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Votre avis sur La Colline aux Coquelicots ?
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La colline aux coquelicots est une petite merveille comme seule les studios Ghibli en on le secret. Tous les ingrédients sont là pour nous faire rêver : des dessins splendides à la musique magnifique quoique un peu trop présente et peut-être trop moderne. L'histoire du film se révèle très originale et surprend beaucoup mais ne laisse pas une poussière d'ennui s'immiscer dans ses rouages. Un thème principal : sayonara no natsu aoi teshima très beau. Les studios Ghibli nous servent encore une fois un film d'animation magnifique et tout ce que l'on demande c'est du rab et qu'ils ne succombent pas aux méthodes modernes d'animation qui manquent terriblement de beauté.
Avertissons les amoureux du cinéma japonais, vous pouvez faire une croix sur le dernier Ghibli.
Comme tous les films fait après Le Château Ambulant, tous les films du Studio sont de plus en plus mauvais, incapable d'innover, sorte de recette "commerciale" que de faire du neuf avec du vieux. Mais ici, ça dépasse toutes les bornes.
Primo, il n'y a pas d'histoire. Il y a deux pauvres intrigues sur l'avenir du Quartier Latin d'une part, le centre culturel des lycéens de Yokohama des années 60, et de l'histoire d'amour/amitié entre Umi & Shun, d'autre part.
Secondo, les personnages n'ont aucune empathie, profondeur psychologique, sont pauvres et peu loquaces... Incapables d'émouvoir le spectateur (rappelez-vous qu'il ne se passe rien dans le film donc c'est plutôt difficile à faire).
Tertio, l'atmosphère, les thèmes cher au Studio tel que la préservation de l'environnement, la croyance dans les esprits, le féminisme, etc sont également absents du long-métrage.
Pour finir, on citera Shun qui s'exclame si justement "cette histoire est digne d'un mauvais mélo-drame!"...
Même le compositeur est à côté de ses pompes! Il mets du jazz emballant dans les scènes contemplatives. Allez, vous pouvez réentendre la chanson de l'ending, seul chose potable du film.
Voilà, le fils de Miyazaki ne sait pas faire naître l'émotion, raconter une histoire avec brio, voir créer une mythologie ou simplement son propre univers. Contentez-vous d'un documentaire sur le Japon des années 60 (ou des J.O. de 1964), ça fera l'affaire et vous en apprendrez plus.
C'est le dernier film que j'irai voir de Goro Miyazaki.
Comme tous les films fait après Le Château Ambulant, tous les films du Studio sont de plus en plus mauvais, incapable d'innover, sorte de recette "commerciale" que de faire du neuf avec du vieux. Mais ici, ça dépasse toutes les bornes.
Primo, il n'y a pas d'histoire. Il y a deux pauvres intrigues sur l'avenir du Quartier Latin d'une part, le centre culturel des lycéens de Yokohama des années 60, et de l'histoire d'amour/amitié entre Umi & Shun, d'autre part.
Secondo, les personnages n'ont aucune empathie, profondeur psychologique, sont pauvres et peu loquaces... Incapables d'émouvoir le spectateur (rappelez-vous qu'il ne se passe rien dans le film donc c'est plutôt difficile à faire).
Tertio, l'atmosphère, les thèmes cher au Studio tel que la préservation de l'environnement, la croyance dans les esprits, le féminisme, etc sont également absents du long-métrage.
Pour finir, on citera Shun qui s'exclame si justement "cette histoire est digne d'un mauvais mélo-drame!"...
Même le compositeur est à côté de ses pompes! Il mets du jazz emballant dans les scènes contemplatives. Allez, vous pouvez réentendre la chanson de l'ending, seul chose potable du film.
Voilà, le fils de Miyazaki ne sait pas faire naître l'émotion, raconter une histoire avec brio, voir créer une mythologie ou simplement son propre univers. Contentez-vous d'un documentaire sur le Japon des années 60 (ou des J.O. de 1964), ça fera l'affaire et vous en apprendrez plus.
C'est le dernier film que j'irai voir de Goro Miyazaki.
Merveilleux film, en tout point. Rien à voir avec les films "engagés" de Miyazaki père, ce n'est pas le propos. Histoire touchante, pleine de rebondissements et pas ennuyeuse, musique qui reste en tête et berce ce conte moderne, et graphisme simple mais soigné et élégant façon Ghibli réaliste.
Excellente surprise sur toute la ligne, et pas besoin de violence ou de choc visuel pour faire un bon film, la preuve!
Ne pas s'arrêter aux critiques des puristes (tellement habitués au meilleur c'est vrai) : il faut le voir.
Excellente surprise sur toute la ligne, et pas besoin de violence ou de choc visuel pour faire un bon film, la preuve!
Ne pas s'arrêter aux critiques des puristes (tellement habitués au meilleur c'est vrai) : il faut le voir.
Fut un temps merveilleux où le studio Ghibli enchaînait chef d'oeuvre sur chef d'oeuvre, sous l'égide d'Hayao Miyazaki, scénariste/réalisateur/dictateur en chef du studio. Mais Hayao s'est un peu retiré des affaires, et depuis quelques années, la qualité baisse. Non pas qu'ils en soient à sortir de mauvais films, mais "La Colline aux Coquelicots", tout comme "Arrietty" l'an dernier, n'est qu'un petit anime vieillot (voire un brin réac) sans grande ambition. Fait rare pour un film Ghibli, aucune touche de fantastique dans cette "Colline". Les Miyazaki, Hayao au scénario et son fils Goro à la réalisation (il lui manque d'ailleurs un certain sens du rythme), font le choix de la sobriété, voire d'un certain réalisme. Le film met un peu de temps à démarrer et se précipite maladroitement sur la fin pour s'achever sur une note positive, morale et prévisible. L'animation est certes plaisante, bien que Ghibli peut faire nettement mieux. On passe certes un agréable moment devant un film pas dénué de qualités, mais à mille lieux des grands films réalisés par Miyazaki père. Soyons clairs : le fils ne lui fera jamais d'ombre.
Le nouveau film des studios Ghibli, le voilà, on l'attendait depuis un an, il est enfin arrivé, un dessin-animé poignant bien loin du monde calme et paisible d'"Arrietty", je ne sais pas si c'est le résumé (Umi est une jeune lycéenne qui vit dans une vieille bâtisse perchée au sommet d’une colline surplombant le port de Yokohama. Chaque matin, depuis que son père a disparu en mer, elle hisse face à la baie deux pavillons, comme un message lancé à l’horizon. Au lycée, quelqu’un a même écrit un article sur cet émouvant signal dans le journal du campus. C’est peut-être l’intrépide Shun, le séduisant jeune homme qu’Umi n’a pas manqué de remarquer...
Attirés l’un par l’autre, les deux jeunes gens vont partager de plus en plus d’activités, de la sauvegarde du vieux foyer jusqu’à la rédaction du journal. Pourtant, leur relation va prendre un tour inattendu avec la découverte d’un secret qui entoure leur naissance et semble les lier…
Dans un Japon des années 60, entre tradition et modernité, à l’aube d’une nouvelle ère, Umi et Shun vont se découvrir et partager une émouvante histoire d’amitié, d’amour et d’espoir.) ou le fait qu'il n'y ait pas de fantastique dans celui-çi qui me déplait mais la sauce ne prend pas je suis déçu mais la déception ne veut pas dire "ne pas aimer" donc oui, j'ai bien aimé le dessin animé mais rien que me dire que je doit attendre encore un an sûrement pour le prochain me rebuste...quand à la B.O elle ne casse pas trois pattes à un canard mais est excellente, l'animation toujours aussi exceptionnelle, je retiendrai juste en mal le scénario qui laisse beaucoup trop à désirer... 16/20.
Attirés l’un par l’autre, les deux jeunes gens vont partager de plus en plus d’activités, de la sauvegarde du vieux foyer jusqu’à la rédaction du journal. Pourtant, leur relation va prendre un tour inattendu avec la découverte d’un secret qui entoure leur naissance et semble les lier…
Dans un Japon des années 60, entre tradition et modernité, à l’aube d’une nouvelle ère, Umi et Shun vont se découvrir et partager une émouvante histoire d’amitié, d’amour et d’espoir.) ou le fait qu'il n'y ait pas de fantastique dans celui-çi qui me déplait mais la sauce ne prend pas je suis déçu mais la déception ne veut pas dire "ne pas aimer" donc oui, j'ai bien aimé le dessin animé mais rien que me dire que je doit attendre encore un an sûrement pour le prochain me rebuste...quand à la B.O elle ne casse pas trois pattes à un canard mais est excellente, l'animation toujours aussi exceptionnelle, je retiendrai juste en mal le scénario qui laisse beaucoup trop à désirer... 16/20.
Excellent film! A rapprocher plutôt des "Souvenirs goutte à goutte" que des films fantastiques de Ghibli (Totoro, Chihiro), il n'en reste pas moins magnifique graphiquement, avec une histoire très prenante et une bande son extraordinaire. Le niveau de Goro Miyazaki n'atteint pas encore celui de son père (qui est tout de même ici scénariste, consultant et producteur) mais il s'en détache au fur et à mesure et commence à créer son univers propre au sein des studios Ghibli. Vivement l'année prochaine pour le suivant! O919
Le fils Miyazaki signe un second long métrage simple et doux, noltagique, on aime voir le Japon des années 60. Goro Miyazaki n'a rien à envier à son père et ceci est excellent pour l'avenir du studio Ghibli. Donc la Colline aux Coquelicots est à voir absolument!!!
Le fond : a l'heureuse idée de parler de guerre sans tomber dans le goût d'en montrer l'horreur, tout en évoquant quelques conséquences, on y trouve également une réflexion appréciable sur la démocratie et son droit des minorités. Mais en choisissant de se dérouler dans les années 60, on a à la fois l'impression d'être dans un japon moderne, et en même temps on n'y sent aucun enjeu contemporain : les rôles des femmes et des hommes sont imprégnés de sexisme jusqu'au bout des ongles, tout le monde est gentil et souriant à un point qui au lieu de parfaire le bonheur de voir se film, finit par se faire demander quelle humanité est-on réellement en train de nous dépeindre.
Sur la forme, les visages des personnages sont assez épurés, peu réels car peu marqués par la vie, malgré tout, l'univers visuel et sonore des studios Ghibli est à son habitude envoutant de poésie. Demeure une question : vu que 99% des images dépeignent quelque chose ou des personnes qui pourraient être réels, question au réalisateur : pourquoi avez-vous choisit la technique du dessin animé pour traiter ce thème ???? j'aimerais en connaître les raisons, car je ne les devine pas du tout. Dernière chose, pour les adultes, la première moitié traine assez en longueur, allez-y surtout pour l'amour inconditionnel du dessin animé esthétique.
Sur la forme, les visages des personnages sont assez épurés, peu réels car peu marqués par la vie, malgré tout, l'univers visuel et sonore des studios Ghibli est à son habitude envoutant de poésie. Demeure une question : vu que 99% des images dépeignent quelque chose ou des personnes qui pourraient être réels, question au réalisateur : pourquoi avez-vous choisit la technique du dessin animé pour traiter ce thème ???? j'aimerais en connaître les raisons, car je ne les devine pas du tout. Dernière chose, pour les adultes, la première moitié traine assez en longueur, allez-y surtout pour l'amour inconditionnel du dessin animé esthétique.
Bon film, on passe un très agréable moment. Il manque tout de même ce côté "épique" qui a fait les plus grands succès du père de Goro (Princesse Mononoké, Nausicaa,...) pour avoir une meilleure note.
Artistiquement parlant les dessins sont beaux, mais je trouve que ce film est le moins bien des gibli, les dessins sont moins exploités, l'univers du réalisateur est moins présent que dans "le voyage du chiiro" du célèbre père ! Cependant en touchant plus au réel, j'ai trouvé qu'il y avait une bonne idée, mais le scénario est beaucoup trop mou et tirer par les cheveux, la mère a fait médecine en ayant un enfant ... et je ne peux pas dire le reste sinon je vous spolierai ! Donc à voir parce que c'est un gibli mais je pense qu'il y à encore du travail pour le fils ...
un petit bijoux de simplicité,de bon sentiment et d'émotion,plus je regarde les film nippons,puis je trouve qu'ils ont une culture,des valeurs et des principe vraiment incroyable !
Très beau film d animation japonais...pour les grands plus que pour les petits ...très belle réussite des studios Ghibli...le fils Miyazaki est cette fois pour moi à la hauteur de son père dans un autre style, beaucoup plus réaliste, il nous fait passer un superbe moment...le film souffre peut être de quelques longueurs mais les dessins, les détails sont le fruit d une longue tradition séculaire
fascinante : la beauté de la nature ...les détails ...chaque point est travaillé...de la poésie à l état pure ! Ce film nous transporte dans le japon des années 60 déchiré entre le passé et l avenir qui l attend...peu de surprise dans le scénario mais la magnifique BO suffit à nous transporter pendant les 1h30! À voir en vo c est tellement mieux en japonais!
fascinante : la beauté de la nature ...les détails ...chaque point est travaillé...de la poésie à l état pure ! Ce film nous transporte dans le japon des années 60 déchiré entre le passé et l avenir qui l attend...peu de surprise dans le scénario mais la magnifique BO suffit à nous transporter pendant les 1h30! À voir en vo c est tellement mieux en japonais!
"Miyazaki" : pour tout cinéphile qui se respecte, ce nom sonne comme une référence ... Si j'avais adoré les premiers films du génie japonais, les derniers m'avaient quelque peu laissé sur ma faim : à vouloir cultiver sa créativité et sa différence, Hayao commençait à se fourvoyer dans des films trop délirants et manquant singulièrement de simplicité. En laissant la main à son élève de fils, le maître lui donne sa chance et s'offre un recul bienvenu. Goro réussit même le tour de force de redonner à son patronyme ses lettres de noblesse avec une grande cohérence : non content de respecter l'oeuvre de son père, il est arrivé à la dépoussiérer en lui donnant une touche de modernisme élégant avec une histoire plus conventionnelle, plus réaliste, plus ouverte sur le monde (donc plus à même de trouver écho à l'international) et empreinte d'une grande tendresse et d'une grande sensibilité. La superbe bande-son est aussi un signe de ce rajeunissement en étant à la fois un peu rétro et désuète, mais complètement envoûtante. Fruit d'une tradition familiale, l'esthétisme soigné de "La colline aux coquelicots" respecte l'esprit fondateur des studios Ghibli et ne déboussolera pas les aficionados. Mais ce qui marque le plus dans ce film d'animation, c'est le retour aux sources : aux antipodes de l'univers onirique de son père Hayao, Goro Miyazaki ancre son film dans la nostalgie et le réalisme historique, avec sincérité et humilité. La magie Miyazaki opère à nouveau et la poésie des premiers chefs-d'oeuvre éclabousse les spectateurs. Touchant, contemplatif et plein de grâce, "La colline aux coquelicots" redore le blason des Miyazaki : si des doutes subsistaient concernant la continuité de l'oeuvre de son père, Goro l'héritier - même s'il ne possède pas le talent narratif de son père - les a balayés d'un revers de manche avec 1h30 de tendresse et de naïveté ...
Les dessins animes de M. Miyazaki restent toujours aussi agreable et la colline aux coquelicots en fait parti mais reste a mon gout un cran largement en dessous car tres realiste on perd le monde magique que j`ai adore precedemment pour tomber davantage dans un beau mangas réaliste et pleines de bonnes valeurs. Un bon moment neanmoins.
Après « Les Contes de Terremer», le fils du Grand Hayao Miyazaki signe sa seconde réalisation, « La colline aux coquelicots », qui affirme la volonté de ce dernier de faire du cinéma et la reprise du flambeau paternel.
Une très belle histoire accompagnée par un bon scénario, comme ils savent les faire. Plus terre à terre que les autres, « La Colline aux Coquelicots » séduit par son animation et par sa beauté visuelle, quasi omniprésente dans les animations du Studio Ghibli ainsi qu’une bande originale toujours de qualité et omniprésente dans ce dernier opus. Il est vrai qu’ils trouvent toujours les ingrédients pour séduire et conquérir le public, jeune & moins-jeune.
L’histoire de ces deux-adolescents charme et intéresse par les rebondissements qu’offre l’histoire. Une œuvre qui s’avère assez simple mais touchante, émouvante & lyrique. Un souci du détail assez passionnant et qui fait en partie la réussite du film.
Néanmoins ce que l’on pourrait reprocher à cette Colline aux Coquelicots est son côté trop terre à terre, on ressent un manque cruel de magie et de fantastique, si présente dans l’œuvre de Hayao Miyazaki. Cela peut traduire d’un manque d’ambition (qui sait ?), ou peut être que le palmarès et la filmographie de papa est un peu trop lourd à porter. Ce qui fait que l’on n’est pas totalement conquit par cette nouvelle animation.
En attendant, avec impatience, les prochaines animations de Goro Miyazaki ou du Studio Ghibli…
Critique sur : http://make-your-own-movies.over-blog.com/
Une très belle histoire accompagnée par un bon scénario, comme ils savent les faire. Plus terre à terre que les autres, « La Colline aux Coquelicots » séduit par son animation et par sa beauté visuelle, quasi omniprésente dans les animations du Studio Ghibli ainsi qu’une bande originale toujours de qualité et omniprésente dans ce dernier opus. Il est vrai qu’ils trouvent toujours les ingrédients pour séduire et conquérir le public, jeune & moins-jeune.
L’histoire de ces deux-adolescents charme et intéresse par les rebondissements qu’offre l’histoire. Une œuvre qui s’avère assez simple mais touchante, émouvante & lyrique. Un souci du détail assez passionnant et qui fait en partie la réussite du film.
Néanmoins ce que l’on pourrait reprocher à cette Colline aux Coquelicots est son côté trop terre à terre, on ressent un manque cruel de magie et de fantastique, si présente dans l’œuvre de Hayao Miyazaki. Cela peut traduire d’un manque d’ambition (qui sait ?), ou peut être que le palmarès et la filmographie de papa est un peu trop lourd à porter. Ce qui fait que l’on n’est pas totalement conquit par cette nouvelle animation.
En attendant, avec impatience, les prochaines animations de Goro Miyazaki ou du Studio Ghibli…
Critique sur : http://make-your-own-movies.over-blog.com/
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