Derniers Avis : Hunger Games - L'embrasement - Page 2

Ce second opus est très bon, mais un ton en dessous du premier.
Moins de pression, moins d'envergure, moins virtuose.
Malgré une arène très cool et plus intéressante que la première. Ce film manque d'importance,
on ressent moins le stress de Katniss dans l'arène, on la sent plus en sécurité, moins en danger.
Il y a beaucoup moins de temps dans l'arène et ce film est plus tourné vers la relation Peeta-Katniss. Puis, également il manque un peu de nouveauté dans le dérouler des préparatifs du hunger games, ce qui est un peu redondant.
C'est un bon film, mais comparé au premier, on garde un goût d'inachevé.
Toutefois cette fin avec ce petit plot twist est très intéressant, ce qui nous donnes une petite hype pour le 3eme du nom.

Après un premier film très réussi, qui posait les bases, le deuxième film reprend la lignée du premier en étant mieux ! "L'embrasement" est plus abouti et contrairement au premier où l'on ne ressentait pas trop la "peur" de la dictature, dans cet opus c'est tout l'inverse !

Rare sont les sagas qui ont un 2e meilleur film que le premier !

Hunger Games - L'Embrasement : Katniss Allume le Barbecue de la Révolte

Ah, "Hunger Games - L'Embrasement", le film qui prouve que gagner à la loterie de la survie n'est pas aussi glamour qu'on le pense. Katniss Everdeen et son acolyte Peeta Mellark, après avoir survécu au premier volet et décroché le gros lot de la vie, sont désormais sur la route pour une tournée de la victoire. Autrement dit, c'est comme le road trip familial, mais au lieu de visiter les monuments, ils se tapent des districts où les gens vivent dans des coins plus sombres que les intrigues de "Game of Thrones".

Dans ce deuxième volet, on découvre que le Capitole, c'est un peu comme une dictature Kardashian, avec le Président Snow jouant le rôle du Kris Jenner du futur dystopique. La politique est plus tordue que le scénario d'un épisode de "Black Mirror". La télé-réalité fait toujours des ravages, mais au lieu de regarder des gens s'engueuler pour un gâteau, ici, on regarde des jeunes s'entre-tuer pour le plaisir du Capitole. C'est un peu comme "The Hunger Games Factor", mais avec moins de chansons et plus d'archers.

Le réalisateur, Francis Lawrence, a décidé d'être plus fidèle au livre que ton pote qui ne l'est pas aux plans qu'il te doit. Si t'as lu le bouquin, tu peux presque cocher les cases en même temps que les personnages. C'est bien, mais ça file plus vite que la réputation de Spider-Man. Certains moments qui auraient mérité un petit détour sont expédiés plus rapidement qu'un SMS de breakup. Dommage, car on aurait bien pris le temps de siroter notre popcorn en appréciant chaque pépite de l'histoire.

Côté action, "Hunger Games - L'Embrasement" ne fait pas dans la dentelle. Des singes, un brouillard qui fait sa meilleure imitation de la Brume Stephen Kingienne, et des combats à l'arme blanche qui donnent l'impression que Katniss et ses potes ont fait un stage chez Rambo. C'est plus intense que le dernier niveau de Mario, et ça claque autant que le portefeuille après avoir acheté des places de ciné.

Le casting, parlons-en. Jennifer Lawrence, l'actrice oscarisée, incarne Katniss avec plus de badasserie que Lara Croft après trois cafés serrés. Josh Hutcherson en Peeta et Liam Hemsworth en Gale sont là aussi, mais c'est surtout Sam Claflin qui débarque comme le messie des Hunger Games. On ne sait pas s'il a utilisé du charme ou de la magie, mais son personnage, Finnick Odair, envoie du lourd comme s'il avait un abonnement à la salle de musculation de l'apocalypse.

En conclusion, "Hunger Games - L'Embrasement" est un rollercoaster qui te laisse aussi sec qu'une lessive en plein désert. Malgré quelques ratés de vitesse par rapport au livre et des moments qui passent plus vite qu'un épisode de "Friends" sous speed, le film est une expérience palpitante. L'action est aussi survoltée qu'une LAN party de geeks affamés, le casting est impeccable, et l'intrigue politique fait plus réfléchir qu'une soirée philo après trois bouteilles de vin. Alors, allumez le barbecue de la révolte, préparez-vous à griller du popcorn, et plongez dans l'univers survolté de Panem. Après tout, même dans un monde dystopique, l'humour reste notre meilleur allié.

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Les films tiennent en haleine dès qu'ils entrent dans l'arène , les débuts servent à expliquer les enjeux et faire connaître les personnages et perso les 2 premiers sont mes préférés sur les 4. Jennnifer Lawrence aussi jolie que forte et indomptable, la naissance d'une super actrice.

Très bonne saga j'ai adoré les livres et les films avec de bon acteurs si seulement on pourrait avoir plus de genre de film ou saga

On ne change pas une équipe qui gagne, on prend les bonnes idées du 1er et on repart avec ! Hunger Games l’a bien compris, le 2 étant dans la droite lignée du premier opus : la structure du film reste inchangée sans pour autant être rébarbative, les personnages sont tout aussi bien écrits et brillamment interprétés (mention spéciale à Lawrence au sommet de son art), une réalisation/direction artistique aux petits oignons, le tout couplé à une multitude de séquences iconiques spoiler: (le discours dans le district 11, la mort de Cinna suivie de l’entrée dans l’arène, l’évacuation de cette dernière…).
Seul changement notable et pas des moindres : le traitement des jeux. Que ce soit décors, effets spéciaux, tensions, événements, dénouement ; tout monte d’un cran.
Les 75ème H.G resteront définitivement les plus glorieux que Panem ait connu.

Le premier était de bonne facture le deux est encore un cran au dessus. En terme d'action, d'effets spéciaux mais surtout de profondeur de scénario et de retournement de situation ce deuxième opus apparait supérieur à son ainé. Le seul petit bémol que j'ai à lui faire c'est que le temps dans l'arène passe trop vite et surtout l'idée géniale de l'horloge est malheureusement trop sous exploité.
Sinon on prend les memes points forts que le premier et on recommence. C'est très bon et les 2h40 filent à vitesse grand V . La réalisation est meilleure que le premier moins nerveuse mais finalement plus immersive, les acteurs s'améliorent bref tout est plus grand plus beau plus profond. Surement le meilleur opus de la saga

un véritable chef d'oeuvre de tout les temps. effet spéciaux à couper le souffle, acteurs et actrices de légende, costumes incroyables, bande son fénoménale, scénario en béton.

Si je compare au premier opus, on sent un ventre mou tout de même dans l'intrigue, et tout du long de la première partie du film jusqu'au fameux "jeux". Beaucoup de blabla, mais qui suit parfaitement la logique du premier volet. Le rendu respecte toutefois la logique du premier, en poussant encore davantage vers la rébellion générale.

Ça y est on développe le "Battle Royale" en franchise, tant qu'à faire. Toujours aussi mauvais que le premier et à des années lumières de l'essence du parent asiat, on se retrouve avec une franchise faite pour les 15/25 ans, plate à mourir, sans tout ce que Battle Royale pouvait dénoncer, et je ne parle même de la violence totalement lissée dans cet ersatz américain franchisé. Bref, une franchise à la Twilight pour ados attardés...

Autant le premier opus faisait son petit effet, autant celui-ci est tellement dans la surenchère qu'il en devient grotesque !
Dommage parce qu'il y a parfois de bonnes idées...

J'ai préféré le premier film mais celui la est aussi un tres bon film avec des nouveaux personnages intéressants.

Un deuxième opus nettement moins sympa que le premier, avec encore plus de longueurs et de lourdeurs. On va s’arrêter là ! 2,25

J'ai vu un film... et je suis bien rentré dans l'histoire... Heu, je trouve quand même que moralement tuer des ados, ou les voir s'entretuer, ça me fait quelque chose, surtout que la dénonciation de cet univers totalitaire, et de dictature audiovisuelle, me fait penser à ce qu'aurait pu être un nazisme à peine dévoyé (est-ce seulement possible ?)... Lire George Perec (W ou le Souvenir d'enfance) sur les jeux qui changent de règles, au gré de la volonté des dictateurs pour les seuls vainqueurs soient le régime... Dans ce libre de Perec, il est question d'une organisation humaine dans une île imaginaire de la Terre de Feu nommée W. Toute l'activité humaine est vouée au sport. Chacun participe chaque jour à des compétitions, qui finissent par écraser l'individu... qui adhèrent à un idéal dont la devise est « Plus haut, plus fort, plus vite ». C'est une transposition romanesque de certains thèmes de l'idéologie nazie : l'exaltation de la virilité, du surhomme, la supériorité de la race aryenne, l'obsession des corps sains et vigoureux, « la célébration des « forts ». Au final Hunger Game est efficace, et le système est puissant... Saura-t-il résister à la résistance des habitants écrasés, dominés qui n'ont comme seule échappatoire la TV et les jeux ?... En tout cas, sous le charme de l'univers...

2e volet de cette saga qui continue de nous raconter l'histoire des amants maudits du District 12 avec une nouvelle arène, de nouvelles épreuves et la fille du feu qui apporte un espoir de rébellion à la population de Panem.