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Un visiteur
5,0
Publiée le 15 janvier 2015
Mon préféré de la saga Hunger Games! Le triangle amoureux est très présent dans ce film et la manière dont il est présenté nous fait ressentir énormément d'émotions. Personnellement, j'ai trouvé l'arène des jeux bien plus intéressante cette fois ci et les tributs aussi, ils sont d'ailleurs plus développés, Finnick plus que les autres et que j'ai adoré, Johanna aussi est cool dans le genre je dis ce que je pense ils peuvent rien contre moi. Les personnages de Gabe et Peta et les sentiments que Katniss éprouvent pour les deux sont montrés mais très ambigües et c'est ce que j'ai adoré. La fin est juste géniale quand le plan lui est révélé et qu'on voit que Finnick est vraiment de leur côté, tout comme une autre personne qu'on aurait jamais pensé. Et j'ai adoré les scènes Katniss/Gabe je sais pas pourquoi je préfère leur relation mais tout le monde sait qu'elle est amoureuse de Peta aussi. L'ambiance générale de rébellion s'amplifie et l'on voit que les districts ne veulent plus de ce "gouvernement" et se prépare vraiment pour une possible guerre...
Pourquoi ne pas créer des étoiles négatives ? Le deuxième volet de ce mauvais divertissement pour ados s'y prêterait parfaitement. Scénario indigent, enjeu inexistant, effets spéciaux béotiens, esthétique vulgaire, jeu surfait... Tout est prévisible, tout sonne faux, tout nous rappelle que ce film n'a comme seul objectif de faire tourner la machine à billets hollywoodienne. D'un ennui total.
Le film a des qualités indéniables : de l'action, de l'émotion, une belle réalisation, des interprètes investis... Seulement, cela ressemble un peu trop à un épisode de transition. On a donc droit à une fin frustrante, qui suit des péripéties moins captivantes et une mise en place un peu longue. Un épisode plus moyen que le précédent...
Ancré dans le courant pessimiste de la crise économique et sociétale, cette fable noire de politique fiction porte à la réflexion sur la manipulation des médias, la révolte, le sacrifice et donne entre les mains de nos adolescents quelques raisons de se battre. La mise en scène n’abuse pas inutilement des effets spéciaux qui pourraient être spécieux.
Adapté du second volume de la saga littéraire de Suzanne Collins, ce second volet de "Hunger games" s’inscrit dans la continuité logique du premier épisode. Pourtant nous changeons de réalisateur, Gary Ross ayant volontairement laissé sa place que finalement Francis Lawrence héritera. Alors je ne sais si c’est pour cette raison ou parce que la présentation des personnages est pour ainsi dire terminée, mais le rythme est quand même cette fois plus soutenu. Il souffre encore de quelques longueurs ici et là, mais le scénario exploite les idées du premier volet pour les utiliser à bon escient. Il s’agit des traumatismes subis, des émotions qui en découlent, et assurent ainsi une intrigue un tantinet plus sombre que précédemment. A cela est rajouté encore plus de machiavélisme pour enterrer discrètement Katniss Everdeen, devenue malgré elle le symbole d’une révolte latente qui gronde. Nous retrouvons avec grand plaisir mêlé à de la compassion l’équipe gagnante des 74èmes Hunger games, à savoir Jennifer Lawrence qui, à l’instar de sa carrière cinématographique, prend ici une autre dimension. Nous retrouvons aussi Josh Hutcherson, Woody Harrelson qui va en s’humanisant, Lenny Kravitz de plus en plus étonnant en styliste à faire pâlir de jalousie tous les plus grands noms des couturiers. Quant à Liam Hemsworth, il assure une présence plus grande en amoureux de Katniss, et sans avoir vu le 3ème volet, je devine qu’il en prendra encore davantage. Stanley Tucci est toujours aussi excellent en présentateur télé le plus fantasque qui soit, Donald Sutherland devient de plus en plus antipathique en grand patron qui veut garder le contrôle sur les districts. Nous voyons aussi de nouvelles têtes comme Philip Seymour Hoffman dans le rôle du haut juge, énigmatique à souhait. On accueille aussi l’arrivée très remarquée de Sam Claflin dans le rôle de Finnick Odair, et de Jena Malone dans le rôle Johanna Mason. J’avoue que j’ai eu un faible pour Lynn Cohen, très touchante sous les traits de Mags, valeureuse mamie muette à qui la vie n'a plus grand chose à offrir. "Hunger games", une saga pour adolescents ? Oui, mais pas seulement. Chacun y trouvera son intérêt dès lors qu’on se laisse porter par l’intrigue. Je considère même que l’embrasement est supérieur à l’entame de la saga, dans l’intrigue (puisé certes dans le roman), dans le rythme, mais aussi dans les effets spéciaux, plus nombreux. Il faut dire que le réalisateur a fait appel aux meilleurs dans ce domaine : le studio Weta qui a participé à des films emblématiques tels que "Avatar", "Avengers", "King-Kong", ou encore la trilogie "Le seigneur des anneaux". Nous gagnons donc en spectaculaire réaliste, le tout étant accompagné par une bonne nouvelle partition de James Newton Howard. Evidemment, la fin laisse la place à une suite inévitable alors vivement qu’on voit le reste afin de découvrir comment tout ça va se finir.
Bataille jusqu'à ce qu'il reste un(e) dernier(e) suite... Déjà, changement de réalisateur, cette fois Francis Lawrence (Constantine), succède à Gary Ross. L'embrasement est que cette suite est meilleur que son précédent, je dirais tant mieux, mais à part quelques scènes motivantes, cette bande de candidat devant survivre sur le terrain contient pas mal d'armes de faiblesses. Comme dans le précédent volet, les duels ou autres confrontations emballent très peu... Heureusement qu'à la base tout se passe plutôt sur le plan du mental ou bien encore de la stratégie. Nous nous disons au fond que le casting porte à nouveau ce volet avec une nouvelle arrivée en plus, Philip Seymour Hoffman.
Cette suite, plus sombre et plus mature que son prédécesseur, se focalise moins sur les jeux en eux-mêmes, mais plutôt sur tout ce qu’il y a autour sans toutefois faire de la redite. Katniss et Peeta sont désormais pris au piège par le Capitole qui utilise leur image pour adoucir les Districts. Malgré cela, la révolte gronde car la belle est celle qui a refusé le dictat des jeux mortels et est subséquemment devenue le symbole (le geai moqueur) derrière lequel les pauvres opprimés se retrouvent. On assiste alors à une lutte psychologique intéressante entre le couple et le chef suprême Snow (formidable ordure politique incarnée par l’excellent Donald Sutherland !), mais aussi à plus de répressions et de violences afin de calmer l’ardeur des foules. Enfin, on discerne le vrai visage de la dictature qui aura même des répercussions sur les jeux, les 75èmes au règlement si particulier. Si les décors, les costumes et les acteurs sont toujours plus qu’honorables, il n’en va pas de même pour l’histoire autour du triangle amoureux entre Katniss, Gale et Peeta, qui commence un peu à lasser à force de tant d’indécision. Néanmoins, ce détail mineur n’empêchera pas le spectateur d’éprouver beaucoup de plaisir devant ce divertissement plus qu’attrayant et dont la fin le laissera plus qu’impatient de découvrir une suite qu’on espère aussi convaincante !
Suite de l’immense succès de la saga “Hunger Games” avec ce deuxième opus qui, comme son prédécesseur, à bénéficié d’une campagne de promotion pléthorique avec teaser, trailer, bande-annonce, site dédié, page facebook…. Résultat : plus de 865 millions d’entrées dans le monde. Alors, au-delà de ce gigantisme commercial que vaut le film ? Eh bien, comme le premier, on a un film d’action rondement mené avec une intrigue suffisamment prenante et soignée pour qu’on se prenne au jeu. Le film creuse le sillon de l’aspect politique de l’intrigue avec une Katniss prisonnière de son statut : comme promotrice du système aux yeux du gouvernement totalitaire et héroïne de la résistance auprès du peuple. Coincée dans ces deux rôles dont elle ne veut pas, elle se retrouve au milieu d’une machination où chaque camps espère l’utiliser pour assurer son triomphe et tout cela avec en ligne de mire une nouvelle session des Hunger Games dans une version “Koh Lanta le retour des héros” où vont s’affronter les anciens gagnants des Hunger games précédents. La première partie est plus achevée dans sa partie intrigue et le film d’action ne commence vraiment qu’au bout d’une heure avec le retour aux épreuves qui sans être ennuyeuses, loin de là, ressemblent à une redite du premier volet. Un second opus au niveau du premier film, ce qui en soi est déjà satisfaisant, tant les numéros deux sont souvent médiocres, et qui permet de suivre avec plaisir une saga qui sans être follement créative offre un spectacle de qualité qu’une promotion ultra-léchée nous fait passer pour un must-have. À voir pour le plaisir de la distraction en attendant (et pourquoi pas avec une certaine impatience) le troisième volet, d’ors et déjà prévu en deux parties (effet rentabilité à la “Twilight”espéré).
Encore une fois, les personnages continuent d'être bien définis et l'intrigue posée de manière assez solide avant de lancer les hostilités puisque cette suite se scinde elle-aussi en deux parties distinctes, une pour amener l'action et une autre pour la vivre, exactement comme dans le premier en fait. Ça sent le déjà vu en ce sens que les bases du premier sont reprises telles qu'elles pour être resservies telles qu'elles, à ceci près qu'elles sont poussées plus loin cette fois-ci et ça fait la différence ! On n'a pas affaire ici à de la bagarre gratuite mais à des personnages pour lesquels la bagarre fait partie de leur parcours vers un combat plus grand que le seul cadre des Hunger Games. On entre là dans une approche bien plus mature et bien plus intéressante aussi, la preuve en est que les jeux ne commencent qu'à la fin du film et ne constituent donc pas le coeur de l'intrigue. Les enjeux sont plus larges que dans le premier volet et c'est tant mieux. En contrepartie, les amourettes adolescentes viennent quelque peu gâcher le tableau, tout comme la propreté des combats et les prestations du monde moderne (Stanley Tucci et son dentier en tête), en rappelant de temps à autre le jeune âge du public ciblé et en tirant trop sur la corde à humour, quitte à devenir lourdingue.
BATTLE ROYALE. Le robin des bois du pauvre ou le koh lanta des meilleurs. Mais les meilleurs c'est Hollywood qui produit avec son industrie des navets pour les adolescents moutons qui ne se déplacent qu'en groupe.
SUBLIME!! J'avoue que l'approche est très attractive. Ce film m'a plu car Jennifer Lawrence joue un rôle très subtil. Grâce aux dialogues, ce film nous transporte du début à la fin. Ce long-métrage est de science-fiction avec beaucoup d'action, cependant les graphismes et les effets spéciaux donnent vraiment une impression de réel. Selon moi, c'est un film magistral et grandiose qui est un grand succès commercial. C'est un roman qui a été adapté à l'écran et a été doublé en différentes langues. En ce qui me concerne, je suis très satisfait d'avoir vu ce film. Je vous le conseille!! (N.A.C)
Quoi dire...ce deuxième volet est très décevant. Ennui du début à la fin, pas d'originalité dans le scénario, les personnages ne sont pas attachants et sont vite expédiés dans l'au-delà sans action haletante. Le seul acteur qui se démarque est Donald Sutherland. Les autres, bof bof.
Le premier était déjà pas terrible mais celui-là est encore plus décevant. Il en est une copie conforme. Le scénario est exactement le même : district au début, puis train, entraînement, présentation à la télé et arène. Les combats dans l'arène ne tiennent même pas la route, quelqu'un meurt pour trois fois rien là où l'héroïne, bien sûr, prend tous les risques du monde et s'en sort sans une égratignure. Et puis les moments émotions avec le poing levé et tout le monde qui pleure c'est tellement cliché. Un sentimentalisme débile auquel on ne croit pas une seconde.
Après un 1er volet qui s'avérait être une bonne entrée en matière mais plombée par son côté trop grand public et une mise en scène pas franchement au top, le 2ème volet des aventures de Katniss et de toute sa bande de potes avec des prénoms pas possibles s'annonçait un peu mieux car F. Lawrence, même s'il n'a jamais réalisé de pur chef d'oeuvre, est un bien meilleur technicien que G.Ross. C'est donc en bon faiseur efficace qu'il empile les scènes et les situations qui se répètent un peu avec le 1er volet, quand bien même les enjeux ont un peu évolués et que le ton est un peu plus dramatique. Retour dans l'arène donc pour Katniss avec de nouveaux combattants même si on se demande comment certains ont fait pour gagner les éditions précédentes. Le rythme est toujours aussi soutenu, les scènes s'enchaînent avec fluidité et la mise en scène est vraiment meilleure que dans le 1er volet, avec des scènes d'action plus lisibles et une caméra moins tremblotante. La mythologie prend forme et parfois, on peut se prendre au jeu de l'histoire surtout que les comédiens sont assez bons, malgré un maquillage excessif et des costumes complètement WTF mais au moins, l’univers visuel de la saga est bien reconnaissable. C'est toujours aussi grand public, avec un sous-texte subversif parfois étouffé et même si c'est clairement pour les ados, ça se suit sans trop de déplaisir. D'autres critiques sur