L'Inconsolable (programme de 4 courts-métrages) : Critique presse
L'Inconsolable (programme de 4 courts-métrages)
Note moyenne
3,5
8 titres de presse
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
L'Humanité
Le Monde
Les Inrockuptibles
Libération
Les Fiches du Cinéma
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Jean-Marie Straub nous revient avec cinq films courts. À croire qu'à présent qu'il ne peut plus faire un seul film ensemble (avec Danièle Huillet), il a trouvé sa forme d'expression : faire, seul, un ensemble de films qui sont autant de pièces musicales jouées sur le mode des variations.
Critikat.com
par Pierre Eugène
Des personnes déplacées aux espaces utopiques de la nature, les films de Jean-Marie Straub montrent une humanité sujette à d'impossibles deuils.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Emile Breton
Trois auteurs, trois rencontres : on peut lire ce " montage " comme retour sur leur parcours à deux, avec Danièle. Et comme un autre départ, de Straub, affrontant son deuil et la nécessité, pour lui, de continuer en cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
Reste, à la sortie de la projection, la sensation d'avoir partagé une profonde tristesse tempérée par l'intelligence de l'artiste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Hymne torturé à la vie, regret de l'absente, dilemme infernal, "L'inconsolable" nous renvoie chacun à notre humanité, à notre mortalité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Séguret
Total du programme : 70 minutes bien serrées, d'une très forte densité en cinéma comme en littérature (Barrès, Kafka, Pavese, est-ce assez dire ?).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Jean-Marie Straub interroge la notion d'identité au fil de quatre courts métrages. Si son cinéma, mêlant théâtre et contemplation de la nature, reste marginal, son langage parvient toujours à nous envoûter.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Jacques Morice
Ce thème des blessures anciennes traverse les (...) courts métrages, mais de manière plus aride, selon le dispositif " straubien ", à savoir des récitants statufiés qui scandent des mots comme on martèle un métal sur l'enclume.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Jean-Marie Straub nous revient avec cinq films courts. À croire qu'à présent qu'il ne peut plus faire un seul film ensemble (avec Danièle Huillet), il a trouvé sa forme d'expression : faire, seul, un ensemble de films qui sont autant de pièces musicales jouées sur le mode des variations.
Critikat.com
Des personnes déplacées aux espaces utopiques de la nature, les films de Jean-Marie Straub montrent une humanité sujette à d'impossibles deuils.
L'Humanité
Trois auteurs, trois rencontres : on peut lire ce " montage " comme retour sur leur parcours à deux, avec Danièle. Et comme un autre départ, de Straub, affrontant son deuil et la nécessité, pour lui, de continuer en cinéma.
Le Monde
Reste, à la sortie de la projection, la sensation d'avoir partagé une profonde tristesse tempérée par l'intelligence de l'artiste.
Les Inrockuptibles
Hymne torturé à la vie, regret de l'absente, dilemme infernal, "L'inconsolable" nous renvoie chacun à notre humanité, à notre mortalité.
Libération
Total du programme : 70 minutes bien serrées, d'une très forte densité en cinéma comme en littérature (Barrès, Kafka, Pavese, est-ce assez dire ?).
Les Fiches du Cinéma
Jean-Marie Straub interroge la notion d'identité au fil de quatre courts métrages. Si son cinéma, mêlant théâtre et contemplation de la nature, reste marginal, son langage parvient toujours à nous envoûter.
Télérama
Ce thème des blessures anciennes traverse les (...) courts métrages, mais de manière plus aride, selon le dispositif " straubien ", à savoir des récitants statufiés qui scandent des mots comme on martèle un métal sur l'enclume.