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    Hospitalité
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    41 critiques spectateurs

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    moket
    moket

    526 abonnés 4 331 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 octobre 2022
    L'incertitude autour du personnage central et intrusif laisse intelligemment planer un sentiment de malaise. Non-dits et critique de la rigidité des normes japonaises ont la part belle, jusqu'à ce final grand guignolesque déroutant.
    PH C
    PH C

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 mai 2022
    D'une nullité abyssale, ce navet est le point d'orgue de l'hypocrisie occidentale à l'endroit d'un certain cinéma asiatique dont les louanges qu'on en fait sont proportionnelles à l'indigence hallucinante du scenario, digne d'un mauvais oui-oui et à la mise en scène de spectacle de fin d'année d'une école d'attardés mentaux . En effet voilà bien un certain regard.
    Une merde monumentale qui comptera comme l'un des plus décisifs moments d'égarement de mon existence déjà terne.
    unique exemple d'un genre inventé pour l'occasion, ce film d'imprimerie m'aura néanmoins conforté dans l'idée que nous sommes tous des génies, sauf ce réalisateur . j'ai connu des concombres mer plus perspicaces que le scénariste de cette daube tiède.
    J'aimerai qu'on m'explique comment l'ensemble de la presse a pu encenser ce qui me paraît être une insulte à l'intelligence. Je pense que c'est apres avoir vu ce film que Vladimir Poutine a pour la première fois estimé qu'une vitrification nucléaire de la planète pouvait représenter une libération pour l'humanité.
    Adieu le cinéma
    Hotinhere
    Hotinhere

    551 abonnés 4 958 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mars 2022
    Une satire aussi corrosive que réjouissante qui dénonce avec humour, une société japonaise codifiée, renfermée et peu enclin au cosmopolitisme. 3,25
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 149 abonnés 5 133 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 janvier 2022
    On croit au début avoir affaire à un nouvel « Harry » mais au fil du récit, on commence à rire de temps en temps et on comprend mieux pourquoi le réalisateur disait s’inspirer des Marx Brothers!!!!!!
    Le défilé permanent est assez drôle et l’ambiance auberge de jeunesse devient jouissive!!!!!
    AlphaWolf
    AlphaWolf

    75 abonnés 829 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 janvier 2022
    Ce premier long-métrage de Kôji Fukada est un galop d'essai à oublier. Tout y est d'une pauvreté affligeante, du scénario sans queue ni tête, aux dialogues insipides, en passant par la photo sans vie ou le casting frôlant l'amateurisme.
    Y Leca
    Y Leca

    30 abonnés 991 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 janvier 2022
    Cela aurait dû s'appeler "Promiscuité". Mal filmé, mal monté, mal joué avec des longueurs malgré sa courte durée. Tout ce qu'on y voit c'est que les nippons aiment se brosser les dents dans leurs maisons de papier et peuvent y mettre beaucoup de monde. Si Fukuda avait un message pro-immigration à faire passer, il est loupé. La dernière demi-heure est du grand n'importe quoi.
    florenceg
    florenceg

    8 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 décembre 2021
    Fukada comme on l'aime : ironique, drôle, grinçant!... on a toujours hâte de voir son prochain film!
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 625 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 octobre 2021
    Sorti en 2010 au Japon, mais 11 ans après chez nous ; devant le succès des films suivants de Koji Fukada, il était nécessaire de réparer cette erreur et de montrer son second long métrage sur grand écran en France.
    Bien avant son pendant sud-coréen palmé à Cannes (« Parasite »), Fukada avait décidé de confronter des piques assiettes à des gens normaux se laissant cannibaliser bien malgré eux par ces derniers. Néanmoins, différence notable, nous sommes ici au Japon et non en Corée du Sud ; avec une société bien plus polissée et corsetée. Dans ce huis clos kafkaïen aux allures de pièce de théâtre, Fukada fait bien ressortir toute la rigidité du corps social nippon. Les gens « bien » ne crient pas et font bonne figure quitte à se faire marcher sur les pieds, des victimes consentantes. Ce film aborde aussi la thématique de la peur de l’étranger au Japon. Dans un pays pourtant peu en proie à l’immigration la peur de l’autre est bien retranscrite ici. Ça doit faire réfléchir en France où la peur du grand remplacement prend de la place dans le débat politique ; se souvenir que quelques étrangers suffisent à générer la peur.
    Cependant le scénario patine dans sa première moitié pour bien dévoiler tous les enjeux narratifs. La seconde moitié tirant plus sur la fable voire l’absurde donne enfin du souffle au film. Le scénario de manière général manque aussi de tenue avec des sous intrigues se perdant en chemin à l’image de certains personnages (frère de la femme, première femme, fillette,…).
    Un peu déçu, même si on retrouve le climat nippon agréable.
    tout-un-cinema.blogspot.com
    mat niro
    mat niro

    354 abonnés 1 824 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 septembre 2021
    Une famille modeste de Tokyo gère une petite imprimerie quand un personnage va faire irruption et "imprimer" un tout autre mode de vie à ses habitants. Tournée en 2010 mais visible seulement maintenant, cette comédie caustique vaut le détour. Le film regorge de moments drôles et on en vient même à se prendre d'affection pour ce parasite et sa femme. Koji Fukada dresse également un portrait peu reluisant des habitants de ce quartier (et de son pays?) où l'étranger n'est pas forcément le bienvenu. Une comédie intelligente et subtile.
    Lou
    Lou

    2 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 septembre 2021
    Très bon film de fukada qui par de magnifique plans et de très belles couleurs fait s'intégrer totalement dans l'œuvre le spactateur, la façon dont le réalisateur montre la faiblesse d'esprit du personnage principal et la manière dont elle est jouée est tout simplement fantastique ma seule reproche est peut être quelques scènes un peu trop longue malgré la courte durée du film.
    Jean-Pierre B
    Jean-Pierre B

    3 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 août 2021
    On se croirait dans un roman de Balzac, très bon film, un scénario parfaitement écrit.
    J'ai toujours beaucoup de mal à voir des personnes ce faire avoir.
    ZazaStBo
    ZazaStBo

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 août 2021
    Un vrai film japonais, avec des moments lents à savourer (pas trop longs) et une fin très inattendue et drôle !
    Le jeu des acteurs dans ce petit espace est excellent.
    btravis1
    btravis1

    108 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juillet 2021
    A partir de l'arrivée d'un intrus dans une famille, le réalisateur dresse un portrait intéressant de la société japonaise, mais au fur et à mesure que le film avance, le scénario se perd un peu dans des situations de moins en moins crédibles, jusqu'à une fin moyennement réussie. Mais film agréable à regarder.
    Yves G.
    Yves G.

    1 460 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 juillet 2021
    Mikio Kobayashi a repris la petite imprimerie familiale tenue par son père. Elle est installée au rez-de-chaussée de sa minuscule maison tokyoïte qu’il partage avec Seiko, sa sœur divorcée, Eriko, la petite fille qu’il a eue de sa première femme, et Natsuki, sa seconde épouse qui tient les comptes de la petite entreprise.
    L’aimable routine familiale est rompue par l’arrivée de Hanataro, un homme qui se présente comme le fils d’un ami du père de Mikio. Profitant de l’hospitalisation de l’unique employé de l’imprimerie, Hanataro s’y fait embaucher avant de prendre ses quartiers à l’étage. Il y est bientôt rejoint par sa femme et par une cohorte d’étrangers en situation irrégulière.

    Né en 1980, Kōji Fukada s’est fait une place dans le cinéma japonais contemporain pourtant déjà richement doté avec des créateurs aussi intéressants que Hirokazu Kore-eda ("The Third Murder", "Une affaire de famille", "La Vérité"), Kiyoshi Kurosawa ("Creepy", "Avant que nous disparaissions", "Invasion") Naomi Kawase ("Les Délices de Tokyo", "Vers la lumière"), Tatsushi Ōmori ("Dans un jardin qu’on dirait éternel") ou Ryusuke Hamaguchi ("Senses", "Asako I & II"). Étaient déjà sortis en France "Sayonara" et "Harmonium" en 2017, "L’Infirmière" en 2020. Art House qui le distribue en France a pris l’initiative bienvenue de combler les trous de sa filmographie en sortant "Hospitalité" (2010) puis, le 4 août prochain, "Le Soupir des vagues".

    "Hospitalité" est un film étonnant qui rappelle, ou plutôt qui annonce car il leur est antérieur, "Un air de famille" ou "Parasite", deux films qui, excusez du peu, furent couronnés par la Palme d’or en 2018 et en 2019. Avec le premier, il a en commun de prendre comme sujet une famille vibrante, riche de ses adjonctions hétéroclites. Avec le second, il partage la figure du corps étranger qui pénètre brutalement un foyer et en perturbe l’équilibre.

    "Hospitalité" joue sur le fossé des cultures. Son histoire confronte des Japonais « ordinaires » empêtrés dans leur parfaite politesse au comportement très occidental d’un intrus encombrant. Cette histoire-là n’aurait pas marché une seconde en Occident où l’entrisme de l’intrus se serait heurté à l’hostilité plus ou moins brutale de ses hôtes. Mais une telle réaction est inconcevable de la part de Japonais « ordinaires » condamnés, par leur éducation, à faire bonne figure. C’est ce décalage qui rend le sujet de "Hospitalité" particulièrement croustillant pour un spectateur français.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 361 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 juillet 2021
    Produit en 2010, “Hospitalité” bénéficie d’une sortie dans les cinémas français en 2021, quelques mois après la sortie de “L’infirmière” et juste avant la saga “Suis-moi, je te fuis” et “Fuis-moi, je te suis” du même réalisateur. “Hospitalité” est une comédie japonaise qui se déroule en plein Tokyo où une famille vit paisiblement de son imprimerie. Leur train train quotidien va être bousculé à l'arrivée d’un étranger qui a des liens plus ou moins proches avec l’entreprise familiale. Accueilli chaleureusement, celui-ci va prendre de plus en plus ses aises, jusqu’à venir y faire vivre son épouse et être de plus en plus incorrect avec les hôtes. Sous ses apparences de comédies grinçantes, “Hospitalité” se révèle être un portrait peu glorieux d’une société qui se cache dans les non-dits et la politesse. Kôji Fukada laisse le spectateur prendre position dans ce jeu de communication et de manipulation porté par un casting performant.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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