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Le film bouleverse, oui, mais tout en respectant à la fois la dignité de ceux qu'il filme et de ceux qui le regardent. Au cinéma, l'intelligence est la meilleur consolatrice.
L'une des forces du film de Sylvain George est de tenter de restituer la matérialité de l'épreuve des hommes identifiés comme " les réfugiés de Calais ", en somme une masse sans visages.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Un document ample et ambitieux. (...) L'attention portée aux lumières, aux sons, aux paysages de friche industrielle, et la musique d'Archie Shepp libèrent notre attention pour des paroles qui se livrent au compte-gouttes.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Plus que de révolte, ces personnes sur la route depuis des années n'aspirent qu'au repos. Il est dommage que Sylvain George ne l'ait pas compris et se serve d'eux pour porter un discours (aussi louable soit-il) qui n'est pas le leur.
Les Inrockuptibles
Le film bouleverse, oui, mais tout en respectant à la fois la dignité de ceux qu'il filme et de ceux qui le regardent. Au cinéma, l'intelligence est la meilleur consolatrice.
Libération
Un des chocs de cette année.
Critikat.com
L'une des forces du film de Sylvain George est de tenter de restituer la matérialité de l'épreuve des hommes identifiés comme " les réfugiés de Calais ", en somme une masse sans visages.
Positif
Un document ample et ambitieux. (...) L'attention portée aux lumières, aux sons, aux paysages de friche industrielle, et la musique d'Archie Shepp libèrent notre attention pour des paroles qui se livrent au compte-gouttes.
Télérama
C'est un film essentiel et hors norme. (...) Loin de les réduire à leur statut de victimes, Sylvain George filme les clandestins debout, en révolte.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Cahiers du Cinéma
Plus que de révolte, ces personnes sur la route depuis des années n'aspirent qu'au repos. Il est dommage que Sylvain George ne l'ait pas compris et se serve d'eux pour porter un discours (aussi louable soit-il) qui n'est pas le leur.
Le Monde
Fait de longues séquences en noir et blanc, le film additionne des moments, passe d'une saison à l'autre.