Heureusement que je n'avais pas lu avant la critique de Guillaume Loison du NouvelObs : "Ici, il n’y a rien, que des boulons, des rouages et du contreplaqué. "Divergente" est au cinéma d’exploitation ce que le la musique d’ascenseur est au classique."
Ou bien celle de Pierre-Julien Marest : "Plus de 16 ans s'abstenir..."
Pourtant, du haut de mes 45 ans, j'ai adoré... Au point d'aller le voir deux fois cette semaine. J'ai adoré l'univers de fiction, pourtant très réaliste, l'intrigue, les décors, le rythme, les scènes d'actions, la musique et... les messages...
A titre perso, j'en retiens plusieurs, dont un en particulier : "Que ferais si la peur me réveillait au lieu de me paralyser ?"
Hâte de découvrir la suite l'année prochaine !