Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Matching P.
14 abonnés
133 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 4 juillet 2018
En 1994, Mike Newell nous avait heureusement surprises avec son film "Quatre mariage et un enterrement" unanimement bien accueilli, presque "culte". "Le cercle littéraire de Guernesey" est inspiré du roman : "Le Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates", une fiction historique épistolaire, écrite par Mary Ann Shaffer et Annie Barrows. Nous avions lu ce livre dont l'idée de départ nous avait paru originale. De plus, nous sommes allés récemment sur Jersey , une île voisine. Plusieurs arguments donc qui nous ont incitées à aller voir cette nouvelle œuvre de Newell. Nous retrouvons comme dans "Quatre mariages et un enterrement" le ton de comédie qui cède la place à un événement tragique. Ici c'est la disparition d'une jeune femme pendant l'occupation allemande. La maîtrise de l'image, l'humour anglais et la distribution de qualité en font un film agréable à regarder. Avec quelques reproches cependant. Des clichés sur la guerre qui donnent une impression de déjà vu, l'histoire d'amour trop prévisible, presque improbable. Elle, trop belle, trop bien habillée et maquillée dans Londres en partie détruite par les bombardements. Quant à lui, nous rêvons toutes d'un tel éleveur de cochon... la romance frôle trop souvent la mièvrerie. Restons indulgentes, c'est l'été, la photo est très belle, nous sommes contentes de retrouver quelques acteurs. Retenons l'humanité de cette comédie romantique pour tout public...
Daube interstellaire, néant cosmique. Le scénario est creux comme une huître, la direction d'acteur inexistante (l'actrice ne fait que pleurnicher ce qi est en contraste total avec le caractère qu'elle est supposée avoir). Prône le féminisme mais englue ses personnages dans des rôles dignes (ou même pires) que le plus niais des Disneys. J'ai eu l'impression de boire un verre vide. Rien ne sauve le film, la réalisation ne rattrape rien. À fuir comme la peste !
J'avais adoré le roman épistolaire " le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates" de Mary Ann Schaffer, touché par cette histoire d'amour qui sous son apparence de bluette m'en avait appris beaucoup sur l'occupation d'un petit bout de l’Angleterre par les nazis. Et qui dressait aussi le portrait de personnages attachants et de valeurs désuètes malheureusement en voie de disparition. Comme toutes les adaptations, j'allais donc voir le film avec une certaine appréhension, rassuré néanmoins par le nom du réalisateur. Ayant oublié une partie de l'histoire, j'ai donc redécouvert avec grand plaisir celle-ci dans cette comédie romantique que j'ai trouvé très réussie. Le côté épistolaire est très vite mis de côté - il est vrai que ce genre littéraire est peu adaptable d'un point de vue cinématographique. De fait Juliet Ashton, l’héroïne rencontre beaucoup plus vite l'ile de Guernesey et son cercle littéraire que l’héroïne du livre. Et se déroule alors doucement le fil de l'histoire qui nous permet de découvrir (une partie de) la vie des habitants sous l'occupation et éclaire un peu sur la grande Histoire par le truchement de petites histoires. Mais cette découverte se fait lentement, avec une grande pudeur qui ne peut que me réjouir à l'heure ou l'on déballe tout tout de suite sur les réseaux sociaux. Non à l'époque les gens ont de l'éducation, de la réserve, de la pudeur, et n'exposent pas facilement leurs sentiments ( pudeur très bien retranscrite par Miss Maugery: "non je le lirai plus tard, je ne veux pas qu'on me voit pleurer") il faut donc démêler l’écheveau brin par brin pour découvrir enfin la vérité. Et c'est d'ailleurs le seul reproche que je ferais au film : je trouve que Juliet Ashton insiste parfois trop : c'est plus visible au cinéma que dans le livre ou le recul que nécessite le temps de rédiger une lettre permet d'adoucir cette curiosité qui a l'écran apparait plus "lourde". A part ça j'ai vraiment beaucoup aimé le film. Le casting sans être hollywoodien est irréprochable, de la sublime Lily James aux jeunes Kit Connor ou Florence Keen. Lily James, actrice aux faux airs de Keira Knightley, joue à merveille le rôle de cette jeune auteur, pleine de charme, mélange de timidité et d'audace, d'assurance et de faiblesse et qui en cherchant à trouver la vérité sur ce qui s'est passé sur l'île se reconstruira elle-même. J'ai adoré aussi Tom Courtenay, dans le rôle du vieil Eben Ramsay, qui apporte souvent la touche d'humour mais fait aussi jaillir l'émotion (spoiler: la scène de l'évacuation des enfants
Ce film est plein de bons sentiments - ce que je déteste habituellement - mais amenés de façon légère, avec délicatesse et une grande tendresse pour ses personnages et donc sans la niaiserie caractéristique de bon nombre de bisounourseries... En plus, bien que cela se ressente moins que dans le livre, c'est une ode à la lecture.
Bref un magnifique film, bien plus profond que la superficielle comédie romantique habituelle, et qui permet aussi de découvrir (un peu) l'Histoire.
Plusieurs acteurs tout droit sortis de Dowton Abbey ( Penelope Wilton, dans une composition plus réussie que la mutine Lily James), des décors naturels de Guernesey qui donnent envie d'y aller séance tenante, une partie d'histoire d'occupation allemande méconnue, voilà qui donne un film agréable à voir, " so british" et à la mise en scène rodée. Au-delà, il ne faut pas demander plus un film qui raconte un belle romance prévisible, et n'a rien de littéraire ou lyrique à offrir. La musique peut être inutilement insistante et les blagues autour des épluchures vite éculées. Mais le savoir-faire de Newell évite l'indigestion. Ciné 1 - juillet 18
Si l'humour britannique est présent au début ( pour nous faire oublier l'absence d'un générique de base), le film tourne vite au drame qui entoure une famille avec une intensité grandissante mêlée d'une certaine austérité à l'image de cette côte de Guernesey sublime! Il en ressort un très bon film bien interprété dans lequel je retiendrai Tom Courtenay dans un excellent second rôle d'autant que ses apparitions à l'écran sont devenus rares.
Les épluchures de patate ont disparu du titre français. Etrange idée qui n'altère cependant pas la saveur d'un film plus sucré que salé : c'est plein de miel, de sucre d'orge, d'amour, d'amitié et de couchés de soleil. Ce n'est pas l'oeuvre de l'année mais le film est à l'image du livre : il se regarde sans peine comme une petite douceur après le repas du soir.
Très déçue par ce film qui m'a paru durer une éternité, et que j'ai trouvé totalement insipide. Je n'ai ressenti aucune émotion, à aucun moment je ne me suis sentie transportée par cette histoire. Les personnages m'ont laissée totalement indifférente.
Tiré du roman de Mary Ann Shaffer et Annie Barrows, Le Cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates, que je dois avouer ne pas avoir lu mais après avoir vu ce film j’ai vraiment envie de me rattraper ! Mise à part la curiosité de découvrir ce film à cause de son titre, ben oui un sujet sur les livre forcément, on peut dire que son casting est plutôt alléchant ! Les amateurs de Downton Abbey seront ravis d’y retrouver moult acteurs de la série (Lily James, Jessica Brown Findlay ou encore Penelope Wilton) ! Rien que pour ça mon intérêt était grand mais aussi pour l’autre acteur principal Michiel Huisman (Game of Throne). J’ai vraiment adoré le film du début à la fin tant l’histoire de ce cercle littéraire nous tient en haleine tout au long du film que pour sa romance que l’on voit naître également. Les paysages de cette île anglo-normande sont absolument magnifiques et donnent envie de s’y rendre.
Juliet a du mal à se remettre à l’écriture après la seconde guerre mondiale. Elle n’a goût à rien et son éditeur lui voudrait qu’elle réussisse à lui en écrire un autre. Elle a quand même un homme dans sa vie mais on voit clairement qu’elle ressent un manque. Un jour, une lettre lui arrive, d’un homme sur l’île de Guernesey qui lui écrit après avoir découvert son adresse dans un roman et en lui demandant où il pouvait se procurer un roman. Commence alors des échanges de lettres et surtout une forte envie d’en connaître plus sur ce fameux cercle littéraire au nom étrange et surtout rencontrer les personnes. Juliet décide alors de se rendre à Guernesey. Elle y passe un excellent moment, y rencontre des gens passionnés mais aussi meurtri et cachant un secret que Juliet veut à tout prix découvrir mais surtout elle y trouve l’amour même si au début elle le nie. J’ai adoré cette romance délicate et belle. Et même si l’on sait comment le film va se finir, on savoure chaque seconde !
En résumé, Le Cercle Littéraire de Guernesey est un coup de cœur pour moi que je ne peux que vous encourager à aller découvrir au cinéma ! C’est un film assez original, bien mené grâce à un casting efficace et surtout une belle romance en prime ! On ne s’ennuie pas une seule seconde et on ressort des étoiles plein les yeux avec un sentiment de satisfaction d’avoir vu un excellent film.
Un film avec un côté très rétro et classique. Pas assez d'originalité dans le traitement assez académique de cette histoire. Une reconstitution historique bien réussie, des paysages magnifiques et des personnages attachants. Par contre une histoire d'amour façon collection Arlequin que j'ai trouvée très gnangnan à la fin et très prévisible.
On devine très tot dans le film, les révélations qui vont arriver et donc le denouement final. Le personnage principal, joué par Lily James, est malheureusement de plus en plus antipathique à chacune de ses apparitions.
Les meilleurs moments et personnages sont ceux où Stark et Isola sont présents. Ils sauvent le film, pour moi.
1946, Londres commence à renaître de ses cendres La jeune auteure Juliet Ashton reçoit une lettre de Dawsey Adams vivant à Guernesey. Il a trouvé un livre lui appartenant. Commence alors une correspondance dans laquelle Dawsey parle d’un cercle littéraire né à Guernesey pendant l’occupation allemande suite à une arrestation arbitraire. Piquée par la curiosité, Juliet, fraichement fiancée, se rend sur l’île de Guernesey pour faire la connaissance de ces amateurs de littérature. Tout en apprivoisant les insulaires, Juliet découvre des secrets liés à l’occupation allemande quelques années plus tôt.
Si l’occupation allemande est un sujet récurrent au cinéma, l’histoire du cercle des mangeurs de tourte aux épluchures de patates est très originale et se déroule dans de merveilleux paysages. Les acteurs jouent avec grâce et donnent un supplément d’âme à une histoire par certains aspects prévisible.
J’ai beaucoup aimé ce film et n’ai pas vu passer les 2 heures. Du très bon romanesque où l’on retrouve des acteurs de la série culte « Downton abbey ».
De bons et beaux acteurs, un déroulement bien conduit, des paysages magnifiques, un atmosphère très campagne anglo-normande mais, il manque le "je ne sais quoi" qui donnait au livre une subtilité, une élégance. Au début du film des aller-retours temporels un peu brouillons, ensuite quelques situations un peu trop appuyées, le "jeu" dans le parc à cochons, le romantisme sur le quai etc... Mais ça reste un bon moment de cinéma.
Je fais partie des lecteurs ayant adoré le livre et j'avais hâte de le voir. Cette adaptation ne m'a pas déçue, les acteurs sont très bons dans leur rôle et les paysages magnifiques. Comme dans le livre, beaucoup d'émotions!!