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    The Place Beyond the Pines
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    Alice L
    Alice L

    169 abonnés 206 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 mars 2013
    2h20 qui en paraissent 4... Un ennui mortel, moi qui avait adoré ryan gosling dans drive je suis déçu mais j ai hâte de voir le prochain Nicolas winding refn malgré ce désastre.
    bastri
    bastri

    15 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 avril 2013
    Compter chaque goutte de sang s'écoulant de mes poignets fraîchement tailladés aurait été une utilisation plus judicieuse et stimulante que les deux heures vingt passées devant The Place Beyond The Pines.

    Non. Je suis sévère, allez, une heure quarante. Il y a quarante minutes potables.

    Ce film se vaut faussement hipsterien, avec des plans qui durent beaucoup trop longtemps pour suggérer de manière subtile quoique ce soit. Une ambiance redneck plutôt bien rendue. La VF est à chier par terre et à l'étaler sur les murs avec les mains.

    Seule consolation ? Pour les filles, Ryan Gosling est parfait en badboy musclé tatoué MAIS responsable. Mais incapable de donner deux coups de clé Allen pour fixer un meuble Ikea. Ça la fout mal pour un mécano hors pair, pauvre garçon.

    Tiens mais au fait, Ryan Gosling en pilote/mécano prodige badboy mais responsable...?
    Domnique T
    Domnique T

    69 abonnés 241 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 mars 2013
    Trois films pour le prix d'un ... mais cela reste trop cher ! Marre des sempiternels remords inspirés de notre culture judéo-chrétienne, marre de nous voir asséner toujours les mêmes poncifs ...
    - les mauvais s'en sortent toujours quand ils sont "bien nés" ...
    - les exclus n'ont aucune chance
    - les mauvaises actions nous rattrapent toujours

    Depuis "la couleur des sentiments", il ne nous avaient été donné d'être ainsi confronté à ce que le cinéma américain peur faire de pire !

    Aucune surprise de scénario, tout est prévisible, aucun lieu commun ne nous est épargné ... C'est d'un ennui !!!
    gunbuster
    gunbuster

    393 abonnés 1 631 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 mars 2013
    Alors disons-le tout de suite, ce film est tout sauf le chef d'œuvre annoncé. Le réalisateur met 2h20 pour accoucher bien pauvrement d'un longue et pénible métaphore illustrant l'expression "tel père, tel fils" ou "l'histoire se répète".
    Le film est mis en scène comme un docu-fiction sur un fait divers. Il n'y a pas de d'histoire racontée, seulement des personnages qui deviennent le centre du film pendant un certain temps.
    Le film se découpe en 3 parties : le premier tiers du film sur Luke le motard (Ryan Gosling), le milieu du film suit le policier (Bradley Cooper), et le derniers tiers s'intéresse à la rencontre de leur deux fils respectifs.
    Le film est long, ennuyeux, vide, il ne développe jamais la psychologie de ses quelques protagonistes. On ne connaîtra jamais les raisons de leurs actions, fautes de scènes pour les expliquer.
    Dans le même genre, le réalisateur s'abstient de toute scène d'exposition ( spoiler: les scènes avec Ray Liotta et les ripoux en est le parfait exemple
    ) ou de transition, surtout vrai pour le passage du simple flic naïf en retrait devenu spoiler: un procureur habile et charismatique
    .
    La seule bonne chose, qui certes ne justifie pas le prix du ticket, est la performance d'acteur de Ryan Gosling, qui donne l'impression d'avoir été un gangster tout sa vie.
    À l'opposé, Bradley Cooper déçoit, incapable de supporter la grande partie du film sur ses épaules, acteur sympathique mais incapable de toute forme de subtilité, à cantonner aux comédies US tous publics et à d'éventuels seconds rôles...
    Pour finir, il n'y a pas d'explications au titre du film. Le long-métrage restant jusqu'au bout impénétrable...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 mars 2013
    Tout réalisateur qui emploie Ryan Gosling doit:
    - montrer ses abdos au moins une fois
    - lui demander d'en dire le moins possible pendant le film, pour faire "profond". Pas de répliques a apprendre.
    - lui dire de faire la gueule et de prendre un air sombre autant que possible

    C'est le cas ici, ou les répliques de Ken-Gosling (comme Ken de Barbie) tiennent sur la moitié d'une page. Il est amochi pour faire "bad guy", donc le seul atout qui lui restait est écarté. On s'ennuie ferme, on regarde sa montre. Mon voisin s'est endormi...

    L'ambiance est glauque: les "suburbs" américains, ou pas grand' chose ne se passe. Même les braquages de banque sont ennuyeux.

    Seule rescapée de cet ennui profond: Eva Mendes, une actrice de talent qui peine a sauver un film sans personnalité.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 avril 2013
    C'était nul, mais nul! Je ne comprend pas les bonnes critiques de ce film qui n'apporte rien, qui est long, ennuyeux. Ryan G joue le même rôle que dans Drive en moins intéressant.
    2h30 interminables!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 24 mars 2013
    Film long, lent, rien que des clichés .... Sans aucun intérêt !!!! Merci aux acteurs qui ont bien du mérite !
    Cécile C.
    Cécile C.

    3 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 mars 2013
    Ryan Gosling n'a rien d'électrique, même rôle que dans "Drive" ! Même attitude, même manière de le filmer ... le film est au ralenti du début à la fin, la brochette de bonnes acteurs se transforment en gâchis total, Eva Mendès et Rose Byrne deux excellentes actrices, on ne les voit pas, et ne jouent pas donc. Bradley Cooper est obligé de jouer au ralenti vu le scénario et la vitesse prise par Ryan dès le début. Et ça part en clichés avec les enfants, le fils de Ryan fera de la moto bien sûr ! On est loin des films de Sean Penn, le réalisateur n'a pas de maturité pour construire un film intense, il avait pourtant les acteurs. Mélodrame de mélodrame, thriller n'existe pas. Je déconseille.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 mars 2013
    La fin du film est arrivée avant que je n'aie éprouvé le moindre intérêt pour cette histoire vue mille fois d'épaves sentimentales. On nous a fait espérer un scénario censé élever nos âmes avec une énième histoire de mauvais garçon sur le chemin de la rédemption, et on nous livre en fait un trop long métrage qui abrutit un peu plus notre temps de cerveau disponible.
    Les fans inconditionnel(le)s de Ryan Gosling seront ravi(e)s de le revoir dans une version de ''Drive'' avec moto... les autres feraient mieux d'économiser le prix de leur place de ciné !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 mars 2013
    Long long très long et histoire inintéressante. Si vous n'avez déjà pas
    le moral en allant voir ce film ça sera pire en sortant. J'adore bradley cooper mais dans ce film il est à gerber
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 avril 2013
    ABSOLUMENT NUL
    le film se perd totalement apres la disparition d'un personnage. Des longueurs insupportables, des personnages caricaturaux. On s'attend a des rebondissements, on anticipe une issue, arf non j'avais pas osé imaginer un scenario aussi minable pour les personnages.
    L'idee de fond est bonne, mais l'ensemble est vraiment timide et ennuyeux au possible.

    j'y suis allé avec des amis, la personne qui a proposé se film a du s'excuser d'avoir fait un si mauvais choix.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 31 mars 2013
    Film Inutile.
    on pourrait s'arrêter là, mais j'ai déjà perdu 2h30 de ma vie, alors on y va.
    attention, je révèle des moments du film, comme le fait qu'il y ait une course-poursuite mais c'est pas grave, vous comprendrez quand même, et je ne risque pas de tuer le suspens.

    Histoire:
    Sans originalité, plate comme la Flandre après le passage d'un scraper.

    acteurs:
    Absents même quand ils sont là. La "mélancolie" dans l’œil de Gosling n'est qu'un vide insondable comparable à la magie des effets de sourcil de Roger Moore.
    Ils ont dû garder les passages de concentration avant le clap au montage et benner les rushs des scènes, c'est pas possible de jouer aussi fade, ou alors ils ont décidé de détrôner Pattinson.

    raccourcis fumeux,
    l'arrestation de 3 000 pourris dure 12 s.
    spoiler: j'ai un peu de thunes alors j'achète un lit bébé à mon fils de 1 an même si je ne suis pas plus présent, mais j'ai un peu d'argent alors je vais le dépenser pour lui, et quoi de mieux qu'un lit car il dort à un an dans un lit pour adulte, (t'as qu'à essayer avec le tien pour voir !!) et je le sais car je l'ai lu dans le regard de sa mère ou mieux, elle m'a dit: si tu as un peu d'argent, achète donc un lit, il dort dans un lit pour adultes et je suis inquiète, même si son père adoptif me dit de ne pas m'en faire.

    Au fait : je me demande par quelle réflexion le metteur en scène est passé pour devoir nous infliger une telle justification : j'offre un lit à mon fils de 1 an car il dort dans un lit d'adulte sans protection.
    Si tu as eu un gosse, tu sais combien tu ne le laisserais pas dormir sur un lit d'adulte, c'est tellement invraisemblable que ça en devient comique.
    --- comment on va justifier qu'il monte un lit bébé ?
    --- ben on n'a qu'à dire qu'il n'y en a pas!
    --- pas con ! t'es nommé responsable des idées à la con!

    Clichés dignes d'une série de M6.
    flics véreux, gosse de riche drogué qui parle verlan, immigrés clandestins qui subissent les avanies de la police, manque même pas le curé qui baptise et fait pleurer le (z)héros.
    Vraiment, la larme tatouée au coin de l’œil, et pourquoi pas j'aime maman sur le ventre ?
    ou mieux: hate sur la main droite et love sur la gauche (en fait ça, ça y est..)
    Un moment j'ai cru que c'était un remake de la saison 3 de starsky et hutch (la saison entière tellement c'était long), celle avec des flics véreux, un gosse de riche drogué qui parle verlan, des immigrés clandestins qui subissent les avanies de la police, et un curé italien qui baptise le fils du héros et le fait pleurer.

    spoiler: le héros demande à la mère de ne pas informer son fils de son passé, le père adoptif le fera, tout en précisant qu'il sera toujours là pour lui, le tout sur une musique mélancolique.

    C'est le boson de higgs de la philosophie, l'idée qui manquait pour faire tenir la réalité phénoménale, Kant est ici porté à un degré de vérité qui blesse dedans la tête tellement il est universel.

    Dialogue :
    je veux être là pour mon fils, mon père ne l'a pas été et vois ou j'en suis !
    putain (je peux dire putain, vu ce qui se dit dans les dialogues) le message: (respire) Si t'es pauvre et que ton père t'abandonne, tu vas mal finir, sauf si tu tentes de changer le destin mais il risque de se produire un évènement auquel un riche ne sera pas étranger qui contrariera ton objectif noble (tu suis? ). faut dire que c'est subtilement amené, et drôlement suggéré dans le dialogue. maintenant le déterminisme n'a qu'à bien se tenir, et la démonstration n'est pas piquée des hannetons. A la niche Heisenberg.
    C'est un bingo ! c'est comme ça qu'on dit ? (désolé, ça m'a échappé).

    C'est aussi un film d'action (des passages pour les fans de Drive, en fait) :
    spoiler: je monte un lit Ikea pour mon fils chez le père adoptif car je me suis fait ouvrir la porte par la belle-mère (ils vivent tous avec leur belle-mère dans cette ville) pendant son absence et le père adoptif veut me jeter, je lui père la gueule au bout de deux phrases
    . Il est certain que pour les fans de "Drive", le fait de placer deux phrases est une performance. Le simple fait de penser est un événement, alors attendre deux phrases avant le coup de poing, c'est carrément du niveau de la mouette.
    Comme il faut maintenir l'équilibre cosmique, le fils du héros cassera la gueule au fils du héros (l'autre).
    pas de chaos chez nous (cf. plus haut).

    la caméra bouge beaucoup.
    Lors de "scènes d'action", la steadycam a perdu un poids ou quoi?, on attrape mal à la tête tellement ça secoue, mon tonton fait mieux avec sa S***Y en promo Carouf.
    On est de retour chez M6 avec la descente dans l'immeuble au cul des flics. manque que les commentaires hachés et coupés au mauvais endroit dans la phrase pour colorer de ce rythme propre aux documentaires médiocres.

    spoiler: le coup des lunettes que le fils retrouve est tout simplement affligeant: dialogue : -- ah tu les as trouvées, elles étaient à ton père, essaye-les! --- tu crois ? --- oui, ton père aurait voulu ! (il les porte) ---- elles te vont super bien !


    cette scène, c'est du Hoodyard (un cousin éloigné du notre, Audiard, le vrai.

    spoiler: au fait, ces lunettes, il les trouve 15 ans après sur la table ou vivait son père, propres comme un cul de bébé!


    On a également la prise d'otage la plus rapide du monde, le coureur le plus lent (franchement, quand on rate un plan comme celui ou le piéton ne rattrape pas le vélo alors qu'il peut lui mettre la main sur l'épaule, on recommence la prise), la maison de procureur la plus minable de l'histoire (on croirait le pavillon d'un chef de rayon Leclerc en banlieue de Maubeuge),

    spoiler: autre truc de dingue : pour t'empêcher de rouler, je découpe ta brêle en deux. Enlever les clefs, trop simple..

    ça, faut avouer qu'on ne l'avait jamais vu, sauf dans un film de Stalone ou il faisait exploser un hélicoptère dans le même but.
    on se demande ce que ça vient foutre là dedans, comme la scène de rap, comme les clefs dans le sac,

    Pour les amateurs d'action, la poursuite par un flic esseulé du blondinet au guidon de sa mobylette (en respectant les limitations de vitesse car ils n'avaient pas obtenu la fermeture de la route pour tourner) relève du pathétique.
    la difficulté du démarrage de la moto est également un pur moment de suspens, il essaye deux fois avant que ça ne parte, sur M6, ils vont jusqu'à 3 fois, voire 4 !

    Quant à la scène finale, elle va rester culte, servir de modèle dans les écoles de cinéma comme tout, vraiment TOUT ce qu'il faut éviter, du sujet au cadrage en passant par le plan séquence, il ne manque que la perche son dans le champs. ça veut évoquer Easy Rider, ça ne supplante même pas Mammouth.

    De manière générale, les cadrages sont creux, des pompes de choses déjà faites, avec le trait tremblotant en plus. Il devrait regarder Breaking bad, notre apprenti metteur en scène, il y trouverait des idées à travailler, surtout pour les scènes avec la caravane. l'atmosphère de cette série est à des lieux de celle pataude du présent film. dans le genre destinée plus ou moins contrôlée, je donne tout le film pour la seule séquence du début de la série sus citée.

    Y a aussi la musique. Depuis Tarantino, les ricains se croient obligés de nous passer du vintage.
    Bon... Soit.. Un peu de zic vintage... Mais faut pas forcément nous jouer tata yoyo ou une bêlerie d'un succédané de maria carrée (j'ai fait exprès).

    Il y a quand même des messages forts:
    Les riches s'en sortent mieux que les pauvres, surtout si les riches font du tort au pauvres.
    beaucoup de flics sont pourris.
    Quand on est père, on éprouve du sentiment pour son fils et on projette sur celui des autres.
    On n'échappe pas à sa destinée.
    Moi d'abord
    Ensuite ma famille
    Puis les autres, s'il en reste
    musique : Oh! say, can you see, by the dawn's early light....

    Forcément, après Drive, c'est du lourd.

    Je suis cependant un peu déçu de n'avoir trouvé aucune trace de rédemption.
    ben ou elle est passée la rédemption du chrétien de base?
    Oukilé le flic verreux qui se suicide ( spoiler: j'y ai cru un moment en voyant dans les yeux du chef le reflet du JT
    vers la fin de l'une des 3 parties franchement distinctes (pour la coupure pub aux USA ?).

    Vivement son prochain opus: l'eau ça mouille, le feu ça brûle, c'est pas bien de mentir, avec jason Statham dans le rôle d'un facteur haltérophile philosophe qui se demande si dieu existe.

    je vois bien des gros plans sur son visage, dans un restaurant de hamburgers américains, un double cheese à la main, avec une musique de Vangelis (ou de Horslip pour mettre une touche irlandaise, très mélancolique L'irlande, faut en mettre!) on lirait le doute dans ses yeux, avec une larme à la fin :
    dieu est-il droitier ou dois-je ajouter de la mayo sur mon ketchup?
    plan suivant : flashback (ça manquait les flashback dans la petite maison derrière les pins) du père du héros qui sort acheter du ketchup et qui est fauché par une voiture dont le conducteur a eu une attaque au volant (à cause d'un excès de mayonnaise). finalement, il met du peanut butter pour lui donner plus de goût. Il n'a pas encore surmonté sa phobie de la mayonnaise. on découvrira à la fin que le fauché de la mayo était son père, 2 heures après la scène.
    on comprendra alors sa phobie instinctive de la mayo (putain le déterminisme et putain le trucage).

    J'ai failli oublier le seul point positif de ce film :
    Je dois confesser avoir été sensible à l'ambiance onirique des longs plans et des images qui comportent des couleurs et des ambiances propres à la méditation, avec des résonances musicales qui m'accompagnent encore à la manière des notes de Ry Cooder dans Paris Texas, que ce film n'est pas sans rappeler avec ses destinées inéluctables.
    Non, je déconne.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 mars 2013
    Scénario téléphoné et fumeux, clichés en rafales (grosse moto, gros flingues, gros bras), dialogues creux, propos simpliste et bêtifiant. Un ratage complet, porté par deux acteurs monoexpressifs (Ryan Gosling est aussi charismatique qu'un tronc d'arbre, Bradley Cooper tout simplement ridicule). La bande annonce, aux accents oniriques grâce à la tension musicale du thème, est mensongère et ne correspond pas du tout à l'ambiance soporifique du film. A éviter absolument.
    lionel deschamps
    lionel deschamps

    7 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 novembre 2021
    Ratage exemplaire. Comment raconter une histoire sans scénario, utiliser de bons acteurs comme des mannequins, le tout avec une prétention socio-moralo-philosophique à deux balles...
    Risible.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 mars 2013
    Pour moi, ce film est inutile, voire néfaste.
    Je ne suis pas un critique professionnel du cinéma, mais un simple spectateur; je ne parlerai donc pas du jeu des acteurs, qui font leur boulot, mais de l'histoire que raconte ce film, et qui est à mon avis la première chose qu'un film doive faire.
    L'actualité racontée tous les jours par les médias est suffisamment glauque pour que le cinéma n'ait pas besoin de nous le rappeler : comme souvent maintenant, on nous présente :
    - un "gentil" braqueur de banque qui se fait descendre par un méchant flic ...
    - un service de police corrompu
    - des jeunes qui fument et qui ingurgitent je ne sais quelles substances
    bravo pour les messages d'espoir !

    Seul commentaire sur la forme : une lenteur pesante.
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