L’intolérance racontée sous différentes ères, divers pays et civilisations, regardons ces quatre épisodes découpés se réunira en destin croisé, ils auront toujours un lien dans cette mise en scène muette à jamais gravé dans une stèle monument dédiée au cinéma noir et blanc, c’est un chef-d’œuvre époustouflant, émouvant et tellement beau.
L’année suivante 1916 crée l’événement passé à contre-courant du polémiste réalisé en 1915, le réactionnaire naissance d’une nation américaine, une peur prophétique des droits civiques réalisés, soit un péril raciste rangé dans un tiroir au studio Hollywoodien pour nous dévoiler cette fresque à l’image du tableau qui bouge pendant 3h00 sans temps mort.
On est captivé, impressionnante passion pour faire bouger le temps des scènes en horaire mise, accordons-lui la reconnaissance d’un bon travail de recherche servant pour le cours à l’école du cinéma, sous les traits d’une femme étalée ce scénario épisodique qui se fait dérober, impuissante face à des voleuses son bébé.
On commence par le plus passionnant, l’éducative histoire du massacre de la sainte Barthélémy, une vue d’ensemble sur le règne de Charles IX agit sous la coupe de la reine de Medicis, monter à la tête les catholiques contre les protestants.
C’était la guerre civile française du 16ème siècle des navigateurs conquérants évangélistes pieux chrétiens et huguenots, une bataille politique sur le trône pour les seigneurs sans honneurs, au prix de tant de sang versé dans cette magnifique tragédie historique.
C’est remarquable voir admirable, on finit par s’incliner et n’oublions pas ses ailleurs films enregistrés pour la postérité, la chrétienté romaine représentée par la vie et mort de Jesus de Nazareth, influence biblique chaldéen, noce de Cana.
Tout est relié dans cette région avant le Christ, sa venue naîtra soit préparée en fête symbolique, c’est le messie et ce n’est pas rien, alléluia...!! L’histoire rappelle celui des phallocrates et autres hypocrites de l’époque pré-jésuite païenne polythéiste.
C’est de la culture intéressante, pas une blague à part, la condamnation à mort systématique d’un gréviste ayant incité au soulèvement populaire, une révolte en marche avant vers la révolution écrasée.
C’est marquant, mouvementé, fort, intense, crucial, épuisant, incroyable, fabuleux, très juste à point nommé, au moment de l’exécution pendaison fin prête vienne la grâce inespérée, l’ordre du jour sera justice, l’innocence justifiée est épargnée.