sans évolution technologique. Une approche fascinante si l’on prenait le temps de la développer. Et non. On passe outre sur énormément de rôles qui se contentent de caméo et de meubler le décor.
Et à l’image des effets spéciaux, souvent abusifs dans ce genre de blockbuster, la psychologie des personnages ne vole pas très haut. Vivien Wembley (Laura Haddock) est la bonasse de service et réservée. Sir Edmund Burton (Anthony Hopkins) semble bien indépendant dans l’histoire, dans le sens où son jeu se referme sur lui-même. Hopkins donne vie et humilité à son personnage so british. Izabella (Isabela Moner) est insupportable. Un personnage dont son écriture n’apporte pas grand-chose que la figure de l’inconscience et le « courage ». Une feinte de vraisemblance et de tendresse qui contraste avec la trame du film. Et on pourrait continuer la liste, en complétant ces éléments de clichés que le film renferme. De anciens visages reviennent, mais les mentionner ne les place pas au cœur de l’histoire et on perd le fil. L’écriture y est pour quelque chose étant donné qu’elle se montre fainéante. Il n’y a que Cade Yeager (Mark Wahlberg) et Bumblebee qui ont un développement suffisant. Et alors que leur jeu semble correct, Optimus reste transparent. Même lors du climax, on ne batifole pas avec le spectaculaire et on zappe en quoi son rôle est primordial… Tout le monde est « bavard ». Autant de bruit que l’on ne peut supporter, surtout lorsque le débit d’absurdité augmente. Toujours dans l’excès, jamais dans la modération. Nous avons franchi la limite que nul ne peut en réchapper.
Par ailleurs, l’ensemble est d’un vide émotionnel. Seuls quelques gags viennent réveiller le spectateur somnolant. Les longueurs s’accumulent rapidement car aucune base n’est réellement posée. Ou bien comme on apporte un amas d’informations, on en oublie une partie pour se concentrer sur l’instant présent. Le montage est épileptique et le format semble changer assez fréquemment. Ce qui n’est pas agréable à suivre du tout. Les dialogues sont découpés en plans multiples, parfois indénombrables à force d’insister sur la tension que le discours inculque. Mais alors énormément de détails sont soit négligés ou font irruption dans l’objectif d’offrir du fan service. Malheureusement, cela n’est pas accessible par tous et nous sommes en droit de nous poser plusieurs fois les mêmes questions du début à la fin. On sent alors que le réalisateur est amoureux de son projet et c’est une bonne chose que sa motivation lui soit entièrement consacrée. Mais il en oublie le spectateur qui attend quelque chose de lui, quelque chose de son œuvre. Il manque d’acuité dans la communication, reflet d’un brusque dénouement qui nous met aussitôt à la porte d’un carnage.
En résumé, « Transformers : The Last Knight » est inabouti de bout en bout. Les artifices de Micheal Bay n’ont plus de raison de nous surprendre, ni de nous divertir. Tous les métaux rouillent et les Transformers ne font pas exception. Il est clairement temps de mettre un terme à cette saga qui a puisé tant d’effort pour des résultats peu réconfortants, avec le temps…