Le Jour où le cochon est tombé dans le puits : Critique presse
Le Jour où le cochon est tombé dans le puits
Note moyenne
3,8
11 titres de presse
Le Point
Aden
Ciné Live
Le Monde
MCinéma.com
Première
TéléCinéObs
Télérama
Cahiers du Cinéma
Novaplanet.com
Obejctif-Cinema.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Aden
par Philippe Piazzo
Il ne faut surtout pas manquer Le Jour où le cochon est tombé dans le puits (expression populaire coréenne pour parler d'un jour où tout va de travers) où, à travers les aspirations et les itinéraires de quatre personnages, on découvre la désespérance et le malaise existentiel d'une génération de trentenaires.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Jean-François Rauger
Les trois premiers films du Coréen, "Le Jour où le cochon est tombé dans le puits", "Le Pouvoir de la province de Kangwon" et "La Vierge mise à nu par ses prétendants", sortent en salles : des récits exemplaires, dont l'architecture alambiquée met au jour l'opacité des comportements.
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
La narration est difficile à suivre mais de plus en plus audacieuse. Chaque moment, souvent aux bords de l'improvisation, s'avère précieux.
Première
par Olivier De Bruyn
Autant le dire illico : ce premier film, réalisé en 1996, est une révélation.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Frédéric Faure
Autant de protagonistes dépeints avec minutie par l'un des cinéastes coréens les plus prometteurs de sa génération.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
En trois films, charnels, familiers, précis, le Coréen Hong Sang-soo saisit le tourbillon de la vie. Une révélation.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Le film bifurque sans crier gare pour quatre portraits successifs qui n'ont pas grand chose à raconter mais décrivent surtout un quotidien monotone.
Novaplanet.com
par Alex Masson
Les initiés à Hal Hartley ou Edward Yang risquent de se retrouver dans ces remarquables études de moeurs, les autres de s'ennuyer ferme devant tant de minimalisme apprêté.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Obejctif-Cinema.com
par Romain Le Vern
Si on est d'humeur et qu'on aime les expériences qui sortent du commun, on peut goûter à ce subtil agencement d'histoires qui n'a pas fini de susciter les interrogations...
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Aden
Il ne faut surtout pas manquer Le Jour où le cochon est tombé dans le puits (expression populaire coréenne pour parler d'un jour où tout va de travers) où, à travers les aspirations et les itinéraires de quatre personnages, on découvre la désespérance et le malaise existentiel d'une génération de trentenaires.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Les trois premiers films du Coréen, "Le Jour où le cochon est tombé dans le puits", "Le Pouvoir de la province de Kangwon" et "La Vierge mise à nu par ses prétendants", sortent en salles : des récits exemplaires, dont l'architecture alambiquée met au jour l'opacité des comportements.
MCinéma.com
La narration est difficile à suivre mais de plus en plus audacieuse. Chaque moment, souvent aux bords de l'improvisation, s'avère précieux.
Première
Autant le dire illico : ce premier film, réalisé en 1996, est une révélation.
TéléCinéObs
Autant de protagonistes dépeints avec minutie par l'un des cinéastes coréens les plus prometteurs de sa génération.
Télérama
En trois films, charnels, familiers, précis, le Coréen Hong Sang-soo saisit le tourbillon de la vie. Une révélation.
Cahiers du Cinéma
Le film bifurque sans crier gare pour quatre portraits successifs qui n'ont pas grand chose à raconter mais décrivent surtout un quotidien monotone.
Novaplanet.com
Les initiés à Hal Hartley ou Edward Yang risquent de se retrouver dans ces remarquables études de moeurs, les autres de s'ennuyer ferme devant tant de minimalisme apprêté.
Obejctif-Cinema.com
Si on est d'humeur et qu'on aime les expériences qui sortent du commun, on peut goûter à ce subtil agencement d'histoires qui n'a pas fini de susciter les interrogations...